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Royaume du Maroc: un étudiant pro-Polisario interpellé en possession de 23 machettes à Agadir…

Royaume du Maroc: un étudiant pro-Polisario interpellé en possession de 23 machettes à Agadir…

Un plan machiavélique savamment conçu par le « cerveau », le général, Khaled Nezzar

«Plan d’Alger» pour empêcher «le Maroc de construire ses fortifications» ce qui témoigne, s’il en est encore nécessaire, du degré d’implication des militaires algériens, mais qui n’a pas reçu l’ordre d’application de Benjedid.

A-t-il reçu l’ordre d’application de Tebboune?

Le général, Khaled Nizar, le puissant ministre de la Défense sous Chadli Bendjedid, a reconnu dans une vidéo publiée par la chaine algérienne Ennhar Tv que l’Algérie avait préparé un plan volontariste pour pousser le Maroc à abandonner l’idée de construire un mur de sécurité dans son Sahara.

Avec son collègue de la 3e région militaire, Mohamed Touati, Nezzar met alors en garde son président dans un mémo contenant également des mesures pour empêcher la construction du mur.

Ce plan est basé sur la création d’un état d’instabilité et d’escarmouches à l’intérieur du Maroc avec l’aide des milices du Polisario. Pour obliger le Maroc à ne pas déplacer ses forces stationnées à l’époque à Errachidia vers le sud pour sécuriser les étapes de la construction du mur défensif.


La police d’Agadir, en collaboration avec la Direction générale de la surveillance du territoire (DGST), viennent de mettre en échec le plan machiavélique du général, Khaled NezzarUniversité d’Agadir : Arrestation de trois individus pour préparation d’agressions criminelles

Trois individus ont été arrêtés lundi par les éléments de la brigade nationale de la police d’Agadir pour possession d’un arsenal d’armes blanches, fabriquées de façon traditionnelle.

Il s’agit d’un chauffeur de taxi et de « deux étudiants » de l’Université Ibn Zohr. ils ont été arrêtés alors que le chauffeur de taxi remettait aux deux étudiants les armes blanches à proximité du campus universitaire. On dénombre environ 23 sabres et coutelas confectionnés dans un atelier tenu par un forgeron de Oulad Taïma, selon l’enquête ouverte par la police après l’arrestation des trois prévenus.

L’un des «deux étudiants» arrêté, est connu des services de police pour ses liens affichés avec des réseaux séparatistes sahraouis (polisario) et qui a déjà publié des photos compromettantes sur les réseaux sociaux pour faire l’apologie des thèses terroristes du polisario . (voir⇒ Vidéo)

Selon la police, ces sabres devraient servir dans des «agressions criminelles contre des innocents». Les investigations se poursuivent pour déterminer les conditions dans lesquelles ces armes blanches ont été fabriquées, identifier les éventuels complices et commanditaires des deux étudiants et toutes les personnes impliquées dans cette tentative d’attaque criminelle déjouée.

Khaled Nezzar est machiavélique

Vous ne connaissez peut-être pas Machiavel, mais vous connaissiez certainement le terme «machiavélique». On le sait bien, une personne «machiavélique» est non seulement méchante, mais carrément sans merci, sans vergogne et sans cœur. Mais qui est l’homme derrière ce qualificatif ?

Niccolò di Bernardo dei Machiavelli, dit Nicolas Machiavel, est un incontournable de la philosophie politique. Vivant dans la Florence de la fin du 15e siècle, Machiavel portera, à l’instar de plusieurs intellectuel·le·s de son époque, plusieurs chapeaux : on le trouvera ainsi comme politologue, comme artiste, mais aussi comme fonctionnaire au sein de la République florentine. C’est par l’inspiration et les constats tirés de ces expériences que Machiavel rédigera, en 1513, son plus célèbre ouvrage : Le Prince. Ce traité politique, publié posthumément en 1532, se veut un manuel pour quiconque voulant devenir «prince» (c’est-à-dire un chef d’État, un souverain) et le rester.

«La soif de dominer est celle qui s’éteint la dernière dans le cœur de l’homme» Nicolas Machiavel
La guerre, la guerre… une bonne raison pour se faire mal ?

L’adage dit «un mal pour un bien». Pour Nicolas Machiavel, le bien ou le mal importent peu : après tout, «la fin justifie les moyens», écrit-il. Nonobstant les actions et subterfuges effectués pour atteindre un objectif, ce sont les résultats qui importent le plus. Dans ce contexte, il est entendu que le principal résultat recherché par un souverain est de rester au pouvoir. Ce genre de raisonnement peut conséquemment expliquer les actions effectuées pour arriver à sa fin, telles que la violence : «une guerre est juste quand elle est nécessaire», lance ainsi le politologue.

Cette froideur et cette intransigeance expliquent la fameuse épithète lui étant associée, et auront mené à d’autres citations – moins connues – du penseur florentin, telles que : «Jamais les hommes ne font le bien que par nécessité», « La soif de dominer est celle qui s’éteint la dernière dans le cœur de l’homme» et «On s’attire la haine en faisant le bien comme en faisant le mal».

Toutefois, nul besoin d’aller chercher aussi loin dans le passé pour trouver des disciples de Machiavel. Le général Khaled Nezzar prouve depuis des années qu’il est prêt aux pires atrocités afin de pouvoir atteindre ses objectifs. Ainsi, si Khaled Nezzar est probablement machiavélien, il est assurément… machiavélique.A lire aussi:

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