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Mme Rachida Kaaout devenu une épine dans le pied de Philippe Bouyssou, le Maire d’Ivry-Sur-Seine


Rachida Kaaout, une élue de la République en Marche et son groupe, s’opposent au jumelage de la commune d’Ivry-sur-Seine avec la "daira de Mijek", décidé par le maire, Felipe Bouyssou. En effet, Mme Claude Mangin Asfari, épouse de Namaa Asfari, emprisonné au Maroc depuis 12 ans avec le groupe de Gdeim Izik, est en relation étroite et ambigüe avec le maire Felipe Bouyssou. Le protocole de jumelage entre la commune d’Ivry et la daira de Mijek est prévu à l’automne 2023. Preuves à l’appui, Rachida Kaaout a dénoncé le viol, la militarisation des enfants, la répression et la torture qui sont infligés à la population sahraouie, séquestrée dans les camps de Tindouf. Une prison à ciel ouvert où toutes sortes d’abus sont commis par le groupe terroriste polisario, soutenu par la junte algérienne.

Rappel: Les articles exorcistes

Nous avons publié en Juillet 2021 des articles d’opinion sur notre site d’info, lesdits articles ont fait réagir le Maire d’Ivry, avant de finalement sortir de sa tanière pour déverser son venin sur le Maroc.

Instrumentalisation des enfants sahraouis, Rachida Kaaout, conseillère municipale à la mairie d’Ivry, réagit….

France/mairie d’Ivry-sur-Seine: L’instrumentalisation des enfants sahraouis, dans le cadre des "Colonies de vacances"

Ni les officiels français, ni leur opinion publique, ne doivent désormais être dupes de l’exploitation politicienne du programme estival: «colonies de vacances au profit des enfants des camps de Tindouf», par un front séparatiste à la moralité très douteuse.

Bien évidemment, les Marocains de France ne pouvaient rester indifférents à cette grossière supercherie algéro-séparatiste nommée abusivement "Colonies de vacances au profit des enfants sahraouis" .

Nombre d’entre eux se sont en effet manifestés, devant la mairie d’Ivry-sur-Seine, pour démasquer l’imposture.
Qui se ressemble s’assemble

Ivry-sur-Seine est une commune française située dans le département du Val-de-Marne en région Île-de-France. Limitrophe de Paris, la ville fait partie de la Métropole du Grand Paris. Sur le plan politique, la ville est considérée comme un bastion historique du Parti communiste français (duquel le Front Polisario est proche : ex-URSS …. et Cuba en particulier), dont tous ses maires sont issus depuis 1925. Elle ne connaît que quatre maires, tous issus du parti, depuis 1945 : Georges Marrane, Jacques Laloë, Pierre Gosnat et Philippe Bouyssou, tandis que Maurice Thorez, secrétaire général du parti de 1930 à sa mort en 1964, en a été le député.

Polisario, d’une imposture à l’autre

L’image que veut se donner la bande séparatiste et son mentor algérien, à travers ces «colonies de vacances», est trompeuse. Mais passons, car, d’autres impostures méritent d’être dévoilées aux institutionnels français, autant qu’à l’opinion publique. Les « colonies » du polisario, qui sont épinglés par les rapports des ONG de défense des droits de l’Homme pour l’embrigadement des enfants au sein de sa soi-disant «armée», ne profite pas réellement à leurs destinataires, c’est-à-dire les enfants infortunés qui croupissent dans les camps de Lahmada. Souvent, ce programme est mis à profit des enfants des dirigeants séparatistes, ainsi qu’à ceux des officiers de l’Armée nationale populaire (ANP). Les institutionnels françaises, autant que ceux d’Espagne ou d’Italie…, ne doivent pas s’y tromper en finançant, aux frais de leurs contribuables, des vacances au profit des enfants des notables séparatistes et autres haut gradés de l’armée algérienne.

