Air Algérie frappée par un scandale de faux diplômes
La copilote d’Air Algérie était puéricultrice en crèche
L’Algérie (via Air Algérie) est une plaque-tournante de l'exportation de la cocaïne
Air Algérie au cœur d’un nouveau scandale de racisme envers Lamine Ndiaye
Un avion d’Air Algérie percute un poteau électrique après l’atterrissage à l’aéroport de Tlemcen
Un enfant pilote un avion, les pilotes suspendus
Un avion d’Air Algérie percute un poteau électrique après l’atterrissage à l’aéroport de Tlemcen
Ce jeudi 3 août 2023, un incident qui aurait pu être tragique a eu lieu à l’aéroport de Tlemcen, impliquant un avion de la compagnie aérienne Air Algérie. L' avion de type Boeing 737-800, immatriculé sous le numéro 7T-VKJ de la compagnie nationale aérienne, a percuté un poteau électrique, causant des dommages au niveau de son aile.
L’accident s’est produit Ce jeudi 3 aout 2023, l’appareil a heurté un poteau électrique qui se trouvait sur le chemin, entraînant des conséquences inquiétantes pour l’aile de l’avion.
L’avion impliqué dans cet incident est un modèle Boeing 737-800, un avion de ligne bien connu dans l’industrie de l’aviation. Cet avion, immatriculé sous le numéro 7T-VKJ, appartenait à la flotte d’Air Algérie (Air couscous), la compagnie aérienne nationale du pays.
Dégâts sur l’aile de l’avion
Selon les informations disponibles, l’avion avait effectué un vol en provenance de l’aéroport «Charles de Gaulle» à Paris (France).
Suite à la collision avec le poteau électrique, l’aile de l’avion de la compagnie aérienne nationale a subi des dégâts importants. Les techniciens et les équipes d’entretien ont été immédiatement dépêchés sur place pour évaluer l’étendue des dégâts et pour prendre les mesures nécessaires pour la réparation de l’appareil.
Rire: Air Algérie veut détrôner Royal Air Maroc en Afrique
Air Algérie "Air couscous" entend renforcer sa position en Afrique. Dans ce sens, le gouvernement a annoncé la réouverture des dessertes, Alger – Abidjan (un vol par semaine), Alger – Niamey (deux vols hebdomadaires), Alger – Ouagadougou (un vol par semaine), Alger – Bamako (un vol par semaine) et Alger – Libreville (un vol par semaine).
Que sait-on de cette de cette compagnie?
Pour la compagnie aérienne publique « Air Algérie [Air Couscous]», qui vit sous perfusion depuis un certain temps à la faveur des subventions publiques de plus en plus difficiles à mobiliser par un pays en difficultés économiques de plus en plus insoutenables, le quotidien est ponctué de scandales à répétition.
Les scandales ne cessent de se multiplier dans cette compagnie. Profiter… à en crever!
Dès que des mesures, en trompe l’œil, sont prises pour remédier à un quelconque dysfonctionnement, les responsables de la compagnie se réveillent le lendemain avec une gueule de bois, en découvrant, médusés, d’autres failles dont ils n’ont pas les moyens de colmater ses brèches.
Un enfant pilote un avion, les pilotes suspendus
La compagnie aérienne Air Algérie fait face à un scandale après que deux de ses pilotes ont autorisé un enfant à prendre les commandes d’un avion en plein vol. Dans le cadre de l’initiative d’une association d’aide aux orphelins, l’équipage avait accepté de laisser entrer un petit garçon dans le cockpit.
Dans le rapport diffusé par la chaîne algérienne Al Bilad TV, le pilote déclare explicitement que l’enfant a pu manipuler l’avion. "Il a fait le décollage et l’atterrissage avec nous. En croisière, il a manipulé l’avion. Il a pris des caps à droite et à gauche. Il a manipulé les commandes", a déclaré le commandant Kais Derbal face à la caméra. Même le PDG d’Air Algérie Bekhouche Allache apparaît dans le reportage. Il indique avoir donné l’aval à cette initiativeun enfant pilote un avion.
Trois jours plus tard, les deux pilotes ont été suspendus par Air Algérie, selon le site spécialisé Aviation Herald. Le commandant de bord a également été arrêté. Il risque, outre les sanctions disciplinaires, des poursuites pénales pour avoir laissé l’enfant accéder au cockpit et toucher les commandes.
