Mandela finalement divorça d'elle en 1996, l'accusant d'adultère. «Papa nuage», un secret sur les origines... Au suivant, la Chanson de Jacques Brel!!!
Un enfant adultérin (enfant illégitime) est un enfant conçu dans le cadre d'une relation adultère, c'est-à-dire en dehors du mariage dans lequel au moins un des parents est déjà engagé.
La distinction entre enfants légitimes, conçus dans le cadre du mariage, et les enfants adultérins a une place importante dans les civilisations dont les structures sociales ou religieuses sont fondées sur le couple. Un enfant adultérin est également appelé, dans l'acception historique des enfants royaux illégitimes, «bâtard». Enfin, c'est aussi une insulte dans son acception la plus courante.
Voici comment Winnie Mandela, la grande mère de Zweifel a cocufié Nelson Mandela avec un jeune avocat…
"Winnie, épouse chérie et adorée. Tu te bats bien pour ma libération, mais tu m’abats avec ton comportement. Je suis au courant pour le jeune avocat et je te comprends. Car c’est humain après tout, et la solitude peut-être le lit de la débauche pour une femme qui n’a jamais pu savourer son mariage. Je ne t’en voudrai jamais. Je te porte dans ma chair Winnie.“
L’homme qui prononce ces mots, n’est autre que Nelson Mandela.
Nous sommes dans la première moitié des années 1970, et Nelson Mandela après son mariage avec Winnie en 1958, arrêté en 1962, languit au sinistre bagne de Robben Island, depuis son procès débuté en 1963, et sa condamnation survenue en 1964.
Bien que le procureur général, ait initialement requis la peine de mort à l’endroit du leader de l’ANC, et de ses dix autres co-accusés, le juge va en bout de course, ne prononcer qu’ une condamnation aux travaux forcés à perpétuité.
Détenu, sous le régime de l'apartheid à Pretoria, depuis son arrestation en 1962, Nelson Mandela va rester au bagne de Robben Island de 1964 à 1982.
Prisonnier exemplaire, pour raisons de bon comportement, ce qui dans le jargon de l’administration pénitentiaire, signifie le constat chez le prisonnier, de toute absence de velléité à la rébellion, ou de dénonciation de sa condition d’incarcération, et autres brimades y attenantes, c’est véritablement à partir de l’année 1975, qu’il va acquérir le statut de “prisonnier de catégorie A“ .
Cette classification, procure à son titulaire, le droit d’accès à un nombre plus important de visites, mais aussi celui, sous réserve du droit de regard de ses geôliers, d’envoyer et recevoir autant de lettres qu’il le souhaite.
C’est donc, jouissant de cette prérogative, qu’il rédige à Winnie Mandela, plusieurs missives pour la rassurer de son amour, mais aussi de son pardon malgré les nombreuses rumeurs faisant état de ses infidélités avérées.
Mis au courant, par leurs compagnes respectives, des frasques de l’épouse du leader de la lutte anti- apartheid, ses compagnons de détention éprouvent quelque réticence, voire pudeur à l’en informer .
C’est Govan Mbeki, père du futur président de l’Afrique du Sud, Thabo Mbeki, qui au nom d’une proximité personnelle ancienne, se “sacrifie“ pour mettre Madiba au courant. Relativisant et dédramatisant d’emblée tout cela, il prend la nouvelle avec un certain stoïcisme, et en prime un brin de philosophie, en faisant même appel à la sagesse .
Mandela avait – il vraiment pardonné à Winnie ?
Le jeune avocat, auquel Nelson Mandela faisait allusion, n’était autre que Dali Mpofu (voir photos). Personnage très stylé, charismatique, charmant et très éloquent, ce jeune avocat qui faisait partie de l’équipe de défense de Winnie Mandela, était aussi de 30 ans son cadet.
Winnie Mandela, qui à peine marié , avait du affronter les affres et la rudesse de la solitude, découvrait à la faveur de son idylle avec ce jeune avocat, qui pouvait être son fils, les délices de jeune femme, dont la monstrueuse et inhumaine politique raciale d’apartheid l’avait privée. Avec lui, elle découvrait incontestablement, ce qu’elle n’avait jamais connu avec Nelson Mandela .