SUBVENTION PROJET VACANCES POUR LA PAIX
Monsieur le Maire, chers membres de l’assemblée,Je souhaite faire une intervention sur l’engagement de la ville d’Ivry-sur-Seine auprès du peuple Sahraoui et sur le projet pour lequel vous demandez le soutien du Conseil municipal.Je vous avoue que je suis interloquée par le soutien que vous affichez, à cette occasion, à Monsieur Naama Asfari.Il me semble tout d’abord que dans cette période de sortie – provisoire peut-être – du Covid, tous nos efforts, toute notre attention doit être portée vers les problèmes concrets des habitants d’Ivry et vers ceux qui sont le plus touchés par cette crise. La première réalité quotidienne des Ivryennes et des Ivryens Monsieur le Maire, c’est bien l’après covid !Beaucoup de citoyens ont perdu des êtres chers ; un père, une mère, un enfant…un proche. La deuxième réalité, Monsieur le Maire, c’est que les forces vives qui portent à bout de bras notre ville et qui sont justement empêtrés dans cette réalité que vous occultez Monsieur le maire, ont besoin de soutien. Ne pensez-vous pas que l’affectation de ces 6.000 euros, que vous demandez aux Ivryens, pourrait servir à soutenir les citoyens de notre ville qui en ont le plus besoin !Je peux continuer à l’envi les urgences dont souffre notre ville et l’actualité ne manque pas de nous le rappeler.Je comprends aussi qu’il faut cependant laisser aussi toute sa place à la générosité envers d’autres peuples touchés par les guerres et des situations de crises inextricablesMais profiter de cette demande de subvention pour citer en préambule un homme que vous considérez comme un opposant prisonnier politique mais qui a été jugé dans son pays pour des faits graves, c’est inacceptable. Tout autant inacceptable est le fait de l’avoir nommé citoyen d’honneur de la ville d’Ivry et s’en enorgueillir. Une nouvelle fois, derrière un projet innocent et généreux, se dévoile une intention politique bien précise.A quel titre engagez-vous notre ville et la contribution de tous les habitants d’Ivry ? En tant que maire, non ! En tant que militant d’un parti qui soutient un homme et qui profite de cette circonstance pour le rappeler ! Vous l’aurez compris, Monsieur le Maire, nous nous opposons fermement à cette demande de subvention et vous rappelons que notre objectif est que l’argent des Ivryennes et des Ivryens soit utilisé pour servir l’intérêt général et non des intérêts politiques.Rachida Kaaout Pour le Groupe politique Ivry C’est Vous !

Rachida Kaaout, conseillère municipale à la mairie d’IvryPrésidente du Groupe politique IVRY C’EST VOUS !

Grande hostilité au Maroc…. Aboiements sur ordre des généraux illettrés d’Alger



Nous connaissions @pbouyssouivry maire d’Ivry se réjouissant des débats politiques au sein du Conseil, nous le découvrons comme un autoritaire qui ne supporte pas la contradiction et embarque la ville dans des causes suspectes et loin de la préoccupation des habitants d’Ivry — Philippe Hardouin (@PhHardouin) July 2, 2021
Quand le Maire d’Ivry jette le nom d’un conseiller municipal en pature sur les réseaux sociaux il contribue à alimenter des conflits et la division au sein d’une ville qui doit être plus soudée que jamais dans la crise que nous vivons. C’est un acte irresponsable de sa part. — Philippe Hardouin (@PhHardouin) July 2, 2021

La mafia militaro-politico-financière algérienne vole au secours du maire d’Ivry-Sur-Seine, Philippe Bouyssou via son agence de presse (APS).