L’affaire fait écho à un précédent, dramatique : celui du crash du vol Aeroflot 593, en 1994. Lors d’un vol entre Moscou et Hong Kong, un pilote de la compagnie russe laisse son fils (15 ans) et sa fille (12 ans) accéder au cockpit. Ils s’assoient tour à tour dans son siège.
L’adolescent a provoqué la coupure du pilotage automatique, par une fausse manœuvre dont personne ne s’est aperçu immédiatement. Malgré toutes ses tentatives – dont certaines ont aggravé la situation – l’équipage n’a jamais pu redresser l’avion. Il s’est écrasé après quatre minutes de chute, dans la forêt sibérienne. Bilan : 75 morts, aucun rescapé. À l’origine, c’était là aussi pour faire plaisir.
Air Algérie frappée par un scandale de faux diplômes
C’est Le Canard Enchaîné qui rapporte cette histoire. L’hebdomadaire satirique rappelle qu’il y a encore un an, la compagnie aérienne frappée par le crash du MD-83 reliant Ouagadougou à Alger, était au cœur d’un scandale concernant deux pilotes qui volaient avec des faux diplômes. «Deux loustics pilotaient les engins avec des licences contrefaites » raconte ainsi Le Canard précisant au passage que cette entourloupe avait été approuvée… par le ministère des Transports algérien.
Mais ce n’est pas tout. D’autres casseroles sont traînées par cette compagnie que les Algériens surnomment "Air Couscous" . L’hebdomadaire revient également sur cet épisode en 2010, quand Air Algérie a manqué de très peu de se faire inscrire sur la liste noire de l’Union Européenne en raison d’importants problèmes de sécurité et du manque de formation de ses équipages.
La compagnie nationale Air Algérie est accusée d’avoir recruté de nombreux copilotes et pilotes de ligne munis de faux diplômes. La direction de l’aviation civile, relevant du ministère des Transports, aurait attribué des fausses licences de pilotage à des copilotes qui exercent actuellement au sein de la compagnie publique. Cela constitue, dénoncent des pilotes chevronnés qui ont témoigné sous la sceau de l’anonymat, un véritable danger «pour la sécurité des passagers» de la compagnie battant pavillon national.
Selon « Le Canard Enchaîné », la compagnie Air Algérie jouit d’une réputation plutôt sulfureuse dans son pays. À l’issue d’un intense lobbying, l’espace aérien européen est tout de même resté ouvert à Air Algérie. Nous parlions il y a peu de la faillite probable de la Malaysia Airlines suite aux deux crash successifs. À en croire les révélations du Canard Enchaîné, la compagnie « jouissant du quasi-monopole sur le trafic intérieur algérien » serait bien avisée d’envisager un destin semblable.
Par ailleurs, d’après le quotidien arabophone El-Khabar, plusieurs copilotes ont obtenu, dans des délais expéditifs, des attestations de fin de formation au pilotage délivrées dans des écoles controversées à cause de la faiblesse de leur encadrement et la piètre qualité de leur formation.
Ces écoles sont installées en Jordanie et en Afrique du Sud. S’agissant du «diplôme» délivré par une école sud-africaine, on peut lire, selon les témoignages anonymes des pilotes, une mention selon laquelle « cette attestation ne donne pas droit d’exercice en tant que pilote de ligne en Afrique du Sud ». Malgré cela, la direction de l’aviation civile relevant du ministère des Transports en Algérie a reconnu ces « diplômes » contestés en leur accordant des équivalences. Ces équivalences ont permis aux titulaires de ces faux diplômes de repartir à l’étranger afin d’obtenir, auprès de ces mêmes écoles installées en Jordanie et en Afrique du Sud, le diplôme définitif les autorisant d’exercer en tant que pilotes de ligne. Et pourtant, en Algérie, les conditions d’attribution des équivalences sont sévères. Le candidat doit d’abord passer des tests avant que la direction de l’aviation civile ne décide d’attribuer l’équivalence. Comment ces pilotes ont-ils fait pour obtenir facilement ces équivalences ? Certaines sources n’hésitent pas à faire part de leurs soupçons de corruption. D’autre part, quatre écoles de formation de pilotes de ligne existent en Algérie. Pourquoi alors aller étudier dans des écoles qui ne sont pas crédibles ? La question est posée aux responsables de la direction de l’aviation civile qui ont reconnu ces faux diplômes. Mais la principale question s’adresse aussi à Air Algérie qui a recruté ces pilotes au niveau de formation très discutable et détenant, en plus, de faux diplômes. N’y a-t-il pas de danger pour la vie des passagers ? …
La copilote d’Air Algérie était puéricultrice (spécialiste des soins à la petite enfance) en crèche
Le 24 juillet 2014, le vol AH 5017 d’Air Algérie affrété par la compagnie espagnole Swiftair, reliant l’aéroport de Ouagadougou (Burkina Faso) à Alger s’écrasait dans le centre du Mali. À son bord, 6 membres d’équipage et 110 passagers, dont 54 Français, 23 Burkinabés, des Libanais, des Algériens et six membres d’équipage, tous espagnols.
