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Mosquée de Paris 🕌 / Lobbying: Manque d'attention et de réaction face aux nombreuses alertes lancées via un bon nombre de nos articles... Réalités inédites qui risquent de vous surprendre!... [Part1]

«Hassan II avait averti de Gaulle que l’Algérie allait devenir le cancer de l’Afrique» Xavier Driencourt

Invité dans une émission d’Open Box TV, Web TV fondée et dirigée par Alain Juillet, ex-directeur du renseignement à la Direction générale de la sécurité extérieure française (DGSE), et présentée comme un «atelier d’analyses stratégiques», Xavier Driencourt, ambassadeur de Paris à Alger sous les présidents français Nicolas Sarkozy et Emmanuel Macron, a souligné que «chez les Marocains, il y a le sentiment qu’ils ont été lésés par la délimitation des frontières de la colonisation».

L’auteur de «L’énigme algérienne: chroniques d’une ambassade à Alger», paru en 2022 aux éditions de L’Observatoire, raconte qu’en fouillant dans les archives du Quai d’Orsay, où il s’était servi pour la rédaction de son deuxième livre sur les accords d’Évian, il est «tombé sur un entretien qui a eu lieu en avril 1962 entre le général de Gaulle et le roi du Maroc Hassan II». Lors de cette entrevue, qui s’était déroulée entre les deux chefs d’État après la signature des accords d’Évian et avant l’indépendance de l’Algérie, «de Gaulle interroge le souverain sur l’Algérie, et Hassan II lui répond qu’elle va être le cancer de l’Afrique».

L’arrestation de plusieurs influenceurs tenant des propos violents ces derniers jours pose la question des réseaux du régime algérien dans l’Hexagone.

Le bras de fer diplomatique entre Paris et Alger a dévoilé au grand jour le rôle réel de la mosquée de Paris qui s’est transformée au fil des années en une officine d’influence pour le régime algérien sur le sol français.

Cette nouvelle posture est venue longtemps après une myopie volontaire de la part des autorités françaises.

Ce bras de fer politique entre Paris et Alger a dévoilé les sombres missions de cette institution et de son recteur Chams-Eddine Hafez, agent d’influence algérienne sur le sol français.

Chems-eddine Mohamed Hafiz, homme aux multiples casquettes

Chems-eddine Mohamed Hafiz, né à Alger, est un avocat franco-algérien, recteur de la Grande mosquée de Paris depuis le 11 janvier 2020.

Un avocat du front polisario à la tête de la Grande Mosquée de Paris

C’est sur l’avocat d’affaires franco-algérien, Chems-Eddine Hafiz, que le polisario avait porté son choix, en février 2013, pour déposer son recours contre l’Accord agricole entre Rabat et Bruxelles devant la Cour européenne de justice, qui avait pourtant dénié au front séparatiste "toute qualité d'agir" au nom des Sahraouis.

La Grande Mosquée de Paris et son recteur, Chems-Eddine Hafiz, rendent une dernière fois hommage à l'avocat du Polisario, Gilles Devers.

Gilles Devers était à l'origine de la plainte contre le Maroc auprès de la Cour de Justice de l'Union Européenne et de nombreuses autres plaintes visant à harceler juridiquement le Maroc en Euope.

L'actuel recteur de la Mosquée de Paris, Chems-Eddine, fut lui même l'avocat du Polisario. Gilles Devers a aussi compté certains mosquées du réseau algérien parmi ses clients.

Au delà de la façade médiatique tentant de se faire passer pour une institution française, on retrouve en coulisses une consanguinité qui ne laisse aucun doute sur ses réels objectifs en tant que branche religieuse du régime algérien en France.

Stratégie de lobbying

Le lobbying est un groupe de personnes partageant les mêmes idées, qui se regroupent pour influencer un organisme faisant autorité ou, comme le dit le verbe, pour exercer cette influence (c’est-à-dire « faire pression »). Un lobby est généralement formé pour influencer les fonctionnaires du gouvernement afin qu’ils agissent de manière à servir au mieux les intérêts du lobby, soit en adoptant une législation favorable, soit en bloquant des mesures défavorables à leur stratégie de développement.

La stratégie des groupes de pression ou « les lobbies » consiste à influencer les politiques des pays et des peuples en pesant de tout leur poids sur la sphère décisionnelle. Leur influence est telle qu’ils peuvent changer aussi bien le cours des événements que le destin des nations.