Rappel: Réponse du Ministère de l’Europe et des affaires étrangèrespubliée dans le JO Sénat du 07/01/2021 – page 62

La France suit avec préoccupation les évènements de Guerguerate, à la suite du blocage du point de passage dans cette zone, qui a entravé la libre circulation et mis en péril le respect du cessez-le-feu au Sahara occidental. Lors de sa dernière visite à Rabat le 9 novembre 2020, le ministre de l’Europe et des affaires étrangères a exprimé publiquement sa préoccupation quant au blocage de ce point de passage et à ses conséquences. Il est en contact régulier à ce sujet avec ses homologues marocain et algérien. La situation sur le terrain reste volatile et nous appelons à éviter toute action qui conduirait à une escalade. La France appelle au plein respect du cessez-le-feu sous la supervision de la (MINURSO), dont le rôle est essentiel. Celle-ci constitue un facteur clé pour la stabilité de la région et contribue à créer les conditions nécessaires à la reprise du processus politique. La France se félicite à cet égard de l’adoption de la résolution 2548 par le Conseil de sécurité des Nations unies, le 30 octobre 2020, qui renouvelle pour un an le mandat de la MINURSO. Les récents événements démontrent l’importance d’une relance rapide du processus politique, qui passe notamment par la nomination dans les meilleurs délais d’un nouvel Envoyé personnel du Secrétaire général des Nations unies. Notre position n’a pas changé. La France soutient les efforts du Secrétaire général des Nations unies en faveur d’une solution politique juste, durable et mutuellement acceptable au Sahara occidental, conformément aux résolutions du Conseil de sécurité des Nations unies. Dans ce cadre, le plan d’autonomie marocain de 2007 constitue une base sérieuse et crédible de discussions.

Qui tire réellement les ficelles… Pour comprendre «D’où vient cette « marocophobie » hystérique... les algériens d'Ivry-Sur-Seine
Mme Rachida Kaaout (LREM) devenu une épine dans le pied de Philippe Bouyssou (PCF), le Maire d’Ivry…

La bataille des gauches n’aura finalement pas lieu au second tour des municipales à Ivry-sur-Seine (Val-de-Marne), où le maire sortant Philippe Bouyssou (PCF) affrontera le candidat LR Sébastien Bouillaud et la candidate LREM Rachida Kaaout.

Un accord contre toute attente

Pour rappel, grâce à 48,65 % des votes, la liste PCF de Philippe Bouyssou terminait en première position à Ivry-sur-Seine lors du premier tour. Dans ce bastion communiste, le maire sortant affrontait une liste de coalition EELV-PS-LFI menée par l’écologiste Sabrina Sebaihi (d’origine algérienne). Elle avait récolté 22,1 % des votes. La liste divers droite de Sébastien Bouillaud était parvenu à mobiliser 13,7% des votants qui se sont exprimés. Avec 12,22 % des voix, la liste de Rachida Kaaout (LREM) terminait à la quatrième place.

La consigne de la mafia militaro-politico-financière algérienne où tout a basculé en faveur de Philippe Bouyssou… Une alliance polémique. Le deal:

Contre toute attente, alors que le PS et les écologistes étaient de longue date dans l’opposition du maire d’Ivry, un accord a été trouvé entre Philippe Bouyssou et Sabrina Sebaihi (d’origine algérienne), qui a décidé de rejoindre au second tour la liste du maire sortant. Un coup dur pour les membres de la liste Ivry Demain, qui ont dénoncé cette alliance de dernière minute, notamment dans une pétition mise en ligne: « La décision de Sabrina Sebaihi fait prévaloir des petits intérêts particuliers au mépris du projet qu’elle a porté, de ses colistier·es et des électeurs qui lui ont fait confiance. Nous sommes nombreuses et nombreux, électrices et électeurs de cette liste ou pas, à être indignés par ce déni de démocratie, qui vole le vote de 22% des Ivryens, fera de cette élection une élection tronquée et qui va encore aggraver le désintérêt des citoyens pour la vie politique ».


Sébastien Bouillaud, candidat divers droite avec la liste Ivry autrement s’insurge face à cette alliance qu’il qualifie de « politique dans ce qu’elle a de plus abjecte » et de « trahison à tous les niveaux ».


