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N'en déplaise à ses détracteurs, Abdellatif Hammouchi,l'oeil qui veille sur le Maroc et sur le Monde


La sécurité est assurément la première obligation d’un Etat. Le Maroc l’apprend chaque jour à ses dépens et consent des efforts colossaux pour garantir celle de ses 37 millions d’habitants avec un voisinage hostile qui ne lui facilite pas la tâche.

“Il n’est pire ennemi que ses proches.”

Victime de violations de son intégrité territoriale par les guérillas du Polisario, cible des mouvements terroristes internationaux, proie des mafias qui organisent l’émigration clandestine et des trafiquants de drogue et en prise avec les opérations de déstabilisation de puissances étrangères, le Maroc a réussi à créer son propre modèle pour protéger ses populations, ses frontières et ses intérêts à travers le monde.

Récit de l’édification d’une partie du dispositif sécuritaire marocain dont le niveau de maîtrise dérange suffisamment pour affoler certains services de pays pourtant « amis ». Désorientée par la modernisation et l’espérance de progrès portés par le modèle sécuritaire marocain, l’alliance islamo-gauchiste, constituée par Al Adl Wal Ihssane et Annahj Addémocrati et leurs soutiens, ne manque aucune occasion sur le terrain de la parole, pour tenter de discréditer la DGST et la DGSN, figures de proue de cette transformation. Les deux institutions présentent la singularité d’être gérées par une seule et même personne.

Depuis l’attentat de l’hôtel Atlas Asni à Marrakech en 1994 au cours duquel deux touristes espagnols ont été tués par un commando franco-algérien, le Maroc a dû payer un lourd tribut à la lutte contre le terrorisme. Celui du sang de dizaines de victimes d’attentats abominables que ce soit à Casablanca, Marrakech ou encore Imlil. Depuis 26 ans, ce sont des centaines d’opérations qui ont été avortées et autant de cellules neutralisées.

C’est grâce à une communauté de services du renseignement dont le niveau de professionnalisme a été substantiellement rehaussé et dont la modernisation s’est faite au pas de charge ces dernières années, que le Royaume chérifien réussit à repousser les menaces, et ce avec une feuille de route dont le Roi Mohammed VI a tracé lui-même les contours.

Un voisinage hostile
« L’attentat contre l’hôtel Asni de Marakech 1994 est l’oeuvre du DRS algérien »

Karim Moulay, ancien agent algérien, a révélé à l’agence El Quds Press, que les services du Département du renseignement et de la sécurité (DRS) algériens étaient derrière la planification et l’exécution de l’attentat contre l’Hôtel Atlas Asni de Marrakech (Maroc) en août 1994.

L’attentat, dans lequel deux touristes espagnoles ont trouvé la mort, a conduit le roi du Maroc de l’époque, Hassan II, d’imposer le visa pour les citoyens algériens désireux de se rendre au Maroc. En guise de réponse à la décision marocaine, les autorités algériennes ont décidé alors de fermer les frontières terrestres entre les deux pays voisins.

«J’ai été envoyé par les services secrets algériens au Maroc en avril 1994. Ma mission consistait à la préparation logistique de l’attentat sans pour autant que je sache qu’il s’agissait de la préparation d’un attentat. J’ai été chargé de créer un climat d’insécurité et de fomenter l’instabilité dans le pays, ce que j’ai fait», a déclaré l’agent algérien.

Abdelilah Ziyad : la boite noire de l'attentat à l'hôtel Atlas-Asni

"Complément d'enquête" a retrouvé le mentor présumé de l'un des kamikazes du Bataclan. Abdelilah Ziyad, qui est aussi le "cerveau" des attentats de Marrakech, prêche incognito dans une mosquée de quartier à Troyes.

En seconde partie, on remonte 30 ans en arrière: Un réseau de 35 islamistes en procès à Paris en 1996. Les aveux de l'«émir» Ziyad. Abdelilah Ziyad a reconnu sa responsabilité dans l'attentat de Marrakech. Un réseau de 35 islamistes en procès à Paris.

Selon Zinfos 974: ""Haine du régime marocain d'où il est originaire, Abdelilah Ziyad se réfugie en France en 1982 et en 1984 il y est expulsé et part en Lybie une année. Un an plus tard, il est en Algérie. Et c'est là qu'intervient l'autre révélation de ce procès. Car, il y est accueilli à bras ouverts et, "comme tous les opposants marocains [les terroristes [exple: Benbatouch alias Brahim Ghali]]" il est logé et nourri dans un petit hôtel, il y reçoit un passeport algérien. En 1986, il revient en France avec ce passeport algérien et obtient une carte de séjour grâce à ses papiers algériens" . De là à en conclure qu'il a été manipulé par les services algériens."

