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Normalisation Tunisie - Israël: La mafia militaro-politico-financière algérienne, arme sa presse...


Normalisation Tunisie - Israël: La mafia militaro-politico-mediatico-financière algérienne, arme sa presse contre la Tunisie.

Le rapprochement entre la Tunisie et Israël se heurte à l’opposition de l'Algérie

Tunis craint qu’un rapprochement avec Jérusalem n'affecte négativement ses intérêts avec Alger

L’Algérie considère Tunis comme son arrière-cour

La Tunisie et Israël ont engagé des discussions pour un éventuel rapprochement, mais la démarche se heurte à l’opposition de l'Algérie, qui voit d’un mauvais œil cet effort de conciliation, a rapporté mercredi le quotidien Israel Hayom.

Des entités tunisiennes ont également déployé des efforts pour empêcher ce processus d’aboutir, souligne le journal.

Le site «Israel Today» indique que la mafia militaro-politico-mediatico-financière algérienne s’emploie par tous les moyens à faire obstruction à la normalisation des relations entre la Tunisie et Israël, et rejette toute présence d' «Israël» en Afrique du Nord.

Selon un responsable diplomatique qui s'est entretenu avec Israel Hayom, "élargir la sphère des pays qui ont des liens avec Israël est notre objectif constant, mais il est également vrai que l'Algérie montre toujours une attitude hostile [à l'égard de cet effort]."

Selon le site d’informations de langue arabe Rai Al-Youm, le président tunisien Kais Saïed cherche à se rapprocher d'Israël, mais "l'Algérie empêche le pays d'entrer dans le processus de normalisation."

Le site souligne que la Tunisie craint qu’un rapprochement avec Israël n'affecte négativement ses divers intérêts commerciaux et financiers en Algérie.

La Tunisie et Israël ont entretenu des relations diplomatiques partielles dans les années 1990 à la suite des accords d'Oslo, mais la mission diplomatique tunisienne en Israël a été fermée après l'effondrement du processus de paix au début des années 2000.

Toutefois, le président actuel a autorisé les Israéliens à visiter le pays.

Israël participe aux manœuvres Africain Lion 2022. La mafia militaro-politico-mediatico-financière algérienne, arme sa presse contre la Tunisie.

L’African Lion sont des exercices militaires exécutés conjointement par plusieurs unités armées de différents pays sous le patronage de l’Africom afin de « renforcer les capacités communes de défense et contrer les menaces transnationales et les organisations extrémistes ».

Plus de 7.500 soldats tunisiens, français, brésiliens, italiens, britanniques, américains et marocains – entre autres – participent à ces opérations qui ont démarré le 6 juin et se poursuivent jusqu’au 30 du mois courant.

Israël figure parmi les observateurs venus de l’Otan, et de pays partenaires, notamment d’Allemagne, d’Azerbaïdjan, du Bénin, de la Côte d’Ivoire, de Djibouti, de France, du Gabon, du Liberia, de la Libye, du Niger, du Pakistan, de Pologne, du Togo, du Qatar, et de l’Union Africaine.

La mafia militaro-politico-mediatico-financière algérienne, arme sa presse contre la Tunisie.

"En prenant part à ces manoeuvres et pis encore en en accueillant une partie, la Tunisie n'a-t-elle pas adopté une posture suspecte, dont la finalité serait de normaliser ses relations avec Israël?" se demande le quotidien algérien L'Expression.


Chaque pays a le droit souverain de prendre ses propres décisionsQu’est-ce que la souveraineté dans les relations internationales ?

La notion de souveraineté – comme celle d’État – se situe à l’intersection entre les scènes interne et internationale.


La souveraineté interne implique un principe de hiérarchie. Jean Bodin, en 1576, dans Les Six livres de la République, la définit comme la «puissance absolue et perpétuelle d’un Etat». L’État n’est subordonné à aucune autre entité et n’est soumis qu’à sa propre volonté. Il exerce son autorité suprême sur une population et un territoire donnés. La souveraineté signifie donc indépendance, capacité à ne pas se voir imposer la volonté des autres (principe de non-ingérence), et liberté d’organisation interne.


La souveraineté externe repose sur le principe d’égalité entre les États, quelles que soient leur puissance effective, leurs ressources ou leur démographie, et donc indépendamment des inégalités de fait. On parle ainsi, dans la Charte des Nations unies, d’«égalité souveraine» (art. 2 § 1). Cette égalité signifie aussi que les États ne sont soumis à aucune instance supérieure. Ils sont théoriquement subordonnés aux seules normes qu’ils ont eux-mêmes définies ou auxquelles ils ont consenti.

Une Tunisienne a vite fait remonter les bretelles aux (Kouloughlis).…
Verra t-on un jour le drapeau d'Israel flotter à Alger...?

Au milieu des années 1990, alors qu’Israël et d’autres États d’Afrique du Nord ont lentement commencé à établir des relations diplomatiques, l’Algérie est restée l’un des derniers pays à s’abstenir d’une telle initiative. Ce n’est que lorsque le Premier ministre israélien Ehud Barak a rencontré le président algérien Abdelaziz Bouteflika aux funérailles du roi du Maroc Hassan II, le 25 juillet 1999, que des échanges non officiels ont eu lieu.


