Mali: « l’armée algérienne responsable des Exactions À Nia Ouro, dans la région de Mopti… » source sécuritaire…
L’armée algérienne n’a pas été cité par les médias français.
Des greniers réduits en cendres, des motos détruites et des corps enterrés. À Nia Ouro, dans la région de Mopti, au centre du Mali, la journée du 4 janvier 2022 a tourné au désastre. Récit de ces heures de terreur à l’aide de vidéos vérifiées, d’images satellites et en s’appuyant sur les témoignages qui accusent l’armée malienne d’être responsable de ces exactions. Une source sécuritaire algérienne confirme la participation de l’armée algérienne à ces exactions….
Selon Said Bensdira, (Agent du DRS [Département du renseignement et de la sécurité]) « L’armée algérienne a mené une opération spéciale au Sahel et au Sahara«
Selon le témoignage, récolté sur le terrain par un défenseur des droits de l’homme, trois hommes se sont chargés de l’interrogatoire : un « homme blanc parlant une langue inconnue », ainsi qu’un militaire et un interprète maliens.
Depuis le début du mois de janvier, des dizaines de civils auraient été tuées par les forces de l’ordre et leurs supplétifs russes. L’ONU a ouvert une enquête sur l’un de ces massacres. L’ONG Human Rights Watch (HRW) a également établi que les forces armées maliennes ont commis de nombreuses atrocités.
«Une chaise, des câbles électriques, une simulation d’exécution et à chaque acte de torture, la même question, rapporte Le Monde Afrique : « Où sont les terroristes ? » « Je ne sais pas », répète inlassablement le jeune éleveur peul aux soldats « blancs et noirs » qui l’ont, selon lui, détenu et torturé, le mois dernier, dans un camp de l’armée malienne situé dans le cercle de Niono, au centre du pays. Selon son témoignage, récolté sur le terrain par un défenseur des droits de l’homme, trois hommes se sont chargés de l’interrogatoire : un « homme blanc parlant une langue inconnue », ainsi qu’un militaire et un interprète maliens. (…)
Selon nos informations, poursuit Le Monde Afrique, des paramilitaires de la société de sécurité privée russe Wagner se sont installés dans ce camp à partir de la fin janvier et plusieurs sources identifient les « soldats blancs » cités comme des mercenaires du groupe. (…) Au total, précise encore le journal, plus d’une dizaine de civils disent avoir été torturés par des Fama et des supplétifs étrangers. « Une quinzaine de personnes sont décédées des suites des tortures perpétrées au camp de Diabaly », soutient une source humanitaire internationale. « Ce ne sont pas des actes isolés, ni aléatoires. Ce camp est devenu un centre de torture où toute un système de sévices a été mis en place ». Selon ce même acteur, la plupart de ces victimes présumées seraient issues de l’ethnie peule, que certains soldats accusent depuis des années de complicité avec les terroristes.»
Ces informations du Monde Afrique se recoupent avec l’enquête menée par RFI.
Les autorités de Bamako dénoncent une «campagne d’information visant à discréditer les Fama»
Côté malien, les autorités de Bamako dénoncent une «campagne d’information visant à discréditer les FAMa», les forces armées maliennes. C’est ce que rapporte notamment Malijet. Malijet qui affirme que les cadavres retrouvés, dont certains avaient les mains liées dans le dos, sont ceux de jihadistes, victimes d’exactions de la part d’autres jihadistes. Malijet qui dénonce «une coordination étroite entre les militants de la Katiba Macina et les organisations pro-occidentales.» Une coordination qui «se manifeste dans la rhétorique de discrédit des Fama face à la communauté internationale. Le fait même que des médias français aient été les premiers à diffuser ces informations non vérifiées indique indirectement l’intérêt de la France à discréditer l’armée malienne, affirme encore Malijet, et à retarder au maximum son retrait du pays, voire à rester ?»
Sous couvert de journalisme, Bensdira espionnait et espionne activement syndicats d’étudiants universitaires, collègues journalistes, politiciens, dirigeants communautaires, mais également des gens ordinaires. C’est son ex-compagnon au DRS, Karim Moulai, qui le révèle en 2010, alors qu’il était demandeur d’asile en Ecosse, à la télévision écossaise. Tous les moyens sont utilisés pour infiltrer différentes cibles des services: chantage, corruption, intimidation etc.
