Simple question de temps: Le polisario bientôt classée organisation terroriste.
Il dispose d'une milice soutenue et armée par l'Algérie et l'Iran, qui l'a employée dans ses guerres par procuration dans la région.
Ce mouvement séparatiste du “Polisario”, incapable, aujourd’hui, d’offrir de réelles perspectives d’avenir à ses adhérents. Son ex secrétaire général, Mohamed Abdelaziz, reconnaît d’ailleurs la vulnérabilité de son mouvement. «Nous ne vivons pas dans une île et tout ce qui touche l’Afrique, le monde arabe et le Maghreb nous touche ! Il se peut que l’attente, les déceptions ainsi que les idées ayant cours au Maghreb puissent toucher quelque peu notamment la jeunesse. Il se peut qu’il puisse se trouver de jeunes Sahraouis intéressés par l’islamisme radical[1] », déclarait-il en 2005.
Le chef du groupe jihadiste Etat islamique au Grand Sahara (EIGS), Adnan Abou Walid Al-Sahraoui (membre du polisario), a été tué par les forces françaises.
Adnane Abou Walid al-Sahraoui, né le 16 février 1973 à Laâyoune, au Sud du Maroc, et mort le 17 août 2021 dans la forêt de Dangarous, près d'Ouatagouna, au Mali, est un djihadiste sahraoui. Membre du Front Polisario pendant la guerre du Sahara, il rejoint ensuite les djihadistes et devient le premier chef au Sahel à faire allégeance à l'État islamique. Fondateur et dirigeant du groupe terroriste État islamique dans le Grand Sahara (EIGS), il meurt lors d'une frappe de l'armée française, pendant la guerre du Mali.
Lahbib Abdi Said se rapproche de la mouvance islamiste au début des années 1990.
Vers 2010, Adnane Abou Walid al-Sahraoui apparaît au nord du Mali et participe à la fondation du Mouvement pour l'unicité et le jihad en Afrique de l'Ouest (MUJAO). En 2012, au début de la guerre du Mali, il est porte-parole du MUJAO à Gao. Il rallie ensuite le groupe Al-Mourabitoune, né en 2013 de la fusion du MUJAO et des Signataires par le sang de Mokhtar Belmokhtar. Il devient le chef de la branche malienne de ce groupe après la mort d'Ahmed al-Tilemsi en 2014.
Il s’agit d’un nouveau succès majeur dans le combat que nous menons contre les groupes terroristes au Sahel
Le chef du groupe jihadiste Etat islamique au Grand Sahara (EIGS), Adnan Abou Walid Al-Sahraoui, a été tué par les forces françaises, a annoncé Emmanuel Macron sur Twitter dans la nuit de mercredi 15 au jeudi 16 septembre.
Paris avait déjà annoncé la mort ou la capture de plusieurs cadres de haut rang de l’EIGS par la force française Barkhane et ses partenaires, dans le cadre de sa stratégie de cibler les dirigeants et les cadres des organisations jihadistes. Le chef de l’EIGS « est mort à la suite d’une frappe de la force Barkhane », a tweeté de son côté la ministre française des Armées Florence Parly, en saluant également « un coup décisif contre ce groupe terroriste ». « Notre combat continue », a-t-elle affirmé. L’EIGS, créé en 2015 par Adnan Abou Walid al-Sahraoui, membre du Front Polisario et de la mouvance jihadiste Al-Qaïda au Maghreb Islamique (AQMI), avait été désigné comme «ennemi prioritaire» au Sahel, lors du sommet de Pau (sud-ouest de la France), en janvier 2020. Il est en effet considéré comme étant à la manœuvre de la plupart des attaques dans la région des «trois frontières», un vaste espace aux contours vagues à cheval sur le Mali, le Niger et le Burkina Faso. Cette zone constitue la cible récurrente d’attaques de deux groupes armés jihadistes: l’Etat islamique au Grand Sahara (EIGS) et le Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans (GSIM), affilié à Al Qaïda. L’EIGS a perpétré des attaques particulièrement meurtrières, visant civils et militaires, au Mali, au Niger et au Burkina Faso. Il avait pris pour cible des soldats américains dans une attaque meurtrière en octobre 2017, au cours de laquelle quatre soldats américains des Forces spéciales