top of page

"On dit que l'argent n'a pas d'odeur: le pétrole est là pour le démentir..." [Insoumise (fr) - Soumise (dz)]... Une vidéo choc

gherrrabi

Normal, pour  La France insoumise et pour Rima Hassan, Boualem Sansal n’est pas la bonne victime et ceux qui l’ont arrêté et incarcéré ne sont pas les bons bourreaux. Un autre Boualem Sansal aurait subi le même traitement par le Maroc, la France ou par Israël..., on verra  La France insoumise et Rima Hassan sur tous les médias pour se plaindre.

Rima Hassan et ses collègues prennent le parti d'un régime oppresseur

Au Parlement européen, une résolution demandant la libération de l’écrivain algérien Boualem Sansal, emprisonné depuis novembre 2024, a provoqué une vive controverse. Hier, tandis que 533 députés votaient en faveur du texte, 24 s’y opposaient ou s’abstenaient, notamment des élus français affiliés à La France insoumise. Parmi eux, Rima Hassan, eurodéputée et militante connue pour ses engagements en faveur de la Palestine, s’est attiré les foudres.

L'eurodéputé français LR, François-Xavier Bellamya a confié que durant la semaine, «des diplomates algériens faisaient le tour des bureaux pour convaincre les députés de ne pas voter contre la libération de Boualem Sansal».

Rima Hassan, qui a voté contre le texte, s’est expliquée sur X (ex-Twitter) : « Ne pas voter ce texte, ce n’est pas s’opposer à la libération de Monsieur Sansal, c’est s’opposer à l’instrumentalisation de son cas. » Une déclaration qui n’a pas apaisé les critiques, notamment celles du président du Rassemblement national, Jordan Bardella, qui accuse l’extrême gauche de « choisir l’arbitraire d’un régime autoritaire plutôt que la défense de la liberté d’expression ».

«Intelligence avec l’ennemi»

La petite fille de Jean-Marie Le Pen, eurodéputée du groupe des Conservateurs et Réformistes Européens (ECR), s’est dite « ulcérée » par l’attitude des Insoumis, dénonçant une « intelligence avec l’ennemi » sur BFMTV. Selon elle, ce refus de soutenir la résolution traduit une volonté de préserver des « intérêts communautaires » en France. « Ils défendent une dictature autoritaire et corrompue pour ne pas froisser une partie de leur électorat », a-t-elle lancé.

"Honte", "scandaleux".

"C'est une honte ! Franchement, s'abstenir ou voter contre un tel texte factuel où il n'y a rien d'idéologique, rien d'historique qui soit contestable, c'est simplement cautionner l'emprisonnement d'un immense écrivain dans des geôles et c'est profondément scandaleux", s'est indigné sur BFMTV/RMC Raphaël Glucksmann, qui siège avec les socialistes.

"Je demande à LFI de se justifier"

L'ancien Insoumis François Ruffin s'est dit en "désaccord complet" avec le vote de ses anciens camarades. "La place d'un écrivain n'est pas en prison, qu'on soit d'accord ou pas avec ce qu'il écrit. Évidemment qu'il faut tout faire pour la libération d'un écrivain", a-t-il réagi sur France Inter.

Tollé également à droite.

"Vous vous rendez compte que cette résolution demandait la libération immédiate d'un homme malade, d'un homme âgé. Et Rima Hassan dit 'non, je refuse, je vote contre'. C'est inhumain, c'est politiquement scandaleux. Et je demande d'ailleurs à LFI de se justifier", a renchéri le ministre de l'Intérieur Bruno Retailleau sur Europe1/Cnews.

"Une honte. Une de plus", a tancé de son côté la députée européenne Renew (centre), Nathalie Loiseau.

Silencieuse sur le régime syrien jusqu'à la chute du clan Assad, l'eurodéputée de La France insoumise est accusée de double discours... Une vidéo choc

Rima Hassan en plein malaise….La mythomanie fatigue et provoque des erreurs majeures. Les mensonges s’accumulent. Un vrai cumul de mandales pour cette pseudo palestinienne aux amitiés inavouables.

"Les amis de mes amis sont mes amis". On a tous déjà entendu ce célèbre proverbe

"Welcome home" Hana Ghezzar Bouakkaz , journaliste et animatrice TV-Radio en France, ainsi qu’épouse de Mehdi Ghezzar, le promoteur du «lobby» algérien en France.

De 2021 à 2022, Rima Hassan siégeait au conseil d’administration de Médecins sans Frontières France

L'ONG Médecins Sans Frontières France hébergeait en son sein la députée insoumise Rima Hassan de 2021 à 2022. Information révélée par le JDD.

La présence de RIMA HASSAN au conseil d’administration de Médecin Sans Frontières (MSF) il y a deux ans explique-t-elle l’orientation pro-Hamas de l’ONG depuis le 7 octobre ?

Il n’y a pas de fumée sans feu. D’après une enquête du Journal Du Dimanche, publiée ce dimanche, la députée LFI, Rima Hassan, aurait siégé au conseil d’administration de l’ONG Médecins sans frontières (MSF) France il y a deux ans.

Cette nouvelle peut expliquer les prises de position plus que tendancieuses de cette organisation, surtout depuis le 7 octobre 2023 avec l’attaque du Hamas contre Israël.

En effet, depuis ces évènements tragiques qui ont fait monter d’un cran les tensions au Proche-Orient, l’organisation brille par son impartialité et sa défense plus ou moins indirecte au groupe terroriste palestinien. MSF avait été vivement critiquée notamment suite à la diffusion, sur son réseau social X d’une fake news, accusant l’armée israélienne d’avoir bombardé l’hôpital Al-Ahli à Gaza.