Car, même si ce dernier ne fut arrêté qu’en 1962, soit quatre après que le couple, ait convolé en justes noces, des années avant son interpellation, il se trouvait le plus souvent à l’étranger, dans des pays sympathisant à la cause de son peuple, comme la Guinée de Sékou- Touré, le Ghana de Kwamé Nkrumah.
Le président Ghanéen, dont le pays avait ouvert le ball des indépendances en Afrique subsaharienne, exception faite bien entendu du Libéria, qui était une colonie de retour d’anciens esclaves affranchis, ne disait – il pas le jour de la proclamation d’indépendance, le 6 mars 1957: “ Notre indépendance ne sera jamais tout à fait complète , et parachevée, tant que tous les autres pays du continent africain , n’auront pas encore obtenu la leur“?
Nelson Mandela, avait aussi été vu et aperçu au Maroc auprès des chefs du FLN (Front de libération nationale "Algérie"), mais aussi en Éthiopie, pays où il avait suivi un entraînement militaire.
Quand Winnie, fait la connaissance de Dali Mpofu, ce dernier est déjà certes avocat, mais pour l’avoir constamment à ses côtés, elle en fait son adjoint dans le département chargé de la protection sociale, au sein de l’ANC. Le jeune avocat, est à la faveur de cette “promotion“, de tous les voyages qu’effectue Winnie, aussi bien à Paris, Londres, aux États- Unis ou encore dans les pays scandinaves, investi à la cause de l’ANC.
Dali Mpofu a rejoint l'ANC par l'intermédiaire de Winnie Mandela en 1991
C’es d’ailleurs, à la Suède, que dès sa sortie de prison, Mandela réservera son tout premier déplacement en Occident. Le président de l’ANC d’alors, Oliver Tambo, pourtant réfugié à Londres, y recevait des soins.
À sa sortie de prison, Nelson Mandela, avait espéré pouvoir faire table rase du passé, des nombreuses infidélités alléguées à son épouse, dont les rumeurs parvenaient systématiquement jusque lui, et ainsi repartir sur des bases saines et nouvelles.
Mis au courant, par des âmes charitables, de tous les écarts de sa compagne, il faisait exprès le naïf et l’ignorant, en ne prêtant pas le flanc, à tous ceux qui venaient lui colporter les frasques, de celle pour qui il avait conservé entièrement intacte, la flamme des premiers jours. .Par ailleurs, il tenait aussi à préserver à la face du monde entier, le mythe de la combattante sans failles ni reproches, pour les droits politiques et civiques de la majorité noire. Pour lui, il se tenait pour seul responsable, de ce qu’il était advenu de sa tendre Winnie. Il s’en voulait de n’avoir pas pu ou su, la protéger elle et les enfants, de la cruauté du monde politique.
Winnie Mandela est jugée en 1991 pour son rôle dans le meurtre en 1988 d'un écolier, Stompie Seipei Moeketsi.
Le 16 février 1989, soit environ une année avant sa sortie de prison, les dirigeants de l’UDF (Union des forces démocratique), un mouvement qu servait de paravent et de prête -nom à l’ANC, interdit d’existence légale, avaient exclu des rangs du parti, celle que les militants appelaient affectueusement “ Mamma Wethu” – Mère de la nation –, au motif d’avoir couvert , sinon ordonné l’enlèvement et la séquestration, de quatre jeunes noirs, âgés de 29, 19, et de 14 ans. Il est reproché aux jeunes gens, d’avoir servi d’informateur à la police, en accusant certains membres de Winnie, de se livrer à des actes d’ homosexualité, avec un pasteur Blanc , qui avait choisi de vivre à Soweto. Si trois des quatre jeunes, parviennent à s’échapper, le corps sans vie du quatrième, vraisemblablement égorgé, sera retrouvé dans une petite allée de Soweto en janvier 198 .
La presse Sud- Africaine, se saisit de l’affaire, s’en délecte à longueur d’éditoriaux, et lui consacre plusieurs unes, sous forme de feuilleton. Winnie Mandela y est désignée.