Il est à rappeler que lors de l’attentat de Marrakech de 1994, dont Ziad est le cerveau, un commando de deux hommes armés et cagoulés ont tiré des coups de feu en l'air, se sont emparé de la caisse et ont pris pour cible un petit groupe de touristes présent dans le hall. Deux Espagnols ont été tués et une Française grièvement blessée. Ledit commando terroriste était composé de Stéphane Aït Idir, Redouane Hammadi et Tarek Felah, trois ressortissants français d'origines algérienne et marocaine.

Abdellatif Hammouchi, l'oeil qui veille sur le Maroc sur le Maroc et sur le Monde

Dans le cadre des efforts de surveillance des menaces terroristes qui visent la sécurité du Royaume, le Maroc a adopté une stratégie intégrée basée sur les hautes orientations royales afin de contrer les desseins terroristes. D’ailleurs, force est de rappeler que la naissance du BCIJ s’était faite dans un contexte marqué par l’émergence et du développement du terrorisme au niveau mondial afin de faire face au spectre des attentats terroristes qui pointait à l’horizon.

Et depuis, il ne se passe pas un mois sans que le Bureau central d’investigations judiciaires ne prenne dans ses filets des cellules terroristes. Autant les arrestations et démantèlements largement relayés par les médias nous donnent des sueurs froides dans le dos, autant ils nous rassurent et nous mettent en confiance sachant que le Maroc est entre de bonnes mains sécuritaires.

Leur travail héroïque fait que nous n’avons plus rien à envier aux services de renseignements les plus puissants au monde!

Nos forces antiterroristes sont si efficientes que la vigilance est devenue leur deuxième nature. Vigilance qui a permis de déjouer tous les plans du groupe dit « État islamique » et ses adeptes visant le Maroc, jusqu’ici.

Ce que l’on doit à Abdellatif Hammouchi

Siège de la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN), centre-ville de Rabat. Au premier étage de cette vieille bâtisse des années 1950, le bureau du maître des lieux, Abdellatif Hammouchi, 53 ans. « Il y passe généralement une demi-journée, confie Boubker Sabik, porte-parole de la DGSN. Le reste du temps, il est dans son autre bureau de la Direction générale de la surveillance du territoire (DGST), à Témara. »

Le premier flic du royaume en est aussi le premier agent de renseignement. Un cumul de postes inédit dans l’histoire sécuritaire du Maroc qui en dit long sur la confiance placée en lui par le roi Mohammed VI. «C’est un modèle qui a incontestablement fait ses preuves et qui nous est envié par d’autres pays, assure Abdelhak Khayyam, patron du Bureau central d’investigation judiciaire (BCIJ), bras armé de la DGST, et lui-même ancien de la DGSN. Avoir un seul décideur à la tête de ces deux directions stratégiques ouvre toutes les passerelles de collaboration et supprime tout clivage.»

Capacité d’anticipation

C’est en 1991 que la carrière d’Abdellatif Hammouchi démarre au sein de la DGST, après des études à Fès et un service civil au cabinet du secrétaire général du département de l’Information, alors lié au ministère de l’Intérieur. L’islam politique galopant et l’activisme des groupes djihadistes deviennent dès lors les sujets de prédilection de l’officier de renseignement. Les milliers de fiches compilées et les centaines de rapports étudiés ou établis permettent à cet analyste – surdoué selon ceux qui l’ont alors côtoyé – de gravir rapidement les échelons.

Quand le général Hamidou Laanigri reprend les rênes de la DST, en 1999, au lendemain de l’accession au trône de Mohammed VI, il repère immédiatement ce trentenaire qui maîtrise sur le bout des doigts les mouvances islamistes et organisations jihadistes. « Quand Laanigri briefait de hauts responsables, des homologues étrangers ou certains journalistes, Hammouchi était toujours là. Il est incollable sur les réseaux terroristes. Il est d’ailleurs toujours capable de vous citer, de mémoire, les noms des membres d’une cellule, de retracer leurs parcours et leurs relations avec d’autres groupes combattants », nous raconte un ancien du ministère de l’Intérieur.