Comment le lobby algérien a pu pénétrer la France???
La Grande Mosquée de Paris, ambassade bis d'Algérie

Rappelons que jeudi 26 mai 2022, le ministre algérien des Affaires religieuses et des Waqfs, Youcef Belmehdi, a révélé que « l’État algérien a attribué 315 milliards de dinars à la Grande mosquée de Paris. Soit prés de 2 milliards d’Euros ! »

  • Le recteur rencontre S.E. M l'ambassadeur de France en Algérie

  • Le recteur Chems-eddine Hafiz a reçu S.E.M. Jawed Ashraf, ambassadeur d’Inde en France

  • Le recteur Chems-eddine Hafiz a reçu S.E.M. Hamed Elhouderi, ambassadeur de Libye en France

  • Le recteur rencontre S.E. Mme Leena Al-Hadid, ambassadrice de Jordanie en France

  • Le recteur Chems-eddine Hafiz a reçu S.E.M. l'ambassadeur d'Oman

Un manque d'attention et de réaction face aux nombreuses alertes lancées via un bon nombre de nos articles👇
Mieux vaut tard que jamais

Rendre à César ce qui est à César

1926: l’inauguration de la Mosquée de Paris par le Sultan Moulay Youssef Ben Hassan

En 1926, la Grande Mosquée de Paris est inaugurée en présence de membres de l’Etat français et le Sultan du Maroc Moulay Youssef Ben Hassan et les populations de l’Afrique du Nord. L’architecture est superbe, le lieu choisi, symboliquement fort… en hommage aux soldats musulmans de la Première Guerre mondiale (près de 73 000 soldats musulmans avaient été tués entre 1914 et 1918.).

Il y a foule ce jeudi 15 juillet 1926 dans le Ve arrondissement de Paris. Riverains, badauds: ils sont nombreux à vouloir assister à l’inauguration de la Grande Mosquée de Paris. L’événement très protocolaire prévu dans l’après-midi attise la curiosité. La consécration religieuse officielle doit se faire en présence du président de la République ; Gaston Doumergue au côté du Sultan du Maroc Moulay Youssef Ben Hassan  entourés de plusieurs hautes personnalités françaises et musulmanes, représentations diplomatiques de la Perse, de la Turquie, du Caucase et de l’Afghanistan.

« Lorsqu’on regarde une gravure des années vingt éditée pour la naissance de la Grande mosquée de Paris, on la voit émerger de l’estompe, comme de la brume, avec ses toits vert d’eau, son minaret, les dômes, la dentelle de l’architecture… un bateau oriental derrière une enceinte qui marque la limite de la rue. Un peu comme une vision au milieu du bâti parisien que l’on devine autour. » C’est par cette description que Simone Douek ouvrait son documentaire consacré à la Grande Mosquée de Paris, et diffusé le 9 décembre 1996 sur France Culture. Elle avait notamment pour invités le recteur de la Grande Mosquée, Dalil Boubakeur, et l’historien Pascal Payen-Appenzeller.

« Ce n’est pas nous qui faisons l’histoire. C’est l’histoire qui nous fait. » Martin Luther King
Il a fallu quatre ans pour construire l’immense édifice religieux. Lors de la pose de la première pierre, le 19 octobre 1922
“L’histoire opère lentement.” Ulrich Wickert

Sur France Inter, le 3 octobre 2011, La Marche de l’Histoire diffusait une archive de 1926 dans laquelle s’exprimait Valroff, secrétaire particulier de Si Kaddour Benghabrit, qui fut le premier à diriger la Grande Mosquée de Paris : « La République Française, le Sultan du Maroc Moulay Youssef Ben Hassan et les populations de l’Afrique du Nord, en réalisant cette œuvre, voulaient édifier un monument durable, une amitié qui tire sa vivacité et sa persistance dans la nature même de l’âme française et de l’âme musulmane. Tous les Français qui voient le minaret de cette maison d’Allah se détacher sur le beau ciel se souviennent et se souviendront toujours des jours sombres où, côte à côte, Français et musulmans, luttaient pour le triomphe de la justice et de la liberté. »

À l’époque, dans le quartier, l’état d’esprit était très favorable à la construction de la mosquée. Et Lyautey s’inscrivait dans une longue histoire : en 1767, la France de Louis XV avait signé un contrat avec le sultan du Maroc, Sidi Mohammed ben Abdallah, pour l’établissement religieux de l’islam en France : "Ce vieux projet de Louis XV et du Maroc… comme souvent il a fallu attendre très longtemps, les coïncidences de l’histoire."



 
 
 

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