Un polisarien à la rue? Claude Mangin vole à son secours auprès du maire, communiste, Philippe Bouyssou

Elle se nomme Claude Mangin, et elle est l’épouse de Naâma Asfari, l’un des égorgeurs de Gdeim Izik. Elle vient d’intercéder auprès du maire communiste d’Ivry-Sur-Seine. Sa requête auprès de l’élu? Obtenir un logement social à un activiste du Polisario.

Claude Mangin, épouse de Naâma Asfari, l’un des égorgeurs de Gdeim Izik, ne recule devant rien quand il s’agit de mener campagne contre le Maroc. Elle vient de se rappeler à notre souvenir depuis la commune d’Ivry-Sur-Seine, dans le Val-De-Marne, où elle réside. Claude Mangin, a fait des pieds et des mains pour «caser» la famille d’un activiste polisarien, le dénommé Mrizig Salek, en essayant de lui obtenir un logement social à loyer modéré financé en grande partie par le contribuable.

Pour ce faire, elle a approché le maire communiste (PCF) d’Ivry-Sur-Seine, Philippe Bouyssou, par le biais de Mehdi Mokrani (de père, Algérien et sa mère, bretonne) , l’un de ses adjoints d’origine algérienne et qui se charge des questions sociales. Et il ne s’agit pas de la première preuve de «l’engagement» de Claude Mangin en faveur de Mrizig Salek, son épouse Judit Ferreyra (de nationalité espagnole) et de leurs enfants. L’épouse de Naâma Asfari a logé la famille de l’activiste du Polisario pendant plusieurs mois dans un studio de 45 m2 lui appartenant dans la même commune.

Par la suite, elle fait jouer ses relations sur place pour leur obtenir un toit au foyer Coalia, grâce aux bons offices de la paroisse catholique. Sauf que la famille de Mrizig Salek doit déguerpir des lieux à la fin du mois de juillet prochain. Il y a donc urgence. Les liens entre Claude Mangin et Mrizig Salek ne semblent pas dater d’hier, mais remonter à plusieurs années. En novembre 2018, elle avait présenté le couple à une ONG dénommée «Espérentza» qui s’active au service des Roms essentiellement, dans la même commune d’Ivry-Sur-Seine. Mais gageons que Madame Asfari, qui préside l’ONG Action des chrétiens pour l’abolition de la torture (ACAT), une officine au service du tandem algéro-polisarien, finira par obtenir ce qu’elle demande pour ses protégés.


Philippe Bouyssou accompagné d’algériens, repartent sans avoir rencontré Sa majesté le Roi Mohammed VI

«Malgré 140 km, deux heures de route, l’écharpe tricolore et la plus forte détermination de l’élu communiste, personne n’a pris la peine de lui répondre à l’interphone. Il a donc quitté le château picard de Mohammed VI bredouille après une heure d’attente», écrit le journal.

L’édile espérait pourtant y être reçu pour plaider la cause de Claude Mangin, l’épouse l’un des égorgeurs de Gdeim Izik, dans le but d’obtenir un droit de visite pour son mari emprisonné au Maroc.

«J’ai décidé d’aller au bout de ma démarche en venant ici, espérant voir un attaché de presse, quelqu’un de la famille ou de l’entourage du roi», a dit Philippe Bouyssou, accompagné de ses adjoints Séverine Peter (PCF) et Mehdy Belabbas (d’origine algérienne), ainsi que la conseillère départementale Lamya Kirouani (PCF).

«Si l’on ne me répond toujours pas, je me présenterais à l’Elysée. J’estime que les rapports d’Emmanuel Macron et de Mohammed VI sont suffisamment bons pour faire avancer le dossier de notre concitoyenne», a-t-il ajouté.

