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Élections françaises: ingérence d’une institution gérée par l’"État algérien" [Part1]


Présidentielle France 2022: L’Algérie accusée d’ingérence via la Mosquée de Paris et "sa consigne de vote" !

Le 13 Avril 2022, en plein second tour de la présidentielle en France, la presse française rapportait que La Fédération nationale de la Grande Mosquée de Paris a appelé à voter pour Emanuel Macron au second tour de l’élection présidentielle. L’institution présidée par le recteur Chems-Eddine Hafiz a simplement communiqué faire « le choix des valeurs républicaines » à travers cette décision.

Une information noyée dans l’actualité d’alors, mais qui refait surface.

Problème: la Grande mosquée de Paris est administrée par un algérien "l’État algérien".

Pour de nombreux commentateurs de la politique française: il s’agit donc d’une ingérence d’une institution algérienne et donc de l’État algérien dans les affaires internes de la France.

Le recteur Chems-Eddine Hafiz appelle à voter pour Emmanuel Macron le 24 avril 2022.

« Nous n’avons pas le droit d’hypothéquer l’avenir de nos enfants en restant des témoins passifs d’une catastrophe politique imminente. Votons Emmanuel Macron». Chems-Eddine Hafiz

On financera cela avec la caisse noire

Rappelons que jeudi 26 mai 2022, le ministre algérien des Affaires religieuses et des Waqfs, Youcef Belmehdi, a révélé que « l’État algérien a attribué 315 milliards de dinars à la Grande mosquée de Paris ». Soit prés de 2 milliards d’Euros ! »

Le 19 avril 2022, Christophe Castaner, Bernard Laporte, Karim Zeribi, Francis Spziner, Jean-Pierre Elkabbach ou encore l’association Musulmans de France ont participé à un “iftar républicain” de soutien à la candidature d’Emmanuel Macron organisée par la Grande Mosquée de Paris. Une soirée commanditée par le pouvoir algérien.

Alger réintroduit les menaces contre la France dans l’hymne national "Français"... L’antisémitisme algérien...

Ce mardi après-midi, lors de la séance de questions au gouvernement à l’Assemblée nationale, Michèle Tabarot, députée des Alpes-Maritimes, a interpellé la Première ministre sur la réintroduction du couplet anti-français dans l’hymne algérien. Un couplet anti-France rétabli dans l’hymne algérien.

  • Ô ! France, le temps des palabres est révolu

  • Nous l’avons clos comme on ferme un livre

  • Ô ! France, voici venu le jour où il te faut rendre des comptes

  • prépare-toi, voici notre réponse

  • Le verdict, notre révolution le rendra..

"Ces mots emplis de haine, rhétorique du FLN, qui désignent la France en tant qu’ennemi, le Président Tebboune vient de généraliser leur utilisation dans l’hymne algérien. C’est révoltant et inacceptable! " Michèle Tabarot.

«Un hymne national qui désigne un pays comme un ennemi, c’est inacceptable. Allez-vous avoir une réaction à la hauteur de notre indignation? Allez-vous prendre des mesures fortes telles que l’abrogation demandée par notre groupe de l’accord de 1968 qui facilite l’immigration algérienne en France?»

"Réponse sidérante de la Ministre ! «Approfondir notre relation» avec un Pouvoir qui nous méprise et vit depuis 60 ans sur une rente mémorielle? Comment un Gouvernement peut-il se laisser insulter à ce point ? Arrêtons avec les actes de repentance inutiles et rendons à notre pays le respect qu’il mérite." Michèle Tabarot.

L’antisémitisme dans tous ses états… Des soldats algériens défilent en chantant « Tuez les Juifs …».

La plupart des chants militaires comportent des Cri d’acclamation d’honneur et d’enthousiasme., une rime intelligente et une bonne dose de vantardise. Mais dans une vidéo montrant un exercice de marche de la gendarmerie nationale algérienne on entend les soldats appelant à tuer, égorger et à arracher la peau des Juifs.

Les gendarmes défilent au son d’un chanson, reprenant les vers scandés par un officier.

« O, Arabes … Fils d’Arabes … marchez … et pointez vos armes vers les Juifs … pour les tuer … les égorger … et leur arracher la peau », scandent-ils.

Une vidéo trouvée par I24 News et circulant sur le net a fait réagir le Bureau National de Vigilance Contre l’Antisémitisme (BNVCA) qui, comme de nombreux correspondants ont alerté sur le scandaleux antisémitisme officiel de l’État algérien.

Dans cette vidéo, bien que datant du 1er novembre 2015, le Jour de la Révolution algérienne, on y voit un exercice de marche ordonnée de la gendarmerie algérienne au cours duquel ils appellent pour se motiver au meurtre des juifs en les égorgeant et en leur arrachant la peau en criant « mort aux juifs, tuez les juifs ». Cette vidéo a été récemment traduite en anglais par MEMRI l’Institut de Recherche des Médias du Moyen-Orient.

« Vive notre Algérie libre, » chantent-ils. « Sa terre appartient aux Musulmans pour toujours. »

Au final, cette vidéo est la démonstration parfaite de l’antisémitisme régnant au sein des institutions algériennes, notamment dans son armée et nous rappelle étrangement le système nazi.

La vidéo :👇
Algérie: L’antisémitisme dans tous ses états… d’hier à aujourd’hui

Puisant ses racines dans la réalité politique, sociale et culturelle qui a pris corps dans ce coin de l’Empire français depuis 1830, l’antisémitisme algérien n’a guère eu besoin des remous provoqués par l’affaire Dreyfus pour surgir et s’y épanouir. Ses premières manifestations datent des lendemains du décret Crémieux de 1870 lorsque, usant de leurs droits civiques nouvellement acquis, les Juifs d’Algérie commencent à prendre part aux élections législatives. Une promotion mal accueillie par une grande partie des pieds-noirs qui, toutes tendances politiques confondues, vont s’unir dans un antisémitisme d’une rare virulence. Atteignant son paroxysme, au cours de la dernière décennie du XIXe siècle, c’est un véritable mouvement de masse, mobilisant dans toutes les couches de la population européenne et dans tous les milieux politiques de la colonie, de droite comme de gauche. Loin d’être un ramassis de laissés pour compte ou de frustrés, les militants des dizaines de ligues antisémites qui ont essaimé dans toutes les villes d’Algérie sont issus au contraire des milieux citadins les plus dynamiques et les plus modernes du pays : professions libérales, commerçants, ouvriers, fonctionnaires, colons, etc., sans parler des femmes qui ont fait leur entrée dans la vie publique à la faveur des manifestations antijuives organisées à l’appel de Max Régis et de ses amis algérois…⇒ books.openedition.org/pur/125184?lang=fr

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