Ses compétences sont telles que la CIA tente de le débaucher. « George Tenet (directeur de la centrale de 1997 à 2004) lui a proposé la nationalité américaine et un haut poste à Langley, nous confie l’un de ses proches. Hammouchi a répondu : “Marocain je suis né, marocain je resterai, marocain je mourrai.” » Le royaume reconnaît aussi Abdellatif Hammouchi à sa juste valeur. En haut lieu, sa capacité d’anticipation et la qualité de ses rapports sont grandement appréciées. Mohammed VI en personne lui en commande souvent… et le nomme directeur de la DGST en décembre 2005. À 39 ans seulement, il est le plus jeune patron du renseignement que le Maroc ait connu, mais aussi le benjamin des patrons des services de renseignements dans le monde.

Normalisation de la DGST

Comme il l’a fait avec sa réforme progressive de la DGSN, Hammouchi a déjà marqué de son empreinte l’image et les pratiques de la DGST. Fini le temps des « haj barbouzes » adeptes des disparitions et des interrogatoires musclés dans des caves obscures ! La DGST apparaît aujourd’hui comme une institution normalisée et fréquentable. Son Groupe de recherche et d’intervention (GIR) est acclamé par la foule : les hommes cagoulés qui le composent risquent leur vie sur le terrain lors d’opérations antiterroristes. En 2011, une commission parlementaire a pour la première fois de l’histoire eu accès au fameux siège Témara, longtemps l’un des centres sécuritaires les plus secrets du royaume.

Quelques médias ont également pu accéder à l’antre de la DGST, en marge d’une inauguration royale. « Le siège de la DST et son bureau du deuxième étage du centre d’opérations sont à son image : monacaux, propres, rangés, fonctionnels », nous confie l’un des rares journalistes à avoir été reçu « à titre amical et privé » par le patron du renseignement. Il garde le souvenir d’un « personnage, affable, lisse, ordonné et structuré ».

De leur côté, ses proches et ses collaborateurs rivalisent de qualificatifs pour encenser l’intégrité, la piété, le sérieux et la sincérité du haut fonctionnaire. Solitaire, on ne lui connaît aucune fréquentation mondaine. Peu d’amis. Jamais de restaurants. Un côté « moine-soldat », constamment disponible pour le roi. Jamais de frasques.

Offense diplomatique

Cette réputation d’homme exemplaire a failli être ternie par les accusations de « complicité de torture » portées contre lui en France. En février 2014, et alors que l’intéressé se trouve au Maroc, des policiers viennent frapper à la porte de la résidence de l’ambassadeur du royaume, à Neuilly-sur-Seine, porteurs d’une convocation de la justice à son nom.

L’épisode tourne à la crise diplomatique entre les deux pays et à la suspension de la coopération judiciaire. Ses collaborateurs ont beau jurer que «ces affabulations lui passaient par-dessus la tête», Hammouchi n’a pas oublié l’offense, quand bien même Manuel Valls, Premier ministre à l’époque, et François Hollande, alors président, lui ont juré par la suite qu’ils n’étaient pas au courant.

Les excuses de la France sont intervenues un an après cette crise, d’abord à travers un vibrant hommage rendu par le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve au travail de la DGST et à son directeur en matière de lutte antiterroriste. « Tu as sauvé la France », renchérit Patrick Calvar, patron de la Direction générale de la sécurité intérieure, au lendemain des attentats de Paris de novembre 2015. C’est grâce à un tuyau marocain que le terroriste Abdelhamid Abaaoud et ses complices avaient été localisés.

Reconnaissance internationale

Il est clair que le Maroc n’échappe plus au viseur maudit du jihadisme qui s’épuise à vouloir s’implanter dans le Royaume, à travers des cellules dormantes, nourries d’idéologie meurtrières. Mais l’évidence est là : si le Maroc est encore épargné par l’horreur du terrorisme, c’est grâce à la vision sécuritaire et aux membres du Bureau central d’investigations judiciaires (BCIJ) – relevant de la DGST- qui ont impressionné le monde de par leur vigilance et leur flair auquel aucun terroriste ne peut se soustraire. Que de funestes projets destructeurs et sanglants avortés par l’œil vigile et la main protectrice de ces forces qui, décidément, ne dorment plus même d’un œil ! D’ailleurs, l’efficacité des services de renseignements marocains est incontestable ; preuve en est qu’elle est souvent citée en exemple à tel point que des pays comme la France, l’Espagne, la Belgique et l’Allemagne ont décidé de nouer un partenariat avec le Maroc dans le domaine sécuritaire.

