Le jeu du chat et de la souris à El Guergarat. By: Aabadila Malainine Semlali. Le polisario remplace le jeu maléfique de découverte de ‘’réseaux d’espions’’ à la solde de l’ennemi par celui d’ ‘’El Guergarat ‘’
Vu les succès répétés et aussi importants les uns que les autres remportés par la diplomatie marocaine, sur la scène africaine et internationale, via l’application des hautes orientations de Son Auguste Majesté le Roi, Mohamed VI, que Dieu l’assiste.
Vu que la grogne des masses populaires qui va crescendo au sein de la population des campements de Tindouf est devenue menaçante pour la horde de la direction séparatiste en prédisant une explosion populaire aussi forte que celle vécue en 1988.
Vu que la population de Tindouf saturée ne croit plus aux découvertes, annoncées par intermittence, de manœuvres de réseaux ennemis, le polisario a trouvé une nouvelle astuce. Cette nouvelle pleutre astuce est d’encourager, tout bas, des éléments à perturber le trafic international à El Guergarat.
Ainsi , la direction séparatiste, d’une part, croit avoir trouvé de quoi occuper la population des campements dont les yeux ne sont rivés que sur son criminel comportement digne des bandits armés de grands chemins, désormais devenu insupportable et intolérable. La population meurtrie dans sa chair et son âme ne croit plus et ne veut plus croire au rêve chimérique d’une prétendue république sur le territoire marocain.
Et, d’autre part, avant que le déluge engendré par la grogne populaire l’emporte, c’est là encore une vaine tentative, pour ce mouvement et son mentor algérien, d’attirer l’attention de la communauté internationale qui ,cette dernière, après plus de quatre décennies est aujourd’hui pleinement convaincu et confiante que l’idoine solution à ce conflit artificiel, ne peut être autre que le projet d’autonomie avancé par le Royaume du Maroc et que l’ONU, elle-même, à qualifié de ‘’sérieux’’ et ‘’crédible’’, en 2007.
Pour combien de temps encore la direction du polisario, en commun avec les caporaux algériens , trouvera-t-elle du plaisir dans la souffrance vécue depuis plus de 45 années par la population des campement de Tindouf, calvaire qui, malheureusement, tend à s’éterniser .
By: Aabadila Malainine Semlali
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