et quatre Nigériens avaient été tués dans une embuscade à Tongo Tongo, près du Mali, dans le sud-ouest du Niger. Fin 2019, l’EIGS avait mené une série d’attaques d’ampleur contre des bases militaires au Mali et au Niger. Le 9 août 2020, au Niger, le chef de l’EIGS avait personnellement ordonné l’assassinat de six travailleurs humanitaires français et de leurs guide et chauffeur nigériens. Cette attaque contre des jeunes engagés dans l’humanitaire avait suscité une vive émotion en France et au Niger, classé ensuite en zone rouge, soit « formellement déconseillée », à l’exception de la capitale Niamey, par le ministère français des Affaires étrangères. Après plus de huit ans d’engagement important, Emmanuel Macron a annoncé en juin une réduction de la présence militaire française au Sahel et la fin de l’opération antijihadiste Barkhane au profit d’un dispositif resserré, recentré sur les opérations de contre-terrorisme et l’accompagnement au combat des armées locales, autour d’une alliance internationale associant des Européens. «La Nation pense ce soir à tous ses héros morts pour la France au Sahel dans les opérations Serval et Barkhane, aux familles endeuillées, à tous ses blessés. Leur sacrifice n’est pas vain. Avec nos partenaires africains, européens et américains, nous poursuivrons ce combat», a ajouté Emmanuel Macron dans un autre tweet.
On se demande s’il n’est pas temps pour le Maroc de déclarer le polisario comme une organisation terroriste
Le polisario continue de menacer d'attentats terroristes
Les appels à commettre des actes terroristes contre le Maroc révèlent le vrai visage et l’état d’hystérie des séparatistes dans les camps de Tindouf en Algérie, écrit le quotidien péruvien «Prensa 21 » dans un article d’opinion signé Ricardo Sanchez Serra, s’interrogeant si le Polisario, à travers ces menaces, ne cherche pas à activer ses alliances avérées avec les terroristes afin de mener des actes de sabotage dans les villes du Sahara marocain ?
Le prétendu chef de l’armée du Polisario, le sans-grade Mohamed El Ouali Ekeik, vient de menacer que des «opérations» subversives seront bientôt menées dans les villes du Sahara marocain deux villes qui comptent 27 représentations diplomatiques (15 consulats généraux ont été ouverts à Dakhla et 12 à Laâyoune). Cet appel, sans équivoque, à des actes terroristes contre le Maroc dévoile le vrai visage, mais aussi la débandade, des séparatistes de Rabouni.
Selon lui, les grandes villes du Sahara sont désormais une cible où «des milliers de jeunes Sahraouis sont prêts à y mener, avec tous les moyens à leur portée», des actes subversifs de tous genres.
Appels au meurtre
Arrêté à Bilbao le 30 mars 2021, Fayçal al-Bahloul, alias « Boukhnouna », présent illégalement sur le territoire espagnol, a été refoulé en direction du Royaume le 16 novembre.
Né dans la commune rurale de Labiar, dans la région de Guelmim, Fayçal al-Bahloul émigre dans les années 1990 avec son père aux îles Canaries, où il exerce pendant un temps le métier de serveur, avant d’être enrôlé par la branche locale du Polisario Il acquiert une petite notoriété sur internet en 2020, auprès de la frange la plus radicale du mouvement séparatiste, en postant régulièrement sur YouTube et sur son compte Facebook des vidéos où il se présente comme un imam et appelle, entre autres, au meurtre de policiers et de civils marocains. Il a également publiquement menacé de mort et d’enlèvement Ali Barrich, un blogueur marocain, qui a décidé de porter plainte contre lui.
Outre ses frasques en ligne, « Boukhnouna », comme il est surnommé sur les réseaux sociaux, a participé à des manifestations pro-Polisario dans plusieurs pays européens, notamment en France. Une source judiciaire contactée on comptabilise pas moins de 14 allers-retours entre les deux pays, de août 2010 à mai 2018.