La copilote d’Air Algérie était puéricultrice en crèche
Cette information pose la question de l'entraînement des pilotes qui, mobilisés par d'autres emplois plusieurs mois, doivent faire une formation avant de reprendre les commandes d'un avion. Les magistrats ont également dit aux familles que l'enquête n'était pas terminée et qu'il y avait des compléments d'investigation à mener. Le juge Nicolas Aubertin a fait son entrée dans le dossier et les parties civiles l'ont trouvé «très ouvert».
Les magistrats instructeurs recevaient les parties civiles du AH 5017 qui s’était écrasé le 24 juillet 2014 au Mali. Les familles ont été stupéfaites d’apprendre que la copilote était puéricultrice le reste de l’année.
Isabel Gost, la copilote âgée de 41 ans qui totalisait 7000 heures de vol travaillait donc dans une crèche le reste de l’année. Une série d’erreurs dramatiques. La cause principale de l’accident évoquée étaitla non-activation du système d’antigivre des sondes moteur
Alors même que la température extérieure et la zone humide traversée requéraient sa mise en service selon les magistrats instructeurs. Une conclusion, quelques mois plus tôt, tirée par le Bureau d’enquêtes et d’analyses (BEA).
C’est ce qui aurait entraîné une baisse importante de poussée des moteurs, la sonde moteur ayant envoyé de fausses informations car elle était bouchée par le givre. Et les pilotes du AH 5017 n’ont rien décelé. A 1 heure 45, la vitesse était au-dessous des marges de sécurité. Pour ne pas descendre, l’avion a donné de l’incidence à l’aile, s’est cabré avant d’arriver à un décrochage.
Autre erreur
Le pilote a tiré le manche en arrière au lieu de le pousser en avant pour tenter de récupérer l’assiette de l’appareil, ce qui a amplifié le décrochage. L’avion est tombé à plat sur le sol.
Le 24 juillet 2014, le vol AH 5017 d’Air Algérie affrété par la compagnie espagnole Swiftair, reliant l’aéroport de Ouagadougou (Burkina Faso) à Alger s’écrasait dans le centre du Mali. À son bord, 6 membres d’équipage et 110 passagers, parmi lesquels 54 Français. L’instruction judiciaire avait été ouverte en France le 29 juillet, soit cinq jours après le crash.
L’Algérie (via Air Algérie) est une plaque-tournante de l'exportation de la cocaïne
L’Algérie est une plaque-tournante de l'exportation de la cocaïne
L’Algérie est devenue une plaque-tournante émergente de la cocaïne à destination du Royaume-Uni, a alerté le journal britannique « The Independent ».
Le quotidien rappelle la découverte en juin dernier de près d’une demi-tonne de cocaïne dans des sacs qui flottaient au large de la ville portuaire d’Oran. Il s’agissait de la deuxième plus importante cargaison de cocaïne découverte en Algérie, souligne la publication, qui rappelle l’autre affaire de cocaïne qui avait éclaté en mai 2018, avec la saisie de plus de 700 kg de drogue sur un cargo censé transporter de la viande congelée en provenance de l’Amérique latine.
Cette saisie avait donné lieu à des arrestations massives en Algérie, fait remarquer le journal.
Ce scandale, connu plus tard sous le nom de « cocaïne-gate », avait éclaboussé les plus hautes sphères du régime algérien, rappelle-t-on.
Que signifie cette saisie pour l’Algérie, un pays qui jusqu’alors n’était pas perçu comme un acteur stratégique du commerce de la cocaïne en Afrique ? D’abord, il semble peu probable que la cocaïne soit destinée à la consommation locale. Bien que la taille du marché national reste inconnue, il est probablement trop étroit pour permettre d’écouler une telle quantité de stupéfiants. Par ailleurs, la cocaïne est très chère en Algérie puisqu’elle se vend entre 145 et 290 euros le gramme. Il est donc bien plus probable que la marchandise ait été en transit en Algérie, prévue pour être livrée sur les marchés européens.