Au début de 2016, Abdellatif Hammouchi a été élevé au rang d’officier dans l’ordre de la Légion d’honneur. Une marque de reconnaissance supplémentaire envers le directeur de la DGST, souvent félicité et remercié par des chefs d’État ou des responsables gouvernementaux étrangers pour la précieuse collaboration des services marocains et pour leur professionnalisme.

Le dernier témoignage en date est celui des autorités sri-lankaises, qui ont tenu à exprimer leur gratitude aux services marocains, qui, les premiers, leur ont communiqué les identités et photos des auteurs des attentats survenus sur leur sol en avril. Et il n’y a pas qu’en matière d’antiterrorisme que la collaboration avec les services étrangers est exemplaire.

« En quelques semaines, nous avons livré aux Espagnols et aux Italiens deux grosses pointures du crime organisé recherchées depuis des années et nous avons démantelé avec les Français un réseau de trafic de cannabis à travers une livraison surveillée », recense le directeur d’Interpol Maroc. Abdellatif Hammouchi et ses hommes veillent au grain sur tous les fronts.

Attentats au Sri Lanka : Le Maroc a fourni des « informations clés » pour l’identification des terroristes
Abdellatif Hammouchi reçu par le patron du FBI, Christopher Wray, lors d'une visite de travail aux Etats-Unis, du 13 au 14 juin 2022.

Abdellatif Hammouchi rencontre les directeurs de la CIA et du FBI Lutte contre le terrorisme, coopération sécuritaire et le démantèlement de cellules criminelles étaient au cœur des entretiens entre le directeur général de la Sûreté nationale et de la Surveillance du territoire et ses homologues américains, cette semaine à Washington.

Maroc-USA: Célébration du 231e anniversaire du Département d’État américain, Découvrez la photo choisie pour cet événement….

L’ancien leader du Mouvement/ Armée populaire de libération du Soudan avait fait appel aux services de la diplomatie américaine, afin de réorganiser son nouveau bureau de sécurité interne.

En guise de réponse, le ministère américain des Affaires étrangères lui a proposé de s’inspirer de l’expérience du Maroc et de son chef des services de renseignements, Abdellatif Hammouchi.

La proposition, rapporte le site El Ousboue, aurait été très bien accueillie par le président sud-soudanais, qui considère que les relations entre les deux pays sont actuellement favorables à une telle forme de coopération.


Le Royaume du Maroc, pays du tiers-monde, joue les cyberJames Bond en accédant au club restreint des maîtres de l’espionnage que sont le Mossad, la CIA, le MI-5 ou le FSB dérange forcément...

(Neo-embrigadement): Un discours contre le système basé sur le ressentiment ... Dis-moi qui tu fréquentes, je te dirais qui tu es.!!!

L’homme s’identifie tout le temps aux membres du groupe auquel il appartient. Donc, le groupe a un impact, non négligeable, sur le caractère d’un individu.

La possession d’une propriété commune à l’individu et au groupe social entraîne une intégration sociale du premier au second, définit la base d’un rapport d’allégeance de l’individu au groupe social et facilite les processus d’intercompréhension et de contagion émotionnelle des membres du groupe.

Avant

Le réseau

Le « DRS » lui donne des objectifs de renseignement et le travail consiste à cibler des personnes susceptibles de l’intéresser, nouer ensuite un contact avec elles et les persuader de collaborer avec le « RDS ». Bien sûr, des moyens financiers sont mis à disposition.

« Dr ». Issam Bencheikh, est connu pour être un propagandiste du Polisario.




Le pseudo journaliste:

Si vous avez besoin de quelqu’un pour écrire une histoire montée de toutes pièces, pour défendre une fausse cause ou une cause qui n’est pas la sienne, il faut penser à un journaliste freelance, à une plume à louer, un nègre comme Ignacio Cembrero, le journaliste espagnol qui pleure ses années de gloire quand il couvrait, à partir du Maroc, le Maghreb pour le journal El País, puis pour le quotidien concurrent El Mundo.

Aujourd’hui simple collaborateur dans un petit journal en ligne, en l’occurrence El Confidencial, M. Cembrero tente vainement et désespérément de renouer avec les articles tendancieux contre le Maroc qui faisaient sa fausse renommée. Il est certes un confrère, bon gré mal gré, mais un confrère d’un autre genre. Il est vrai aussi qu’il est en fin d’une carrière aux débuts pompeux. C’est ce qui explique qu’il est aigri et qu’il n’hésite pas à se faire une nouvelle virginité en négociant fort le prix de ce qui reste de sa crédibilité déjà usée.