Tunnels: modus operandi similaire à celui du Hezbollah
On comprend ainsi mieux pourquoi le Maroc a rompu en 2018 ses relations diplomatiques avec la république islamique d’Iran, accusée de soutenir, entraîner et armer aussi le front Polisario, via son allié le mouvement Hezbollah libanais, avec la bénédiction d’Alger. Bien sûr, le Maroc connaissait depuis longtemps cette connexion Iran-Hezbollah-Polisario. Le rétablissement de l’axe Rabat-Téhéran en 2016 était en effet conditionné à l’arrêt de tout soutien au front séparatiste du Polisario. Un engagement encore une fois non tenu par Téhéran, qui a continué, via son ambassade à Alger, d’apporter son soutien au front polisario.
Pour s’en apercevoir, il n’est qu’à constater que la nouvelle stratégie de guerre du Polisario reposant sur les tunnels est calquée sur l’expérience du Hezbollah au Liban. Le général algérien à la retraite, El Haj Bouderas (ex-commandant du secteur opérationnel de Tindouf, abritant le QG du Polisario), avait d'ailleurs été très explicite sur ce point. Il a relevé dans un ouvrage publié en 2015, sous l’intitulé «L’expérience militaire du Polisario», la construction par les séparatistes d’un réseau de tunnels sous terrains en perspective de toute reprise des hostilités armées avec le Maroc.
Dans le même livre, le haut galonné algérien souligne que ce mode opératoire «a donné ses fruits lors de la guerre de 2006 contre Israël, dès lors qu’il a permis une sécurisation des hommes et du matériel de guerre, qui demeurent à l’abri des frappes ennemies».
Le même haut gradé algérien indique que des manoeuvres militaires de mise à l’épreuve de ce nouveau dispositif militaire ont été menées à travers la simulation de franchissement de la ligne de défense des Forces armées royales via des tunnels souterrains. La preuve, à qui veut bien voir, que le Polisario et son mentor algérien n'étaient pas sérieux quand ils appellaient à la reprise des négociations. Que des manoeuvres dilatoires destinées à endormir la vigilance quant à leurs réels desseins belliqueux.
Une équipe de journalistes du site «Vice Media», filiale de la compagnie américaine «Vice Media LCC», basée à New-York, a rediffusé, simultanément avec la crise orchestrée dans la zone tampon, un reportage sur les tunnels creusés par le Polisario au-delà du dispositif de défense marocain. Détails.
On en sait un peu plus sur les activités militaires des éléments armés du Polisario dans la zone tampon, à l’origine de la crise suscitée dernièrement par le front séparatiste galvanisé par Alger. Une équipe de journalistes du site «Vice Média», filiale de la compagnie américaine, «Vice Media LCC» (basée à New-York), a rediffusé, en contrepoint des derniers mouvements du Polisario au-delà du dispositif de défense marocain, un reportage sur les activités militaires du front séparatiste.
Ce reportage inédit montre une journaliste américaine accéder, via un trou camouflé en plein désert, à un tunnel, où elle a interviewé, dans un espace de cette galerie, aménagé en «salle de repos», des éléments de la troupe des séparatistes armés de fusils d’assaut.
Des secrets sur le modus operandi suivi à l’intérieur des tunnels sont divulgués par ces éléments armés à la journaliste US, lui révélant que leur présence dans ces galeries obéit à un système de rotation leur permettant de se relayer chaque deux mois. Ils ont soutenu qu’ils peuvent passer jusqu’à deux ans dans cette galerie et «n’attendent plus que les ordres de leur commandement pour se lancer dans la libération de leur territoire».
Dans son émission d’investigation «Haute définition», i24News reconfirme, témoignages et documents exclusifs à l’appui, la vraie nature du Polisario : une organisation terroriste qui se nourrit de crimes organisés.
Multiplication des arrestations de membres du Polisario sur le front malien
Tiéman Coulibaly, ex ministre malien des affaires étrangères, a confirmé personnellement la présence de combattants du Polisario parmi les groupes jihadistes éparpillés dans les vastes espaces désertiques sahélo-sahariens. Mais ce qui a achevé d’atterrer l'"Algésario", ce sont les larges échos faits par les médias africains et internationaux aux combats qui se déroulent au Mali, avec leurs lots de morts et de prisonniers, y compris parmi les sahraouis du Polisario. Les affrontements et les bilans ont été commentés en long et en large par le quotidien français Le Figaro et, surtout, par France 24, la chaîne qui dispose d’une large audience au Maghreb et en Afrique francophone.