Winnie Mandela , aura à répondre devant la justice de l’accusation de complicité de meutre. Libéré de prison le 11 février 1990, Nelson Mandela en personne, accompagnera son épouse, sept mois plus tard au tribunal, où elle se verra signifier de façon formelle son inculpation (mise en examen) dans l’affaire du meutre de ce jeune Noir. Au terme du procès, qui eut lieu le 4 février 1991, elle écopa d’une condamnation de 6 ans prison, qui fut en appel commuée en une simple amende. Car, les juges ont estimé que le contexte politique de l’époque (nous étions en pleins pourparlers de négociations de transition, et de la refonte complète des institutions), ne se prêtait guère à une application stricte et rigoureuse, des textes de loi.
Du fait de la condamnation, même symbolique de Winnie, le projet d’anoblir Madiba, sera tout simplement annulé par les conseillers de la reine d’Angleterre.
Car, on voyait assez mal comment on pouvait signifier au chantre de la lutte anti apartheid, qu’on voulait bien l’inviter à Buckingham Palace pour se faire anoblir, mais que dans le même temps, la présence de son épouse n’était pas souhaitable, parcque ça faisait mauvais genre, et qu’elle était infréquentable et donc indésirable, sans provoquer au minimum un incident diplomatique, ou un motif de vexation inutile. Shocking and imprope, comme disent les British.
Quand un homme est anobli en Lord ( Seigneur ), comme la reine le pressentait pour Mandela dont la statue trône en bonne place, face au parlement de Westminster, sa compagne acquiert mécaniquement le titre de Lady.
Quand Mandela est élu président d'Afrique du Sud, il donna un portefeuille ministériel à sa femme dont il s'est séparée.
Mais des questions allaient surgir à propos de son utilisation de déniers du parti, et Mandela finalement divorça d'elle en 1996, l'accusant d'adultère.
Le 13 avril 1992, le monde entier fut choqué d’apprendre de la bouche même de Nelson Mandela, qu’il se séparait de Winnie, elle aussi icône de la lutte anti apartheid, par association, c’est-à-dire comme Princesse et consort, comme on dit en jargon de protocole.
Ce beau roman, que le couple avait vendu à la terre entière se défaisait devant les médias.
De plus en plus isolée de ses collègues de l'ANC désireux de releguer aux oubliettes leur passé de militants, Winnie Madikizela-Mandela, se trouva de nouveau empêtrée dans une controverse pour infraction au code parlementaire.
Elle est jugée cette fois-ci pour fraude et vol. Elle est reconnue coupable du chef d'accusation de vol, mais elle n'ira pas en prison.
Au lieu d'une première dame quelconque, Mandela avaient le plus souvent à ses côtés, durant les premières années de sa présidence, sa fille bien aimée Zindzi.
Bien qu'elle représentait son père à l'étranger quand cela était nécessaire, elle semblait incapable d'éviter les controverses au pays en Afrique du Sud.
Le scandale Zindzi
En 2003, un tribunal de Johannesbourg ordonna à Zinzi et à son mari de payer deux millions de rand (à l'époque, équivalent de £400,000 ou $600,000) à une banque après une tournée des Boys II Men qu'elle avait financée sur prêts et qui se révéla un fiasco.
Mandela déclara lui-même: "Quand votre vie est elle-même la lutte, il vous reste très peu de temps pour la famille. Cela a toujours été mon plus grand regret".
Beaucoup en furent meurtris.
Aux tabloïds, qui espéraient des révélations fracassantes, de la part du veil homme, ce dernier se contenta de dire:
“Mon amour pour elle reste inchangé. Je me sépare de ma femme sans recriminations. Je la serre dans mes bras avec tout l’amour et toute l’affection que j’ai toujours éprouvées pour elle. Durant les deux décennies que j’ai passées à Robben Island, elle fut pour moi un indispensable pilier de support e de réconfort. Messieurs et Dames, j’espère que vous appréciez la douleur et la peine que j’ai eu à connaître.”
