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Venezuela- Algérie: TPS pour les Vénézuéliens!. Don de doses de vaccins à l’Algérie!…

Venezuela- Algérie: TPS pour les Vénézuéliens!.  Don de doses de vaccins à l’Algérie!.

Venezuela, Algérie… les pays producteurs de pétrole foncent vers une grave crise, les deux pays  font l’objet de sévères critiques en matière des droits humains, des pays où les représentants des tyrans les plus sanguinaires de la planète.

La chute des cours du pétrole alimente de multiples craintes. AIE et Opep alertent sur des impacts « majeurs » pour certains pays producteurs, notamment les plus fragiles. La chute des prix du pétrole donne le sourire aux automobilistes… mais fait grincer des dents, chez les pays émergents producteurs de pétrole, à l’instar des plus fragiles (Algérie, Venezuela…). Les responsables de l’Opep et de l’Agence internationale de l’énergie (AIE) ont exprimé en mars 2020 leur craintes d’impacts économiques et sociaux « majeurs » pour les pays producteurs de pétrole, en particulier les plus vulnérables, dans le contexte de la crise actuelle. « Si les conditions de marché actuelles persistent, leurs revenus issus du pétrole et du gaz chuteront de 50% à 85% en 2020, atteignant leur plus bas niveau en plus de 20 ans », se sont alarmés Mohammed Barkindo et Fatih Birol, secrétaire générale de l’Opep et directeur de l’AIE, dans un rare communiqué commun. « Cela devrait entraîner des conséquences sociales et économiques majeures, notamment pour les dépenses publiques dans des domaines vitaux tels que la santé et l’éducation », poursuit le texte.

Cela a été une semaine pleine de réalisations importantes pour l’administration Biden-Harris, qui se concentre avec succès sur les efforts de contrôle de la pandémie, corrigeant ses conséquences socio-économiques avec la promulgation de la loi de secours financier contre le Covid-19, pour un montant de 1,9 billion de dollars. Pendant ce temps, le gouvernement Biden a décrété une autre décision particulièrement pertinente pour la communauté vénézuélo-américaine, célébrée par les communautés latino-américaines en général: la désignation du statut de protection temporaire de l’immigration (TPS) pour le Venezuela.

Pendant plusieurs années, j’ai consacré une grande partie de mon énergie à défendre la cause de la protection des réfugiés vénézuéliens sous le slogan #TPSParaLosVenezolanos.

La situation au Venezuela a régressé depuis ce qui a commencé comme un gouvernement qui, bien qu’élu, est devenu un néo-autoritaire, avec une rhétorique populiste maléfique, sous la direction d’Hugo Chávez; à la détérioration significative actuelle des conditions de vie des Vénézuéliens, qui combattent et résistent au régime dictatorial de son successeur, Nicolás Maduro; dont le gouvernement s’engage dans de graves violations des droits de l’homme pour réprimer la dissidence, a dilapidé la richesse pétrolière du pays et détruit ce qui était autrefois l’une des démocraties et économies les plus prometteuses d’Amérique latine.

Discours de Bachelet sur le Venezuela devant le Conseil des droits de l’homme de l’ONU

Le dernier rapport de la prestigieuse Haut-Commissaire aux droits de l’homme aux Nations Unies, l’ancienne présidente chilienne Michelle Bachelet, est une preuve claire de l’ampleur de la répression du régime vénézuélien et de son caractère oppressif au milieu d’une crise humanitaire profonde.


Les conditions du pays, bien documentées dans le décret désignant le TPS promulgué par le secrétaire à la Sécurité intérieure de l’administration Biden-Harris, Alejandro Mayorkas, en concertation avec le département d’État, confirment que les Vénézuéliens fuient un régime qui ne le fait pas seulement. pratique la répression politique, mais a également instauré le règne de la peur et de la terreur (la Haut-Commissaire de l’ONU Bachelet a dénoncé – comme nous l’avons fait il y a quelques années à IQLatino – les pratiques horribles, y compris les exécutions extrajudiciaires par des groupes paramilitaires affiliés au régime). Au-delà de cette situation politique, l’effondrement économique et institutionnel au Venezuela a eu des répercussions graves et négatives sur la sécurité alimentaire et la santé. L’ampleur de l’exode des Vénézuéliens compte plus de 5 millions de réfugiés, qui traversent les frontières avec la Colombie ou le Brésil, et de là vers d’autres pays voisins d’Amérique du Sud. En outre, des milliers de personnes qui le pouvaient ont investi leurs ressources limitées pour atteindre l’Europe (principalement en Espagne), avec 320 000 réfugiés débarquant au fil des ans aux États-Unis.

Les USA vont faire don de plus de 1,8 million de doses de vaccins d’ici l’été à l’Algérie.

L’ambassade des États-Unis à Alger a annoncé, ce mardi 9 mars 2021, dans un communiqué publié sur sa page Facebook, que les États-Unis comptent faire don de plus de 1,8 million de doses de trois différents vaccins contre le coronavirus Covid-19.

« Grâce à COVAX, 1.881.600 doses de vaccins AstraZeneca, Pfizer/BionTech et / ou Johnson & Johnson seront données à l’Algérie d’ici cet été », a indiqué la représentation diplomatie US à Alger dans le même communiqué.

L’ambassade indique que les États-Unis « sont fiers d’être le plus grand donateur de COVAX, l’initiative mondiale visant à garantir un accès équitable aux vaccins contre la COVID-19 ».

« Les États-Unis sont fiers d’être le plus grand donateur de COVAX, l’initiative mondiale visant à garantir un accès équitable aux vaccins COVID-19. Nous travaillons avec nos partenaires de Gavi, l’Alliance mondiale pour les vaccins; l’Organisation mondiale de la santé; et la Commission européenne pour veiller à ce que les ressources internationales puissent être coordonnées pour aider à l’éradication du COVID-19. Grâce à COVAX, 1 881 600 doses de vaccin seront données à l’Algérie d’ici cet été.  » Ambassade US Alger

L’ONU demande à l’Algérie de libérer dans l' »immédiat » les détenus du Hirak.

Mme Michelle Bachelet,  Haute-Commissaire des Nations Unies aux droits de l’homme a lancé le 27 février dernier un message clair et net au régime algérien : il faut libérer immédiatement tous les détenus politiques. Michelle Bachelet a cité le cas de l’Algérie dans son discours prononcé devant le Conseil des droits de l’homme des Nations-Unies qui est un organe intergouvernemental du système des Nations Unies, composé de 47 États qui ont la responsabilité de renforcer la promotion et la protection des droits de l’homme autour du globe.


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