Un mouvement gangrené par la criminalité
En se penchant sur l’histoire du Polisario, on constate que la problématique des dérives de certains membres du mouvement n’est pas un fait nouveau. Depuis de nombreuses années, le Front Polisario est en effet régulièrement accusé de détournement des aides humanitaires, financières et matérielles, attribuées par des organisations non gouvernementales (ONG) ainsi que par des organisations internationales.
De nombreuses affaires de détournement ont été révélées par la presse internationale. Ainsi, le quotidien espagnol El Pais révélait en 1999 qu’une aide de 64 millions de pesetas (environ 385 000 euros) remise par la Croix-Rouge espagnole au Polisario pour acheter 430 chamelles afin d’améliorer les conditions d’alimentation des enfants sahraouis avait disparu. Ces accusations n’ont pas été démenties par Embarek Malainine, le responsable de la coopération internationale du mouvement séparatiste, qui a candidement reconnu que ce détournement n’avait toutefois pas contribué à son « enrichissement personnel[4] ».
Cette tendance a été accentuée par le processus de délitement du mouvement qui s’est accéléré ces dernières années. En 2003, l’Union européenne décidait de renforcer le système de contrôle de son aide humanitaire mais a « rencontré des résistances de la part du Polisario dans l’exécution de sa mission[5] ». Cela n’a toutefois pas permis d’enrayer ce phénomène, si l’on en croit l’ONG Interfaith International qui, en 2008, dénonçait devant le Conseil des droits de l’homme de l’ONU le détournement de l’aide humanitaire et sa revente par le Polisario qu’elle accuse de dépenser « d’énormes sommes d’argent pour des parades militaires[6] ».
Le fait que le Polisario n’ait toujours pas autorisé le Haut Commissariat aux réfugiés des Nations unies (UNHCR) à se rendre dans les camps de Tindouf, ni même à effectuer un recensement, n’augure pas d’une évolution positive à propos de cette pratique du détournement. Une enquête récente de l’Office Européen de Lutte Antifraude (OLAF) dont nous avons révélé l’existence dans un briefing publié le 26 avril 2010, établit une possible la coresponsabilité de l’Algérie et du Front Polisario dans ces détournements[7].
Parallèlement à ces dérives, l’extrême pauvreté qui règne dans les camps du Front a favorisé le développement de la criminalité. Ni les fonctionnaires, ni même les militaires ne sont épargnés par la faillite des autorités sahraouies qui les contraint à trouver d’autres sources de revenus. Un ancien du Polisario expliquait ainsi en 2001 que « les officiers reçoivent entre 12 et 17 dollars deux fois par an, une situation qui les force à trouver d’autres revenus, (…) comme le trafic[8] ».
Le développement de la criminalité dans les rangs du Polisario doit également être mis en relation avec l’impunité qui existe dans le Sahel et qui a, comme pour le terrorisme, favorisé le développement de trafics en tout genre. La région est à la fois une importante zone de production de drogue (cannabis) et un couloir de transit vers l’Europe pour la cocaïne en provenance d’Amérique latine. D’après un conseiller du secrétaire général des Nations unions, les trafiquants latino-américains « se battent pour obtenir le contrôle des itinéraires transsahariens qui leur permettent d’acheminer leurs drogues vers l’Europe et jusqu’au Golfe[12] ». De plus, le mouvement est également impliqué dans des activités illégales destinées à enrayer le recul de l’adhésion populaire. Selon l’universitaire Aymeric Chauprade, le Polisario est amené « à acheter de plus en plus les siens » pour palier sa perte de légitimité. Il a pour cela recours à divers trafics et participe activement «aux filières d’immigration clandestine[9]». Ces pratiques ont attiré l’attention des Nations unies qui les ont dénoncées dans plusieurs rapports[10]. Parallèlement, on notera que de nombreux Sahraouis liés au mouvement séparatiste ont fait l’objet d’arrestations pour des faits liés au trafic d’armes, d’essence, de contrebande de cigarettes ou de pièces détachées de voitures[11].
