La rencontre entre l’Ouganda et l’Algérie a été marquée par une action controversée impliquant Youcef Atal. (Presse algérienne)
Durant le match, Atal a effectué une intervention dans la surface de réparation sur un attaquant ougandais, une action qui a immédiatement suscité une demande de penalty de la part de l’équipe adverse. Cependant, l’arbitre Adissa Abdul Raphiou Ligali n’a pas sifflé de faute, provoquant ainsi une vive polémique.
Cette décision a divisé les opinions, même parmi les supporters algériens. Nombreux sont ceux qui ont reconnu que l’action aurait pu être sanctionnée par un penalty. Les ralentis de l’incident montrent clairement un contact, mais l’arbitre a estimé que l’intervention d’Atal était légitime. Ce non-appel a été bénéfique pour l’équipe algérienne, qui menait alors au score 2-1 grâce aux buts de Houssem Aouar et Saïd Benrahma. Cette victoire a permis aux Fennecs de conserver la "tête" de leur groupe de qualification pour la Coupe du Monde 2026.
Les critiques n’ont pas tardé à pleuvoir sur l’arbitrage de Ligali, de la part des supporters ougandais. Ils ont accusé l’arbitre de favoritisme envers l’Algérie, insinuant même une possible influence sur sa décision. Les réseaux sociaux ont été inondés de commentaires indignés, certains réclamant une révision du match.
Cette polémique souligne à quel point chaque décision arbitrale peut avoir un impact sur le déroulement et l’issue d’un match. Elle rappelle également l’importance de la technologie dans le football moderne, comme la VAR, pour aider à clarifier de telles situations controversées.
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