Possession d’armes à feu et des munitions de guerre, chantage, escroquerie, diffamation, arnaque, falsification et usage de faux, et blanchiment d’argent…
En janvier 2020, et dans le sillage du hirak, le juge d’instruction du tribunal de Bir Mourad Rais (Alger) avait lancé un mandat d’arrêt international contre Said Bensdira, cet agitateur en fuite depuis des années à Londres.
Ce mandat d’arrêt a été lancé suite au démantèlement par les services de sécurité algérienne d’un réseau spécialisé dans le chantage et l’escroquerie que dirigeait Bensedira. Ce réseau comprend deux hommes d’affaires, les frères S.D et S.T et un militaire à la retraite de grade caporal qui ont été arrêtés et placé en détention provisoire à la prison d’El Harrach.
Les trois mis en cause sont poursuivis pour « possession d’armes à feu et des munitions de guerre, chantage, escroquerie, diffamation, arnaque, falsification et usage de faux, et blanchiment d’argent».
Pour les deux hommes d’affaires, ils sont aussi poursuivis pour « non dénonciation de crime et octroie d’indu avantage pour inciter des fonctionnaires à exploiter leur influence et verser de l’argent à Said Bensedira », selon des sources sécuritaires.
Le démantèlement du réseau de Bensedira a permis aux services de sécurité de saisir d’ « importantes sommes d’argent en dinar et en devise et un véhicule de luxe« .
Suite à des poursuites en justice qui l’atteignent comme celle de 1998, par des citoyens lambda pour fraude, menaces de mort, dont certaines pour ses besoins personnels comme pour contraindre cet Algérien à lui céder un terrain situé à Tipaza, le DRS l’exfiltre en 1999 à Mascate, capitale d’Oman. Il bénéficiera de la couverture de consultant média dans un organe du Conseil de coopération du Golfe.
Se réclamant de la corporation des journalistes qui a été forcé à l’exil, et jouant sur deux tableaux pour s’attirer des sympathies du public, il annoncera bien plus tard que le principal objectif de sa venue à Londres était d’œuvrer à l’unification des mouvements d’opposition politique algériens. En réalité, il est en guerre contre la plupart des personnalités de l’opposition. Dès lors, Bensedira sévira sur les réseaux sociaux. Il menace à qui veut l’entendre de révéler des données privées sur des individus, certifiant détenir tous les « dossiers » sur un large panel qui inclut aussi bien des citoyens algériens, des ministres, Tebboune, le Président de la République.
Appel au génocide… Appel à raser la Kabylie
Bensdira appelle à tuer 30 millions d’Algériens et à transformer leurs cadavres en savon..
Les militants politiques, les activistes et les défenseurs des droits humains ont dénoncé l’impunité dont jouit Saïd Bensdira depuis son asile en Angleterre. Certains ont lancé une pétition pour son jugement et d’autres ont entrepris des démarches pour déposer plainte contre lui. Ces réactions font suite à l’appel du blogueur à raser la Kabylie, suite aux marches du 20 avril.
Cet appel haineux, qui n’est pas le premier du genre, intervient dans une période où la Kabylie commémore l’assassinat des 128 jeunes tués par la Gendarmerie nationale, en 2001. A l’occasion, Saïd Bensdira a appelé, dans une vidéo sur sa page Facebook, à raser la Kabylie. Cet appel au génocide, qui n’est pas le premier du genre, a secoué la toile.
L’Escadron de la mort: La liste des compagnons de Hadad Abdelkader dit Nacer dit « El-Djen » :
La liste des criminels du DSCA; cette liste ne compte que les plus connus et n’est pas définitive:
Colonel Abdelhamid Hocine dit Hocine Boulahya, originaire de Larbaa-Nathiraten, directeur régional de la DSCA à Constantine où il torture toujours ! Hocine était directeur du service recherche au CPMI Benaknoun avant sa fermeture. Hocine s’est illustré par sa pénétration du réseau FIDA grâce entre autres aux agents: Merzouki Yacine dit Yacine le Kurde qui était membre du Bureau du FIS à Constantine, Saïd Bensdira . Après son arrestation par l’ex. directeur régional Ait ourabi Abdelkader dit Hacene (actuellement responsable de la lutte anti-terroriste au DRS et actuellement général), Merzouki Yacine dit le Kurde a accepté de collaborer et devient un agent très actif au service du DRS ; ses crimes sont innombrables…. !
Said Bensedira, réside actuellement à Londres; membre supplétif de l’escadron de la mort du CPMI, connu pour sa participation dans le massacre de Bentalha (assassinats, violes, et pillage…).