Trafic de drogues : « Air Algérie » au cœur d’une vaste enquête en France
La compagnie aérienne Air Algérie est citée dans une vaste enquête sécuritaire menée par la police française et qui a été déclenchée au lendemain de l’arrestation à l’aéroport Paris- Orly d’un steward, membre d’un réseau de trafic de cocaïne opérant entre la France et l’Algérie, selon plusieurs sources sécuritaires françaises.
Citées par «Algérie part plus», ces sources relèvent que cette affaire a éclaté le 18 septembre 2021 lorsque ce steward a été arrêté par des agents de sécurité de l’aéroport Paris-Orly en possession d’une grande quantité de cocaïne.
D’après les mêmes sources, le steward, qui a été recruté récemment par Air Algérie, a été contrôlé à la suite de son passage sous le portique de sécurité. Elles précisent qu’un contrôle minutieux opéré par des policiers français a permis de débusquer plus de 400 grammes de cocaïne, dissimulés dans les chaussettes du steward d’Air Algérie, qui a été ensuite interpellé et placé en garde-à-vue par la Police française.
L’enquête diligentée a permis de découvrir que l’employé de la compagnie aérienne algérienne faisait uniquement la «mule» de tout un réseau sophistiqué de trafic de cocaïne qui a l’habitude d’envoyer d’importantes quantités de stupéfiants vers l’Algérie, détaillent les mêmes sources.
Meilleurs aéroports au monde : l’Algérie hors classement
Cette année encore, aucun aéroport algérien ne figure dans le top 10 des meilleurs aéroports africains. C’est ce qui ressort du classement établi et publié par l’organisme de consultation Skytrax. Un classement qui a été dominé à l’échelle mondiale par l’aéroport de Doha.
Pas de trace des aéroports algériens dans ce classement, et ce même dans le top 10 africain. Un top 10 ou l’on trouve respectivement l’aéroport Le Cap, Durban, Johannesburg, tous en Afrique du Sud, l’aéroport SSR de l’île Maurice, ceux de Casablanca et Marrakech au Maroc, suivis de Kigali au Rwanda, Addis Abeba en Ethiopie, et Port Elizabeth et Bloemfontein (Afrique du Sud).
Une vidéo montrant une chef d’escale d’Air Algérie tenant des propos « désobligeants et inadmissibles » envers un des passagers.
Air Algérie au cœur d’un nouveau scandale de racisme envers Lamine Ndiaye
La compagnie aérienne nationale Air Algérie est accusée de racisme. Un voyageur sénégalais de première classe, Lamine Ndiaye, a été agressé et tabassé à bord d’un avion de la compagnie algérienne sous les regards abasourdis des autres passagers, rapporte la presse sénégalaise.
Selon les informations de la presse sénégalaise, Lamine Ndiaye se rendait en début de cette semaine au Sénégal afin d’assister aux funérailles de son père. L’incident est survenu au cours d’un vol reliant Milan en Italie à Dakar au Sénégal, avec escale à Alger.
Selon les témoignages des voyageurs, un steward algérien aurait voulu ranger des bagages dans le même compartiment de bagages que le voyageur sénégalais. Ce dernier lui a demandé de faire attention à ses affaires. « Il s’en est suivi une altercation, puis une bagarre entre les deux hommes après que le steward algérien ait donné un coup de poing au passager sénégalais », témoigne l’un des présents.
L’incident a été filmé et la vidéo de l’agression est largement relayée sur les réseaux sociaux. Les internautes n’ont pas manqué de dénoncer la violence dont a fait preuve la police algérienne envers le voyageur sénégalais. Une pétition a même été lancée pour boycotter les vols d’Air Algérie.
Lamine Ndiaye arrêté et expulsé de l’avion d’Air Algérie
L’équipage de l’avion d’Air Algérie a alerté les éléments de la police, avant le décollage de l’avion de l’aéroport d’Alger. « Ils se sont alors déchaîné sur le Sénégalais devant les passagers. Il a été menotté et violenté en recevant plusieurs coups de matraque, malgré l’opposition des autres passagers ». Lamine Ndiaye a ensuite été arrêté et expulsé de l’avion.
« Incroyable l’Algérie ! » : une hôtesse de l’air exaspérée filme son avion entièrement vide
D’après le récit de l’hôtesse de l’air de la compagnie Transavia, les autorités algériennes auraient interdit aux passagers d’embarquer à bord de leur vol sous prétexte de concurrence déloyal avec la compagnie nationale Air Algérie.
