SOS « ARNAQUES IMMOBILIÈRES » Scénarios qui se répètent ! Espace Saada, …Bab Darna By Karima Kaddouri ©®
L’histoire de ce mauvais film pour une majorité de MRE/MDM se répète comme une série tv-réalité immonde et sans fin ! Smap, banque, vendeurs, sont-ils des maillons dissociables ou indissociables de ces arnaques ?!
Le SMAP, désigné comme le plus grand salon de l’immobilier marocain en Europe,
Les banques partenaires indispensables à la vente-promotions sur plan- vefa,
Les vendeurs commercialisateurs de ces opérations immobilières…
Est-il nécessaire de justifier ces SOS arnaques immobilières !
Ces escroqueries sont atrocement mal vécues par une population dont une forte majorité de MDM-Mre ! Des projets de vie ont été brisés car ils n’ont jusqu’aujourd’hui, aucun recours, enfin aucun interlocuteurs institutionnels pour les accompagner dans leurs demandes de recours, de dédommagement, pour cette « carotte immobilière » qui se répète manifestement sans aucun nouveau cadre de contrôle.
De 2013 avec Espace Saada immobilier, …à l’année 2019 avec Bab Darna ! Le plus dément c’est que pour nombreuses victimes, plus de 1000 victimes pour Bab Darna en 2019, il est question d’une «modeste somme de près de 60 millions d’Euros » :
– Les victimes n’ont pas pu récupérer leurs apports auprès de banques. – On continue à faire des prélèvements de traites – crédit immobiliers pour ces mêmes arnaques, des prélèvements sur le compte des victimes par les banques alors que ces affaires ont été dénoncées ! Suite aux premiers exploits d’escroqueries, je cite : – Il y aurait un vide juridique, « régie par une loi de 2002, amendée en 2016 pour mieux encadrer les transactions, mais toujours sans décret d’application et en cours de finalisation » …
C’est une question que les victimes ne peuvent comprendre : ils ont souscrit dans un cadre évent grandiose, évent professionnel de l’immobilier, avec la présence des grandes banques du Maroc, où l’affect est mêlé à l’indice de confiance que favorise ces évènements – évents par ses organisateurs et exposants, et où les grands publicitaires européens sont sollicités sur tous les fronts pour marquer ces évènements!
Posons les bonnes questions pour résoudre ces arnaques :
Ce fléau, est à l’évidence un phénomène qui se répète et il devient bien un fléau d’escroquerie financière. Ces arnaques explosent et s’exposent comme des risques trop fréquents au Maroc.
Les traçabilités financières sont possibles, non plus à l’échelle nationale mais peuvent faire l’objet d’une large possibilité de traçage à l’international si nous souhaitons réellement nous pencher sur ces actes, qui rappelons, dont pénalement condamnables et dont les préjudices dépassent le préjudice financier, déjà très fragilisant. Il suffirait de les qualifier de « délits caractérisés » !
Ils sont orchestrés diaboliquement et améliorés, bien préparés, et ce constat naïf de faits se répètent inlassablement.
Leur principale cible est d’escroquer une population MDM-Mre souvent fragile, fragile sur le plan de l’affect et de tous liens qui la renvoient à son à son Maroc d’origine.
Je cite -(Lisons les propos indigne suivants) : « Hélas, il y a des visiteurs qui veulent acheter à tout prix, les yeux fermés. Ils se retrouvent à avoir quelques soucis, puisque le contrat qu’ils ont signé n’est pas suffisamment bien ficelé pour qu’ils puissent réclamer leur dû »… Faut-il souligner à ces « excuses- irresponsables » que ces ventes se sont effectuées :
– Dans un cadre spécialisé, le smap entre autres, « Évents pour l’immobilier marocain », – Dans un cadre où préoccupation d’éthique et de professionnalisme dédié à l’immobilier s’observe par une rigueur légale de la profession pour pouvoir exposer ! – Des notaires, les notaires présumés absents ou oubliés(?) alors que face à ces multiplications d’escroqueries, ils auraient dû obligatoirement et évidemment dès les premiers constats, de carottes immobilières, faire partie de l’encadrement des ventes ! Les intégrer dans les clauses et charges, comme un élément de contrat inconditionnel pour vendre sur ces espaces dédiés à la vente de l’immobilier marocain à l’international. – Un promoteur immobilier a une banque qui l’accompagne. Ces mêmes promoteurs « escrocs » ont validé le « facteur risque et garantie », une garantie de fonctionnement et de fonds de garantie auprès des banques qui leur ont donné un « crédit de confiance » dans la présentation en vente VEFA qu’ils ont proposé à la vente sur ces espaces dédiés!
On n’a nullement besoin d’être juriste pour accuser des erreurs du passé et, recadrer les transactions, toutes transactions immobilières, se corriger par des supports juridiques, légiférer, et de conséquences à l’international, pour limiter les escrocs qui ont flairé les manquements de bases pour les «professionnels de l’immobilier et de la finance»
On ne peut évidemment pas se dédouaner de ses responsabilités dans ces affaires qui se répètent à la fréquence de salon de l’immobilier !
Les arnaques immobilières, je ne puis penser une minute qu’il n’y a pas de recours possible auprès des banques ou organisme de caution pour ces programmes immobiliers.
Les banques prêteuses doivent absolument se retourner contre ces associations de malfaiteurs qui ont obligatoirement pris les garanties pour les risques de la viabilité des dits projets en VEFA
La Banque-finance a-t-elle un rôle ou un poste « secondaire » dans les opérations VEFA (Vente en état de futur achèvement, c’est à dire sur plan)
Faisant suite aux nombreuses plaintes, Je cite :
Cette réforme va instaurer « l’obligation du contrat », précise à l’AFP Mohamed Hilali, directeur des affaires juridiques au ministère. Avancée notable, « l’acquéreur pourra réclamer des dommages en cas de retard de livraison », et payer selon des étapes prévues au contrat, tandis que le promoteur aura davantage de « souplesse » dans le financement des projets et sera protégé en cas de désistement
2014-2015, M. El Chammah espère qu’avec cette loi, « il n’y aura plus de malentendus entre promoteur et acheteur ».
2019, des arnaques en résurgences pour un montant de près de 60 millions d’euros !!
Qu’est ce que cette obligation de contrat ?
Une obligation désuète, par écrit, qui n’engage que celui qui est le signe, et en l’occurrence, les protagonistes ont à priori des flux « opaques et intraçables » d’après des investigations très légères et superficielles.
C’est encore un moyen de se déresponsabiliser du problème récurrent, alors que nous savons que les transferts internationaux font l’objet d’une demande de provenance des fonds par les banques pour un virement , tout juste supérieur à juste 1000 euros ?!
Il faut résoudre urgemment ces évènements de désordre financier et immobilier, d’ampleur internationale :
Et les victimes sont majoritairement des Mdm-Mre : Ils font l’objet d’arnaques car crédules et confiants par des enseignes notoires et d’envergures internationales, au travers de tout ce qui se réfèrent au Maroc.
Car, de nombreux operateurs immobiliers, exigeant avec la profession et travaillant avec professionnalisme font les frais de ces arnaques, lesquels peuvent être décrédibilisés dans le rapport de confiance.
Car, l’escroquerie immobilière est un phénomène qui se répète et « séquencé » par les évents de l’immobilier marocain à l’international. By Karima Kaddouri©®
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