Sous couvert de journalisme, [Pourtant aucun article de presse ou reportage ne peut être retrouvé à son nom dans les principaux journaux algériens de l’époque]. Bensdira espionnait activement syndicats d’étudiants universitaires, collègues journalistes, politiciens, dirigeants communautaires, mais également des gens ordinaires. C’est son ex-compagnon au DRS, Karim Moulai, qui le révèle en 2010, alors qu’il était demandeur d’asile en Ecosse, à la télévision écossaise. Tous les moyens sont utilisés pour infiltrer différentes cibles des services: chantage, corruption, intimidation etc.
Bensdira visiblement maîtrise l’art de la manipulation en livrant d’abord des informations connues de tout le monde sauf pour des uns qui pensent « précieuses » sur les personnes impliquées dans les affaires de corruption, et en jouant ensuite habilement sur les émotions de son public. Avec lui, beaucoup pensent apprendre des choses qui relevaient jusque-là du secret d’Etat.
Marzouki yassine, dit Yacine le Kurde, de Jijel, responsable du:
Meurtre de deux étudiants de l’université Bab Ezzouar (Hamza Muhammad et Badran Muhammad) a été perpétré.
L’exécution et le meurtre de professeurs d’université,
L’assassinat du journaliste de la télévision publique RTA, Ammar, a été perpétré.
Il a commis l’assassinat du journaliste Ismail Yisfeh.
Responsable de l’inhumation dans plusieurs fosses communes.
En plus de ces agents Hocine réussit à recruter comme agent le nommé Guechi Abdellah originaire de Belcourt et Ben Zaghiba El-Hachemi dit le « Rougi » originaire de Ain Naaja. Ces deux agents ont été primordiaux pour Hocine et Tartague puisque ils étaient des Moudjahidines au sein des rangs du GIA tout le temps même pendant les renommés massacres….. !
Menassria Fathi dit Sami, originaire de Ouanza Tébessa et réside à Alger ; membre de l’escadron de la mort du CPMI.
Brahimi Louanes dit Mourad, originaire de Larbaa-Nathiraten et habite Meissonnier Alger ; membre de l’escadron de la mort du CPMI.
Hadad AbdelKader dit Nacer el Djen, membre de l’escadron de la mort du CPMI, certainement le plus sanguinaire et surnommé l’effaceur aussi comme déjà cité.
Barhou Ahmed dit Khaled Douchka originaire de Nedroma et habitant Ain Naaja ; membre de l’escadron de la mort du CPMI.
Boutemine Omar dit Omar originaire de Skikda et Habitant Chevalley Alger ; membre de l’escadron de la mort du CPMI.
Younes Zahir, originaire de BirKhadem et Habitant Chevalley Alger ; membre de l’escadron de la mort du CPMI.
Meziani Mohamed, originaire de Tlemcen ; membre de l’escadron de la mort du CPMI.
Tazir Mounir dit Zoubir, originaire d’Alger Hydra ; membre de l’escadron de la mort du CPMI, actuellement à Gouraya, Tipaza chargé de sécurité.
Messaoudi Fathi dit Lyés, originaire de Belcourt membre de l’escadron de la mort du CPMI ; il était entre autres chargé de la presse.
Kalem (Ghanem) Abdelkader dit Abbes, Habitant Cheraga et Zeralda ; membre de l’escadron de la mort du CPMI.
Taboule El-Hajj, originaire de Reghaia ; membre de l’escadron de la mort du CPMI.
Kerrouche Mohamed dit Ramzi, habitant Chevalley ; membre de l’escadron de la mort du CPMI.
Bouchbat Moussa dit Samir, habitant Hydra Alger ; membre de l’escadron de la mort du CPMI.
Raoui Abdelrazak et son frère Tayeb, originaire de Cheraga ; membres de l’escadron de la mort du CPMI.
Souahi Razkine dit Mouadh, originaire de Tébessa ; membre de l’escadron de la mort du CPMI.
Medkour Brahim dit Habib, originaire de Batna ; membre de l’escadron de la mort du CPMI.
Tous ces officiers supérieurs, officiers et supplétifs… étaient sous l’autorité de Abdelhamid Hocine dit Hocine Boulahya qui était lui sous l’autorité de Tartague Bachir. Les crimes liés à ces énergumènes sont impressionnant et certainement injustifiable.
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