Mais qui peut payer par les temps qui courent en dehors des services algériens, qui n’ont pas sué pour s’emparer des pétrodollars? Celui qu’on présente comme «spécialiste du Maghreb» a accordé une interview au média algérien TSA, qui vit des offrandes des généraux séniles de la junte militaire, durant la même semaine où il a donné un entretien à Maroc Hebdo (numéro du 18 juin 2021). Les propos ont été contradictoires pour parler du même sujet: la crise maroco-espagnole.

Chez TSA, il tient un discours fallacieux et incendiaire à l’encontre du Royaume en adoptant la consigne d’épargner le peuple marocain tout en s’attaquant à la monarchie et au système, au «Makhzen»… Bref, en usant de tous ces mots désuets qui n’impressionnent que ceux qui paient pour qu’ils soient utilisés.


Le double discours reflète le double visage. Changer son fusil d’épaule n’est pas un exercice de dur labeur pour M. Cembrero. C’est plutôt une gymnastique intellectuelle ou un fonds de commerce qui en constitue un signe distinctif. M. Cembrero est connu pour son animosité, voire sa haine à l’égard du Maroc et des Marocains. Il a l’habitude de mentir sans vergogne. Le journaliste professionnel qu’il est censé être a donné dans son interview à TSA la preuve de son parti-pris (renouvelé) pour l’Algérie et le Polisario et les services espagnols en prophétisant: «Le tribunal (de justice européen de Luxembourg) peut invalider les accords d’association et de pêche entre l’Union européenne et le Maroc à cause, justement, du Sahara occidental, parce que ces accords ont été signés sans consulter la population sahraouie.

C’est en tout cas la thèse que soutiennent les avocats du Polisario et c’est peut-être la thèse que va faire sienne le tribunal. Dans ce cas, il invalidera les accords et le Maroc se fâchera beaucoup avec l’Union européenne parce qu’il se sentira en quelque sorte désavoué». Ces propos trahissent le journaliste et le discréditent. Même aux yeux de ceux qui continuent à prêter l’oreille à ses idioties.

Le terroriste

L’extrémiste et terroriste marocain Mohamed Hajib, Natif de Tétouan, le 23 mai 1981, Hajib est titulaire de la nationalité allemande et réside actuellement en Allemagne, âgé de 40 ans, fait l’apologie du terrorisme islamiste sur les réseaux sociaux, contre les institutions et les autorités officielles du Royaume du Maroc ainsi que contre les intérêts de l’Occident, tant dans ce pays d’Afrique du Nord, que dans le Monde Arabe.

Cette vidéo est soumise à une limite d’âge

En 2009, il s’est rendu au Pakistan avec l’association « Jamaat Tabligh » et après son retour, il a été interpellé en Allemagne, et lorsqu’il est rentré au Maroc, il fut écroué pendant sept ans pour des crimes liés à des activités terroristes en rapport avec « Al-Qaïda », notamment avec ses réseaux opérant en Afghanistan et au Pakistan. Hajib est largement connu sur les réseaux sociaux pour être très actif dans la promotion et l’incitation au terrorisme, exhortant les jeunes à perpétrer des attaques visant les institutions marocaines, les dirigeants et les symboles de l’État, ainsi que contre les intérêts de l’Occident tant au Maroc que dans le Monde Arabe. « Tout comme Satan est notre ennemi, l’oligarchie doit aussi être appréhendée de la même manière, car, tout simplement, elle sert les intérêts de l’Occident. Sans usage de la force, il n’y a rien », assure le terroriste dans la vidéo ci-dessus, incitant ses partisans à la rébellion et au chaos. « Avez-vous peur de mourir ou quoi ? Piétinez la nuque des traîtres et des chefs d’Etat. Vous les entendrez crier et aboyer« , a-t-il lancé à ses partisans.

Hafid Derradji ne rate pas une occasion d’attaquer le Maroc

Chassez le naturel, il revient au galop! C’est le cas de l’Algérien Hafid Derradji qui ne rate aucune occasion de s’attaquer violemment au Maroc.

Le doyen
Et pourtant:
En Allemagne
En Espagne (lieu de sa résidence):
En France
En Algérie:

...

Pour ceux qui veulent un peu plus de renseignements et de précisions et pas des moindres :
Un acharnement sans précédent contre notre site:

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