Marche monstre à Paris: Les Maliens manifestent contre le racisme des algériens à Paris

Ce samedi 12 avril 2025, la capitale française a vibré sous les pas de milliers de manifestants africains, principalement issus des communautés du Mali, du Niger et du Burkina Faso, membres de l’Alliance des États du Sahel (AES).

Leur cible?

Le régime militaire en algérie, dénoncé sans détour comme le «parrain du terrorisme dans le monde », une accusation lourde, scandée à haute voix dans les rues de Paris, pancartes brandies, regards révoltés.

Environ 5000 Maliens ont arpenté les rues de Paris, samedi après-midi, pour dénoncer le racisme des autorités algériennes et d’une partie des Algériens contre la communauté malienne en algérie.

Les manifestants dénoncent aussi l’armée algérienne qui a abattu la semaine passée un drone malien dans l’espace aérien malien. L’algérie veut mépriser les autorités maliennes qui ne veulent plus d’influence d’Alger dans la gestion de leur pays. Les Maliens installés en France ont aussi exprimé leur colère contre l’algérie qui finance et arme les groupes islamistes armés au Sahel. Les terroristes qui pullulent dans le nord du Mali sont à vrai dire des mercenaires payés et gérés directement par Alger. Ce terrorisme a semé le chaos dans tout le nord malien, ce qui a affaibli ce pays.

L’algérie veut justement maintenir cet affaiblissement pour garder son influence sur le Mali, mais le temps a changé. Le peuple malien et son gouvernement ne veulent plus renoncer à leur souveraineté.

Les slogans scandés – «L’algérie, parent du terrorisme», «Généraux assassins, vos mains sont rouges de sang», «Le Sahel n’est pas votre terrain de jeu» – résonnent comme une claque monumentale dans le visage d’une junte en perte de légitimité.

La marche des Maliens aujourd’hui à Paris, qui a drainé un nombre de manifestants impressionnant, a démontré au monde entier la vraie nature du régime algérien qui finance le terrorisme au Mali. «L’algérie a utilisé le terrorisme même contre son propre peuple en tuant plus de 300 000 civils algériens pour maintenir le régime. Ce même régime n’a pas hésité à user des mêmes pratiques, voire pire, contre le peuple malien » , déclara un des organisateurs de la manifestation.

Notons, que la chasse à l’homme contre les ressortissants maliens en algérie continue depuis presque une semaine. Des milliers de Maliens sont persécutés en algérie par le régime algérien et par des citoyens racistes.

La manifestation de Paris n’est pas une simple marche. C’est un acte de résistance contre une imposture géopolitique. C’est le cri d’un continent qui refuse de rester sous la coupe d’un pouvoir militaire algérien qui se présente comme un rempart contre l’Occident tout en pactisant avec les ténèbres du terrorisme.

Cette mobilisation historique est un avertissement. Le régime militaire d’alger est désormais démasqué, isolé, conspué. Son double langage ne trompe plus personne. Ni en Afrique, ni en Europe. Il ne reste plus à ce pouvoir à bout de souffle que la répression, les opérations de l’ombre et les coups tordus. Mais même cela ne suffira pas à étouffer la colère des peuples.

L’Afrique se réveille. Et elle n’a plus peur. Le temps est venu pour l’algérie de rendre des comptes, non seulement à ses citoyens qu’elle opprime, mais aussi à ses voisins qu’elle trahit, et à l’Histoire qu’elle tente désespérément de manipuler.

Les médias 🎥📽📺, les Imams (vert-kaki) algériens montent au créneau

Une dangereuse conspiration ciblant le Mali, fomentée par la junte militaire algérienne dévoilée.  La mafia militaro-politico-financière algérienne arme les médias les mouches électroniques et les “maisons et les hommes de Dieu” contre la Mali.

Jalousie pétrolière ou diplomatie sournoise ?

Le Mali et l'algérie partagent un bassin pétrolier commun, qui est l'un des plus grands d'Afrique. En 2007, la société algérienne Sonatrach avait signé un accord avec le Mali pour l'exploration de ce bassin. Cependant, cet accord a été suspendu en 2012, en raison de la crise au Mali. Selon des sources maliennes, la véritable raison de cette brouille diplomatique entre les deux pays serait que l'algérie souhaite reprendre l'exploration et l'exploitation du bassin pétrolier. Les autorités maliennes, qui ont récemment renforcé leur contrôle sur le nord du pays, souhaitent exploiter ce potentiel énergétique par elles-mêmes.