LE SAVIEZ-VOUS? Depuis bien longtemps des algériens achètent des produits israéliens qui débarquent dans le port d’Alger sans aucune étiquette. Les produits viennent de France, et ils sont fabriqués en Israël. Les étiquettes sont supprimées à la dernière minute. Ce n’est donc pas par hasard que des produits pharmaceutiques de grande qualité de Teva sont utilisés tous les jours par des milliers d’Algériens. Selon i24News : « Le gouvernement israélien aurait envoyé des doses de vaccin Pfizer contre le Covid-19 à l’Algérie. C’est un pays avec qui l’Etat hébreu n’a pas de relation diplomatique. Le transfert aurait été effectué via un avion militaire brésilien. Les deux pays vont-ils prochainement normaliser leurs relations? »

La société algérien Sonatrach vend 50 mille tonnes de GPL à Israël en catimini !

Depuis la reprise des relations maroco-israéliennes, la frustration est devenue l’humeur dominante à Alger, où les généraux et leur porte-voix et néanmoins président de la république, Abdelmadjid Tebboune, mènent une campagne contre les deux pays, qualifiant leur alliance de «malsaine». Si le régime algérien prétend rejeter toute coopération avec l’Etat hébreu, une enquête du journal d’Algérie Part dit le contraire, notant que depuis janvier 2021, la compagnie nationale des hydrocarbures, Sonatrach, aurait vendu au moins 50 mille tonnes de GPL à Israël via un important intermédiaire sur le marché mondial des hydrocarbures. Dès son arrivée au pouvoir, le président algérien Abdelmajid Tebboune avait exclu, devant les médias, toute possibilité de normalisation des relations avec Israël. Mot pour mot, il avait réitéré en septembre dernier qu’il y a une sorte de «ruée vers la normalisation (…) Nous n’y participerons pas et nous ne la cautionnons pas», laissant sous-entendre que n’importe quelle relation avec l’Etat hébreu serait le péché ultime. Cependant, il s’évère que les relations entre Alger et Israël, ne sont pas aussi coupées qu’on laisse croire. En témoignent les investigations du média algérien «Algérie Part», qui révèlent que Sonatrach, aurait vendu au moins 50 mille tonnes de GPL à Israël via un important intermédiaire nommé Vitol. Ce dernier aurait affrété des navires qui ont transporté le GPL algérien pour l’expédier jusqu’à IsraëL afin de le livrer à un important client, ajoute la même source, avant de préciser qu’il s’agit de l’Eilat Ashkelon Pipeline Company (EAPC). Cette société israélienne exploite plusieurs pipelines de pétrole brut et de produits pétroliers raffinés en Israël, notamment l’oléoduc Eilat Ashkelon – qui transporte du pétrole brut à travers le sud d’Israël, entre la mer Rouge et la mer Méditerranée. L’enquête affirme que c’est au port d’Ashkelon où plusieurs bateaux et navires transportant le GPL algérien ont été réceptionnés durant toute l’année 2021. «Pour masquer et dissimuler ces transactions commerciales sulfureuses et afin de ne pas éveiller les soupçons en Algérie, la Sonatrach et VITOL ont opéré des manœuvres très insidieuses», indique la même source, notant que les navires quittent le port d’Arzew dans la wilaya d’Oran et observent ensuite une halte en Méditerranée, le plus souvent au niveau des côtes grecques, avant de rallier ensuite Ashkelon en Israël. Les investigations d’Algérie Part ont permis de constater ainsi que le navire SUNNY GREEN, de type LPG Tanker qui navigue actuellement sous le pavillon de Panama, aurait été utilisé à plusieurs reprises par Vitol pour transporter le GPL algérien jusqu’en Israël. Le 10 mai 2021, le navire Sunny Green aurait transporté une cargaison de GPL algérien depuis le port d’Arzew, au moins 5000 tonnes de GPL, pour la livrer au client israélien EAPC. Le navire aurait navigué jusqu’à Kalamata en Grèce avant de repartir discrètement vers Ashkelon, ajoute le média algérien, tout en ajoutant que le Sunny Green aurait réédité la même livraison de GPL algérien à l’EAPC le 11 juillet 2021 et que VITOL aurait utiliser un autre navire, le Ventura Gas de type LPG Tanker qui navigue actuellement sous le pavillon de Liberia, pour livrer du GPL algérien à Ashkelon le 2 septembre 2021. Tout pour préserver les images ! Afin de préserver le secret autour de ces livraisons du GPL algérien à la société israélienne EPAC et pour éviter une éventuelle tension sociale, sachant que les algériens appellent depuis des années à la chute du régime, Vitol recourt à ce qu’on appelle le transfert de navire à navire. Il s’agit d’un subterfuge qui permet de transférer en mer ouverte des marchandises entre des navires placés côte à côte, à l’arrêt ou en déplacement. Les cargaisons ainsi transférées comprennent les marchandises en vrac, le pétrole, le gaz naturel et d’autres produits issus du pétrole brut. Selon Algérie Part, chaque cargaison rapporterait près de 10 millions de dollars USD à la Sonatrach. C’est naturellement Vitol qui rémunère Sonatrach et revend ensuite le GPL algérien à la société israélienne EAPC, précise-t-on. Un montage qui permet à la direction générale de Sonatrach de récuser toute relation directe avec un client israélien se conformant ainsi aux dogmes de la politique étrangère de l’Algérie laquelle « refuse » toute normalisation des relations diplomatiques ou commerciales avec Israël au nom de la défense de la cause palestinienne. Cette affaire fait secrètement rage au sein de la direction générale de Sonatrach dont le PDG Toufik Hakkar aurait demandé aux services de la direction des Affaires juridiques et activité Commercialisation de garder le secret autour de ce dossier très sensible, qui commence d’ores et déjà à faire du bruit.

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