Sauf que, face un tel assaut de générosité, d’élégance, de classe et même de chevalerie, se cachait toute une autre réalité. Depuis sa sortie, de prison le 11 février 1990, Winnie Mandela qui avait imposé à son époux, de faire chambre à part, refusait d’avoir le moindre rapport sexuel avec ce dernier. Elle passait des longues heures, avec son amant, l’avocat Dali Mpofu, et il n’était pas rare qu’elle regagne le domicile familial, quand le vieil homme s’était déjà retiré dans sa chambre à coucher. Elle s’affichait ouvertement avec son amant, avec lequel elle menait grand train, dépensait sans compter lors de ses nombreuses escapades, hors du pays, où rien n’était trop beau ou trop cher pour le couple, qu’on apercevait dans les plus grands hôtels et restaurants de luxe, ou achetant des bijoux et vêtements luxueux, chez les plus grands couturiers.
Le jour de l’audience de leur procès, Nelson Mandela, parviendra à arracher les larmes aux nombreux personnes présentes, en déclarant d’une voix émotive:
“Je peux en toute franchise dire, que je ne me suis senti l’homme le plus seul de la planète, quand j’ai découvert, que ma femme m’avait abandonné pour suivre ce jeune à New York. Je dois enfin à la vérité de reconnaître, et mes anciens compagnons de lutte qui étaient avec moi à Robben Island, le diront, que même en prison je n’ai jamais été soumis au même type de solitude que Winnie m’a fait subir, depuis ma sortie.“
Au courant des infidélités de sa femme, Nelson Mandela avait souhaité préservé la face et une certaine dignité. Aussi, lorsque celle- ci vint lui annoncer qu’elle se rendait à New York, dans le cadre de ses activités de l’ANC, lui conseilla-t-elle de ne pas effectuer le voyage, en compagnie de son amant Dali Mpofu.
Peu de temps après son arrivée aux États–Unis, Madiba vint aux nouvelles, comme il est normal, pour un époux, de s’enquérir des nouvelles de sa conjointe en voyage. Mais à sa grande surprise, c’est la voix de Dali Mpofu, l’amant de Winnie qu’il reconnut à l’autre du combiné. Furieux, le vieil homme prit quelques affaires indispensables, et alla s’installer chez un couple d’amis.
C’est cet ami, qui lors du mariage de Zindzi, la "fille" de Madiba, fera remarquer à un journaliste que le héros de la lutte anti apartheid, a sincèrement pardonné à ses anciens geôliers et adversaires politiques, mais n’a jamais pardonné à Winnie.
Le jour du mariage de leur fille, Nelson Mandela ignorera ostensiblement Winnie, à qui il tournera superbement le dos, lors de la coupure du gâteau, ou de l’ouverture du ball des mariés. Il ne prononcera davantage pas le moindre mot, en allusion à elle, au moment de son allocution, dans laquelle comme il est de tradition, les parents qu marient leurs filles, déclarent que désormais elles ne leur appartiennent plus.
Cette manifestation d’amertume, et de rancoeur, tient sans doute son explication dans le fait que , depuis leur divorce, Mandela avait appris des nouvelles indiscrétions sur les frasques de son ex femme, avec son amant.
Il lui avait en effet rapporté que cette dernière, objet d’accès de jalousie, avait fait une scène à son jeune amant, qu ‘elle avait ouvertement et publiquement menacé de mort, pour infidélité . Or, Mandela appartient à la vielle école des gentlemen. Chez cette race particulière d’hommes en voie d’extinction, une femme qui éprouve de la jalousie pour un amant, avec lequel elle trompe ou à trompé son mari, est coupable d’un acte de double trahison.
Celle qui avait eu pour premier prénom “ Nomzano”, qui en langue Xhosa signifie littéralement “Celui ou celle qui a subi de nombreux procès“, avait d’abord nié tout acte d’ecart conjugale, avant de se trahir plus tard par une lettre de scène de ménage, parvenue entre des mains indésirables.
Apprenant que Dali Mpofu, son jeune amant entretenait une liaison avec une autre femme plus jeune qu’elle, elle s’est fendue d’une lettre à son intention. Pas de bol, la lettre atterrit dans les bureaux du Sunday Times de Johannesburg, qui en publie l’intégralité:
"Nelson Mandela a quitté Winnie Mandela à cause de Dali Mpofu, Winnie trompait Mandela avec Mpofu, Nelson était un homme intègre, Laissez la femme lire une lettre écrite par By Winnie à Mpofu."
