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Parlement Arabe: La haine viscérale de la mafia militaro-politico-financière algérienne contre le Ma

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  • 27 juin 2021
  • 5 min de lecture

Parlement Arabe: La haine viscérale de la mafia militaro-politico-financière algérienne contre le Maroc.

Le Parlement arabe réitère son rejet catégorique de la résolution du Parlement européen sur le Maroc

Le Parlement arabe réitère son rejet catégorique de la résolution du Parlement européen sur le Maroc…

Le Parlement arabe a réitéré, samedi 26 juin, son rejet catégorique de la résolution du Parlement européen sur le Maroc, soulignant que cette décision avec ce qu’elle comporte comme critiques et accusations sans fondement, constitue une provocation et une politisation inacceptable des efforts déployés par le Royaume pour lutter contre l’immigration clandestine.

Dans une décision adoptée à l’issue de sa réunion d’urgence, tenue samedi au Caire, le Parlement arabe a dénoncé l’ingérence du Parlement européen et son insistance à s’impliquer dans une crise bilatérale entre les Royaumes du Maroc et d’Espagne, laquelle peut être résolue par des moyens diplomatiques et des négociations bilatérales directes entre les deux pays.

Il a également salué les efforts inlassables déployés par le Royaume du Maroc dans la lutte contre l’immigration illégale, qui découle d’une volonté politique forte et des Hautes Orientations de SM le Roi Mohammed VI, en tant que leader de l’Union africaine sur la question de la migration.

La décision souligne, à ce propos, que l’organisation en décembre 2018 par le Maroc de la conférence internationale qui a été sanctionnée par l’adoption du Pacte mondial pour des migrations sûres, ordonnées et régulières, ainsi que l’accueil par le Royaume du siège de l’Observatoire Africain des Migrations en décembre 2020 et l’adoption de l’Agenda Africain pour les Migrations à l’initiative de SM le Roi « sont autant de faits qui confirment les efforts nationaux, régionaux et internationaux déployés par le Royaume du Maroc dans le domaine de la migration et réfutent en même temps les allégations mensongères contenues dans la résolution du Parlement européen« .

Le parlement arabe a aussi souligné la nécessité d’ouvrir le dossier des villes marocaines de Sebta et Melilla et des îles marocaines occupées, pour régler cette situation qui relève de l’ère coloniale.

Tout en réaffirmant sa ferme et constante solidarité avec avec le Maroc, le parlement arabe a chargé son Président de prendre les mesures qu’il juge appropriées pour soutenir le Royaume face à la résolution européenne.

Le Parlement arabe a aussi exprimé son rejet catégorique de « l’approche arrogante inacceptable du Parlement européen dans le traitement des questions liées aux pays arabes, en adoptant des résolutions qui s’inscrivent aux antipodes des exigences du partenariat stratégique souhaité entre les pays arabes et européens« .

Il a ainsi appelé le parlement européen à abandonner ces pratiques provocatrices et à adopter des positions pratiques et responsables qui renforcent la coopération et la coordination conjointe entre les pays arabes et européens, mettant l’accent sur la nécessité d’élaborer un plan d’action arabe unifié et intégré, pour faire face à ces positions irresponsables du parlement européen et de manière à assurer le respect de la souveraineté des pays arabes et la non-ingérence dans leurs affaires.

Le Parlement arabe a également appelé l’Union interparlementaire, le Parlement méditerranéen, l’Assemblée parlementaire de l’Union pour la Méditerranée et tous les parlements régionaux à rejeter et condamner cette décision, qui contredit les règles internationalement reconnues de la diplomatie parlementaire.

Cependant – malheureusement, il y a toujours un «Mais»

La haine viscérale du pouvoir algérien contre le Maroc. Ephéméride qui prouve que l’Algérie considère le Maroc comme un ennemi…

Le représentant de l’Algérie s’emmêle les pinceaux en s’érigeant en avocat de l’Espagne et de l’UE pour contrarier le Maroc

Le collimateur: Comme prévu le parlement arabe a, lors d’une décision adoptée, samedi, à l’issue de sa réunions d’urgence, réitéré sa condamnation de l’ingérence du parlement européen dans la crise bilatérale entre le Maroc et l’Espagne. Les députés arabes ont exprimé leur solidarité avec le Maroc et critiqué l’approche arrogante du PE européen envers les questions arabes.