Sabrina Sebaihi, une gamine d’Ivry

Ce « nouveau visage »? Une femme ; d’origine algérienne et de milieu modeste, un père ouvrier et une mère assistante maternelle, tous deux arrivés en France dans les années 70 ; un parcours universitaire mêlant santé et politiques publiques ; un engagement à la Croix-Rouge et dans une association de promotion de la culture sud-coréenne ; une entrée en politique centrée sur les questions de démocratie participative ; un intérêt marqué pour le féminisme et la lutte contre les discriminations.

En 2013, le groupe local d’EELV (Europe Ecologie Les Verts) lui propose une place sur la liste menée par le Front de gauche (FG). Le communiste Pierre Gosnat, qui la mène, frôle l’élection dès le premier tour, avec 49,69% des suffrages. Sabrina Sebaihi devient 11e adjointe et se voit confier la politique de la ville, la prévention sécurité, la médiation et l’accès au droit. Le chef de file des écologistes, Mehdy Belabbas, nommé 2e adjoint, hérite des finances.

Devenu maire en 2015 à la suite du décès de Pierre Gosnat, Philippe Bouyssou ne conçoit pas un affrontement au premier tour avec ses partenaires écologistes. « On aura gouverné la ville ensemble pendant six ans, porté des combats en commun, j’ai confié à EELV l’élaboration du budget municipal, ce qui n’est pas rien, observe-t-il. Et on partirait en ordre dispersé, histoire de se compter, pour se retrouver au deuxième tour ? Les gens ne le comprendraient pas. » Quant à Sabrina Sebaihi, « je l’adore, poursuit-il. C’est une gamine d’Ivry, elle vient d’un milieu populaire, elle habite la cité de l’Insurrection où j’ai grandi. C’est une adjointe en qui j’ai confiance. Elle a travaillé sur des politiques publiques importantes. Je m’entends très bien avec elle. On a eu des débats, dont on est sortis par la discussion et en s’enrichissant mutuellement. Je vais tout faire pour la convaincre de s’unir dès le premier tour et rassembler alors des forces de gauche qui ont vocation à avancer ensemble pour transformer la société. »

L’incinérateur de la discorde

Une option d’emblée rejetée par Sabrina Sebaihi, la ligne adoptée par EELV étant de « porter les couleurs de l’écologie en formant des listes autonomes partout où c’est possible ». «On ne se présente pas contre nos colistiers de 2014, en leur lançant : « Merci, au revoir, c’était super, mais on n’a plus rien à se dire », précise-t-elle. Simplement, notre projet, baptisé « Ivry demain», va plus vite et plus loin dans la transition écologique, un sujet transversal devant infuser toutes les politiques publiques, être, par conséquent, la base d’un projet municipal global. Ce qui a manqué dans ce mandat. » « D’avoir assumé l’exercice du pouvoir en partenariat ne signifie pas qu’au moment des élections suivantes, on soit interdit de présenter un regard spécifique », ajoute David Cormand.

Un maire « hégémonique »

« En phase » avec les politiques de solidarité (enfance, personnes âgées, etc.) conduites par la municipalité sortante, Sabrina Sebaihi égrène, a contrario, les sujets qui l’opposent à ses alliés communistes : « D’abord et avant tout, le projet de reconstruction de l’incinérateur d’Ivry Paris XIII, sur lequel nous sommes en profond désaccord. Mais aussi, des choix sur l’aménagement de la ZAC Ivry Confluences, certains aspects de la politique de mobilité et de logement ou encore la volonté de densifier le territoire. » Philippe Bouyssou ne reconnaît, lui, qu’une seule sérieuse pomme de discorde, le dossier de l’incinérateur. « Mais c’est un projet mené par l’Etat, ce n’est pas Ivry qui décide », rappelle-t-il. « Et ce point n’est pas rédhibitoire pour parvenir à un accord, se convainc-t-il. D’autant que j’ai bougé dans le débat, grâce aussi aux éclairages de mes amis écologistes. » Puis il déroule son propre projet pour la mandature à venir, dans lequel affleure une forte tonalité… environnementale.


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