Meurtre et Viol avec actes de torture et de barbarie de la jeune fille
Le vendredi dernier, Paris a été secouée par un drame qui a choqué tous les quartiers de la capitale. Il s’agit du meurtre de la petite Lola, une collégienne, âgée de 12 ans, dont le corps sans vie a été retrouvé enfermé dans une caisse dans le 19e arrondissement de Paris.
La petite Lola a disparu au moment où elle rentrait du collège, le trajet entre ce dernier et sa maison étant court, ses parents, gardiens de l’immeuble, ont très vite commencé à s’inquiéter de ne pas la voir rentrer, comme à ses habitudes.
Les images des caméras de surveillance ont dévoilé l’implication d’une femme d’une vingtaine d’année. Suite à cette vérification, les parents de Lola ont alerté la police de l’enlèvement de leur enfant. Quelques heures plus tard, soit les environs de 23 h 20, le corps de l’enfant a été découvert dans une caisse laissée dans la cour intérieure de la résidence.
Meurtre de Lola à Paris : la suspecte principale née en Algérie
Suite à l’autopsie pratiquée, samedi dernier, la collégienne est morte asphyxiée. La victime présente également des plaies au niveau de sa gorge. Les premiers éléments de l’enquête ont révélé la présence, au niveau de ses pieds, d’une sorte de post-its, dont lesquelles sont inscrits les chiffres « 0 » et « 1 ».
L’appel de Tebboune au meurtre des juifs... L’Algérie instrumentalise la question sacrée de la Palestine dans ses crises
Le soutien à la Palestine n’est toutefois qu’un expédient pour faire passer la pilule d’un antisémitisme abject, non pas contre les sionistes ou même les Israéliens, mais contre les juifs.
Au total, six personnes ont été placées en garde à vue dans le cadre de cette enquête menée par la Brigade criminelle de la police judiciaire parisienne. Quatre d’entre elles ont été libérées sans poursuite à ce stade.
Le weekend dernier, la thèse de trafic d’organe a été évoquée, mais très vite écartée. Une information judiciaire a été ouverte. Notamment pour meurtre sur mineure de moins de 15 ans, recel de cadavre et viol sur mineure avec acte de torture et de barbaries.
Par ailleurs, dans le cadre de cette affaire, quatre arrestations ont eu lieu. Notamment, celles concernant deux hommes dont un SDF et deux femmes âgées respectivement de 24 et 26 ans. Tous les quatre sont nés en Algérie, d’après le Parisien.
Deux Algériens devant la justice
Uniquement deux personnes ont été présentées, devant le juge d’instruction. Il s’agit de la principale suspecte qui apparait dans la vidéosurveillance, née en Algérie et âgée de 24 ans. Cette dernière a été interpelée samedi matin, à Bois-Colombes. Plusieurs personnes ont témoigné d’avoir vu cette suspecte en train de transporter la caisse où se trouvait le corps de Lola.
Le deuxième suspect qui sera également présenté devant le juge d’instruction, en vue d’une mise en examen. Est un ami de cette dernière, âgé d’une quarantaine d’année. Par ailleurs, le parquet a demandé de placer ces deux personnes en détention provisoire.
"Le gaz algérien n'a pas d'odeur"
"Pas un mot pour Lola. Parce que les suspects sont Algériens peut-être ?" Stéphane Ravier, Sénateur des Bouches-du-Rhône (13), Conseiller municipal de Marseille, Président de Marseille d" Abord
Sous prétexte de défendre la Palestine, l’armée algérienne nourrit un antisémitisme décomplexé et abominable.
«Tuez les juifs», la chanson douce de l’armée algérienne
Un petit bond dans le temps, cinq ans en arrière, date de réalisation de cette vidéo met à nu l’une des chansons qui galvanisent le mieux l’ardeur des soldats algériens.
On découvre ainsi dans ces images que le cri de motivation des troupes algériennes est intimement lié à l’appel au meurtre des Juifs. Dans cet exercice de marche ordonnée de la gendarmerie nationale algérienne, les gendarmes utilisent en effet le terme «alyahoud» (qui signifie en arabe les Juifs), pour se motiver et scandent des appels au meurtre:
«Oh arabes, fils d’arabes. Marchez et pointez vos armes vers les Juifs. Pour les tuer. Les abattre. Les écorcher…».
Comme le souligne pertinemment le journaliste de l’émission d’information, la sémantique employée est très importante. Car il ne s’agit pas ici des Israéliens (al israiliyine en arabe) ou des sionistes (assahayina), mais bien des Juifs (al yahoud). Et la différence est à ce point importante qu’on ne saurait se tromper de mots. C’est donc bien d’un antisémitisme, dans ce qu’il a produit de plus abject dans l’Histoire, dont est biberonnée l’armée algérienne.
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