Sauf que l’adoption de cette résolution n’a pas plu au représentent algérien qui a pris la parole pour émettre des réserves sur cette résolution et s’ériger, sans scrupule, en avocat de l’Union européenne. Le représentant de l’assemblée algérienne, dont l’élection a été boudée par 77% de la population, était manifestement très mal à l’aise en voulant ménager la chèvre et le chou.

A tel point qu’il a oublié de se déplacer à la tribune pour faire son intervention tout en répétant à, maintes reprises, Bismillah Rahman Rahim. Quand il a repris ses esprits il a commencé à faire l’historique des relations du monde arabe avec l’UE en mettant en exergue l’importance des échanges économiques avec ce groupement.

Autrement dit le député algérien reproche à ses confrères de critiquer le Parlement européen en rappelant que les intérêts des pays arabes avec l’UE sot considérables : échanges économiques, coopération sécuritaire, immigrés arabes et tutti quanti. Le représentant algérien a essayé d’équilibrer son discours en affirmant que le PE européen n’a pas à s’immiscer dans les affaires arabes.

Ephéméride qui prouve que l’Algérie considère le Maroc comme un ennemi

Il pense à son pays qui est dans le collimateur de l’Europe mais il oublie sciemment que le PE arabe a condamné l’ingérence du parlement européen dans la crise maroco-espagnole et non pas l’UE. Mais les Marocains comme les Arabes et le monde entier sont désormais habitués à ce que tout intervenant algérien contrarie le Maroc dans n’importe quel forum, y compris dans les mosquées, conformément à la doctrine de la junte militaire.

Le député Jordanien Khalil Attia, blâme le député algérien Abdel Karim Qoraichi après le vote de l’Algérie contre la décision de solidarité avec le Maroc…

Le député algérien, n’a plus la qualité pour faire partie du Parlement arabe, puisque l’assemblée nationale algérienne a été dissoute par le président Tebboune.

Le chef de la diplomatie algérienne apporte la preuve qu’il n’existe aucune limite pour le régime algérien quand il s’agit de contrer le Maroc. Sabri Boukadoum a donné en public un blanc-seing à Arancha González Laya pour s’exprimer à la fois en son nom et au nom de l’Algérie.

«Je n’ai rien à dire de plus. En réalité, nos points de vue sont tellement rapprochés que la ministre Arancha peut parler non seulement en mon nom, mais au nom de l’Algérie.» C’est en ces termes que s’est exprimé Sabri Boukadoum, ministre algérien des Affaires étrangères, qui est hispanophone, lors d’une conférence commune à Madrid avec son homologue espagnole, Arancha González Laya. Sa déclaration, autant dire une confession, est passée inaperçue jusqu’à ce que le journaliste algérien Hichem Aboud, auteur du livre brûlot «La mafia des généraux», ne la révèle dans une vidéo datée du samedi 29 mai.

🇩🇿| 3/3 للتذكير .. . pic.twitter.com/OihM4JqkZN — H A S S A N 🇲🇦 (@HMeghribi) June 27, 2021

Rappel: L’Algérie a soutenu l’Espagne par rapport a Persil.

Le Maroc fut soutenu durant cette crise par tous les pays membres de la Ligue arabe à l’exception de l’Algérie.

La crise de l’îlot Persil est un court conflit armé entre l’Espagne et le Maroc qui a eu lieu en juillet 2002. L’incident a eu lieu sur l’îlot inhabité de Persil.

L’îlot Persil (Isla de Perejil en espagnol et Jazirat Laila en arabe Tourah en Amazigh) est une petite île rocheuse entre l’Espagne et le Maroc, situé à 250 mètres des côtes marocaines et à 8 kilomètres de la ville  de Ceuta revendiquée par le royaume du Maroc, qui borde le Maroc à 13,5 kilomètres de l’Espagne continentale. L’île est déserte, occupée seulement par des bergers marocains. Le Maroc qualifie cet acte de « barbare et colonial » et souligne l’absence de fondement juridique et légal solide prouvant l’appartenance de l’îlot à l’Espagne. Il fut soutenu durant cette crise par tous les pays membres de la Ligue arabe à l’exception de l’Algérie, tandis que l’Espagne fut soutenue par l’intégralité des pays de l’Union européenne à l’exception du Portugal et de la France.

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