Plusieurs études des centres de recherche stratégique ont mis en lumière les liens étroits qu’entretiennent les groupes terroristes présents au Sahel avec les nombreux trafiquants de drogue et d’armes. Selon un des proches de l’ex-baron colombien, Ernesto Báez était en relation directe et étroite avec des éléments du Polisario qui avaient des liens avec certains régimes d’Amérique latine sont actuellement impliqués dans le trafic de cocaïne et des armes à feu acheminées par ce canal.
L’implication du Polisario dans le trafic de drogue a été confirmée par le démantèlement, en janvier 2007, d’un réseau de trafic de stupéfiants dans le nord de la Mauritanie. Selon les autorités locales, « des éléments du Polisario, venus du territoire algérien à bord de véhicules 4X4, se rendaient, de manière fréquente, à l'endroit où était cachée la marchandise dans la localité de Fdirik, à une vingtaine de kilomètres de Zouerate[2] ».
Le mouvement indépendantiste sahraoui profite également de sa position privilégiée dans une région échappant au contrôle des Etats pour s’enrichir en participant au trafic d’armes. En effet, selon une récente publication du Collège de Défense de l’OTAN, « les camps de réfugiés sahraouis du Front Polisario du sud-ouest algérien, le sud de la Libye ou le nord du Mali, sont également des zones de transit [pour la contrebande d’armes]. En raison de sa position stratégique, la ville de Tindouf représente le point de passage idéal entre le Sahel de l’est et le Sahel de l’ouest[3] ».
A lire aussi: N'en déplaise à ses détracteurs, Abdellatif Hammouchi,l'oeil qui veille sur le Maroc et sur le Monde: https://www.lafrique-adulte.com/post/n-en-d%C3%A9plaise-%C3%A0-ses-d%C3%A9tracteurs-abdellatif-hammouchi-l-oeil-qui-veille-sur-le-maroc-et-sur-le-monde
[1] Interview de Mohamed Abdelaziz accordée au quotidien algérien L’Expression, le 23 août 2005. http://www.lexpressiondz.com/article/2/2005-08-23/28914.html
[2] « Mauritanie : Des éléments du Polisario impliqués dans une affaire de drogue », MAP, 19 janvier 2007. http://www.emarrakech.info/Mauritanie-Des-elements-du-polisario-impliques-dans-une-affaire-de-drogue_a10638.html
[3] Laurence Ammour, « Evaluation des risques liés à la criminalité dans l’arc sahélien », NATO Research Paper N°53, Collège de Défense de l’OTAN, novembre 2009.
[4] Ignacio Cembrero, « CRE investigó el desvío por el Polisario de ayudas para comprar 430 camellas », El Pais, 7 mars 1999.
[5] Denis Ducarme, Rapport de la Commission d’enquête indépendante sur les allégations de violations des droits de l’homme, de crimes, d’abus et de détournements divers portées à l’égard du Front Polisario, Bruxelles/New York, octobre 2006, p. 21.
[6] World Refugee Survey – Algeria, U.S. Committee for Refugees and Immigrants (USCRI), 2008. http://www.refugees.org/countryreports.aspx?id=2116.
[7] http://www.esisc.org/documents/pdf/fr/les-camps-de-tindouf-lalgerie-et-le-front-polisario-face-a-leurs-responsabilites-466.pdf
[8] World Refugee Survey – Algeria, U.S. Committee for Refugees and Immigrants (USCRI), 2008. http://www.refugees.org/countryreports.aspx?id=2116
[9] Aymeric Chauprade, « Sahara, le risque des ‘zones grises’ », L’Economiste, décembre 2006.
[10] Kofi Annan, Rapport du Secrétaire général sur la situation concernant le Sahara occidental, S/2004/827, 20 octobre 2004. http://daccessdds.un.org/doc/UNDOC/GEN/N04/555/85/PDF/N0455585.pdf?OpenElement
[11] Claude Moniquet, op. cit., p. 71.
[12] Nadja Bouchira, « Comment désamorcer la bombe du Sahel ? », El Watan, 15 juin 2008, http://www.elwatan.com/Terrorisme-trafics-et-conflit
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