"Une hôtesse de Transavia à destination d'oran filme le vol complètement vide sous prétexte que les autorités algériennes n'ont pas donnés une autorisation d'embarquement à cause de la concurrence !"
Rire: Air Algérie veut détrôner Royal Air Maroc en Afrique
Pour concurrencer Royal Air Maroc, Air Algérie a décidé de renforcer sa position en Afrique. La compagnie nationale algérienne a revu mercredi dernier, son programme de vols vers cette destination, chasse gardée depuis de nombreuses années de la compagnie marocaine.
Royal air Maroc, meilleure compagnie aérienne en Afrique
Royal Air Maroc est élue meilleure compagnie aérienne en Afrique par la 18ème édition du «GT Tested Reader Survey» du magazine Global Traveler. . Le prix a été décerné à la Compagnie Nationale mardi 14 décembre à Los Angeles, lors de la cérémonie de remise des trophées annuels organisée par Global Traveler. Royal Air Maroc a été également classée, dans le cadre de cette enquête, quatrième meilleure compagnie aérienne de la zone MENA, Moyen-Orient et Afrique du Nord derrière Etihad Airways, Emirates et Qatar Airways. Le GT Tested Reader Survey est un sondage de référence pour l’industrie aérienne et le tourisme haut de gamme. Il est organisé par Global Traveler, un magazine mensuel international diffusé principalement auprès des grands voyageurs d'affaires et de tourisme. Quelques 20 000 abonnés du magazine ont participé aux votes de la 18ème édition du «GT Tested Reader Survey». «Nous sommes heureux et honorés d’être reconnus en tant que meilleure compagnie aérienne en Afrique. Cette reconnaissance vient couronner les efforts que nous déployons afin de nous maintenir aux plus hauts standards d’excellence de service pour nos clients. Elle nous motive surtout à continuer à aller de l’avant et à nous améliorer, malgré les temps difficiles que notre secteur traverse», souligne M. Hamid ADDOU, Président Directeur Général de Royal Air Maroc. Cette distinction vient confirmer une série de récompenses obtenues récemment par Royal Air Maroc. En 2019, la Compagnie Nationale a été élue par Skytrax, pour la 6ème année consécutive, meilleure compagnie aérienne régionale en Afrique. Elle a maintenu également son label Skytrax 4 étoiles. Très convoité par les compagnies aériennes, le prix Skytrax est une référence mondiale dans le secteur du transport aérien. Par ailleurs, la 18ème édition du «GT Tested Reader Survey» a également décerné à oneworld, dont Royal Air Maroc est membre depuis 2020, le titre de meilleure alliance aérienne mondiale pour la 12ème année consécutive. Cette distinction conforte le leadership de cette Alliance. En septembre dernier, elle a été nommée meilleure alliance aérienne du monde par Skytrax. Elle a aussi remporté, en novembre, le prix de la meilleure alliance aérienne dans le cadre des Best in Business Travel Awards de Business Traveler USA.
“Air Algérie” a été classée en 2020 comme l’une des compagnies aériennes les moins sûres au monde, selon un classement effectué par le site spécialisé “Airline Ratings”.
D’après la même source citée par les médias algériens, la compagnie algérienne n’a eu qu’une seule étoile sur sept en termes de sécurité au sein de ses avions, ce qui la classe parmi les compagnies les moins sûres au monde.
“Air Algérie” est parmi les pires compagnies en termes de sécurité pour les passagers, a précisé la même source.
Dans son dernier classement, le site spécialisé “Airline Ratings” n’a mis aucune étoile sur les sept possibles pour la compagnie algérienne en termes de gestion du Covid-19.
“Airline Ratings” estime qu’Air Algérie ne respecte pas les normes internationales de lutte contre le coronavirus dans ses appareils.
Lancé en juin 2013, “Airline Ratings” évalue la sécurité et le produit en vol de 385 compagnies aériennes à l’aide de son système de notation à sept étoiles, sur la base de plusieurs critères comme l’historique des accidents et incidents graves des compagnies aériennes, des audits des autorités de l’avion, des audits gouvernementaux ou de l’âge moyen de la flotte.
Depuis la suspension du trafic aérien, en mars dernier, la compagnie “Air Algérie” a enregistré des pertes estimées à plus de 245 millions d’euros.
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