Le mystère demeure concernant le rôle de l’élue insoumise dans cette organisation. Contactée par le JDD, Rima Hassan a refusé tout commentaire.

800 collaborateurs de MSF à Gaza

Les déclarations de cette organisation prennent alors tout leur sens lorsqu’on apprend la présence de Rima Hassan au sein de Médecins sans Frontières. Ils sont aussi très nombreux sur place : plus de 800 collaborateurs travailleraient pour MSF et relayeraient donc à eux seuls les faits en direct, sans que personne ne vérifie la véracité des informations.

Suite à cette découverte, les employés français de cette ONG n’ont pas voulu répondre au JDD. Quant aux fondateurs interrogés par nos confrères, ils ont préféré contourner le problème en qualifiant cette enquête de « démarche dangereuse et irresponsable » en qualifiant le journal acteur de ces recherches de « soutien à la rhétorique des autorités israéliennes ».

Une cinquantaine de salariés auraient aussi fait l’apologie du terrorisme, selon la même enquête du JDD.


Une investigation approfondie révèle des liens troublants entre l’ONG et la rhétorique du Hamas. Depuis le début du conflit, MSF France fait l'objet de critiques pour sa communication alignée sur les discours du Hamas. Gaza, où l'ONG est active, est souvent utilisée pour transmettre des témoignages non vérifiés qui servent la propagande pro-Hamas.

« Liberté, Égalité, Fraternité » est la devise nationale de la France depuis 1848
  • Liberté

L'idée de liberté est un des grands principes de 1789. Elle figure dès l'article I de la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen: " Les Hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits. " « La liberté est un des droits imprescriptibles de l'Homme ».

Les articles suivants précisent ce qu'est la liberté :

  • « Elle consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui ».

  • « Tout ce qui n'est pas défendu par la loi, ne peut être empêché et nul ne peut être contraint à faire ce qu'elle n'ordonne pas ».

  • « Nul ne peut être accusé, arrêté et détenu que dans les cas déterminés par la loi et selon les formes qu'elle a prescrites ». Il s'agit ici de la liberté individuelle face à la police et à la justice.

  • « Nul ne peut être inquiété pour ses opinions, même religieuses pourvu que leur manifestation ne trouble pas l'ordre public établi par la loi ». Cet article définit la liberté d'opinion.

  • « La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'homme on peut donc parler, écrire, imprimer librement sauf à répondre de l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi ». Ici se trouve définie la liberté d'expression.

Tous ces articles ont pour but d'interdire l'arbitraire de la police et de la justice royale qui était la règle avant la Révolution. Il s'agit de créer une sorte d'Habeas Corpus comme dans l'Angleterre de l'époque.

Dans certains cas, il est possible que la liberté ne soit pas forcément respectée totalement, par exemple, lors de crises sanitaires graves, de guerres ou de crises à l'intérieur du pays, il est admis que la liberté soit restreinte le temps que la situation devienne plus gérable et que les gens soient en sécurité.

  • Égalité

L'égalité des droits est aussi un des grands principes de 1789. Il figure dès l'article un de la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen. Il interdit l'existence de privilèges, qui était la base de l'organisation sociale de la France avant la Révolution.

  • « La loi doit être la même pour tous, soit qu'elle protège soit qu'elle punisse ».

  • « Tous les citoyens étant égaux à ses yeux (de la loi), sont également admissibles à toutes dignités, places et emplois publics, selon leur capacité et sans autres distinctions que celles de leurs vertus et de leurs talents ».

  • « Pour l'entretien de la force publique et pour les dépenses d'administration, une contribution commune (l'impôt) est indispensable, elle doit être également répartie entre les citoyens en raison de leurs facultés (moyens financiers) ». Il crée l'égalité devant l'impôt.

  • Fraternité

La fraternité n'apparaît pas dans la déclaration des droits de l'homme et du citoyen. Pourtant de nombreuses inscriptions la mentionnent comme étant une idée révolutionnaire. Il s'agit d'une fraternité entre les peuples européens face aux rois qui depuis des siècles, pour leur seul profit, font se battre les peuples pendant les guerres.

L'idée de fraternité est portée par la grande vague révolutionnaire qui va embraser l'Europe en 1848. En Allemagne, en Autriche, en France, en Italie, la population se soulève contre les princes. En France, les républicains de tendance socialiste souhaitent que la Révolution de février 1848 profite aux plus défavorisés. Ils luttent pour imposer le droit au travail ou le devoir pour la communauté nationale de prendre en charge ceux qui sont dans le besoin5. Ils font inscrire dans la constitution de 1848 le principe de fraternité.

  • « La République a pour principe, la Liberté, l'Égalité et la Fraternité » (article 4 du préambule de la Constitution de 1848).

  • « Les citoyens doivent concourir au bien-être commun en s'entraidant fraternellement les uns les autres » (article 4 du préambule).

  • « La République doit par une assistance fraternelle assurer l'existence des citoyens nécessiteux, soit en leur procurant du travail dans les limites de ses ressources, soit en donnant, à défaut de la famille, des secours à ceux qui sont hors d'état de travailler ». (article 8 du préambule). Il s'agit bien du principe de solidarité entre les habitants de la communauté nationale.

En 2018, le Conseil constitutionnel a été interrogé par des avocats à propos de ce terme dans la devise et l'a reconnu comme principe à valeur constitutionnelle, c'est-à-dire, comme un élément qui doit être respecté par les français et les gouvernants. La fraternité a été reconnu par la Justice.

49 vues0 commentaire

Comments


bottom of page