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"Vous passez votre temps à baiser avec une moindre excuse émotionnelle. Le fait que je n’ai pas parlé à Tata ( Nelson Mandela) pendant cinq mois maintenant à cause de toi, n’est pas ta préoccupation. Je te dis que la situation se détériore à la maison. Tu n’es pas dérangé parce que tu te satisfais chaque nuit avec une femme. Je ne vais pas être ton imbécile, Dali."
Les aveux d’infidélité, que Madiba attendaient et souhaitaient de la part de Winnie, viendront finalement le jour des obsèques du héros de la lutte anti apartheid. Et c’est de la plus belle manière, que “ Mamma Wethu”, les fera, puisqu’elles prendront la forme d’une lettre ouverte.
Histoires de couples illégitimes et d'enfants nés hors mariage.. Il n'y a pas de fumée sans feu
Le "petit-fils" du père de la nation sud-africaine avait transféré les corps de son père, son oncle et sa tante du cimetière de Qunu (sud), le village d’enfance de Nelson Mandela, vers le cimetière de Mvezo, son village natal situé à une trentaine de kilomètres.
L'aîné des "petits-fils" de Nelson Mandela, Mandla, s'est livré jeudi à une attaque en règle contre certains membres de la famille, allant jusqu'à évoquer des histoires de couples illégitimes et d'enfants nés hors mariage lors d'une conférence de presse retransmise en direct dans toute l'Afrique du Sud.
La conférence de presse du petit-fils de l'ancien président Nelson Mandela... Ceci alors que les restes de trois des enfants de Madiba subiront des tests médico-légaux après avoir été gardés dans un salon funéraire à Mthatha. Les trois tombes au centre de la querelle sont celles de la fille de Nelson Mandela Makaziwe, morte bébé en 1948, de son fils Thembekile tué à 24 ans dans un accident de voiture en 1969, et de Makgatho décédé du sida à 55 ans en 2005.
Abandon provisoire des poursuites contre un petit-fils de Mandela accusé de viol
L'accusation a rappelé que l'abandon provisoire des poursuites ne signifiait pas que l'accusé était "tiré d'affaire". "Les charges peuvent être rétablies plus tard, selon l'avancée de l'enquête".
Un tribunal sud-africain a abandonné "provisoirement" mercredi les poursuites pour viol contre un petit-fils de l'icône anti-apartheid et ancien président, Nelson Mandela.
Le jeune homme, dont la procédure sud-africaine interdit de donner l'identité complète avant le procès, était accusé d'avoir violé une jeune fille mineure à l'arrière d'un bar de Johannesburg.
L'accusation a annoncé qu'elle retirait ses poursuites dans l'intérêt du procès en attendant de trouver d'éventuelles nouvelles preuves, liées à l'affaire.
"Nous avons obtenu de nouvelles informations qui nécessitent une enquête approfondie", a indiqué la porte-parole de l'accusation, Phindi Louw.
Mme Louw a rappelé que l'abandon provisoire des poursuites ne signifiait pas que l'accusé était "tiré d'affaire". "Les charges peuvent être rétablies plus tard, selon l'avancée de l'enquête", a-t-elle précisé.
L'avocat de l'accusé affirme que leur relation sexuelle était consensuelle et que la victime était âgée de 16 ans. La loi sud-africaine interdit les relations sexuelles, même consenties, avec un mineur de moins de 16 ans.
Le petit-fils de Nelson Mandela a été arrêté en août 2015 et avait passé 10 jours en prison avant d'être libéré sous caution.
La famille Mandela a déjà alimenté la chronique judiciaire ces derniers mois. Mandla Mandela, l'aîné des petit-fils de l'ex-président et député ANC, le parti au pouvoir, avait été condamné l'an dernier à une amende de 10.000 rands (590 euros) dont 2.000 avec sursis pour l'agression d'un automobiliste en 2013.
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