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Libye: Mohamed Aujjar, nommé président de la Mission d’enquête indépendante de l’ONU sur la Libye.

Mohamed Aujjar, nommé président de la Mission d’enquête indépendante de l’ONU sur la Libye.

La mission d’enquête indépendante de l’ONU sur la Libye sera présidée par l’ancien ministre et diplomate, Mohamed Aujjar, a indiqué mercredi un communiqué du Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l’homme.

La mission qui comprend, outre Aujjar, Tracy Robinson et Chaloka Beyani, a été créée par le Conseil des droits de l’homme le 22 juin 2020, pour documenter les allégations de violations du droit international des droits de l’homme et du droit international humanitaire par toutes les parties en Libye depuis 2016, précise le communiqué.

La Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l’homme, Michelle Bachelet, a relevé dans ce sens la détérioration de la situation sécuritaire en Libye et l’absence d’un système judiciaire fonctionnel, mettant l’accent sur l’importance du travail de l’équipe d’experts indépendants pour documenter les exactions et les violations des droits de l’homme.

«Cet organe d’experts servira de mécanisme essentiel pour lutter efficacement contre l’impunité généralisée pour les violations des droits de l’homme et les abus commis, et peut également servir de moyen de dissuasion pour prévenir de nouvelles violations et contribuer à la paix et à la stabilité dans le pays», a déclaré Bachelet, citée dans le communiqué.

Les exécutions sommaires, la torture et les mauvais traitements, la violence sexiste, y compris la violence sexuelle liée aux conflits, les enlèvements, les disparitions forcées, ainsi que l’incitation à la violence sur les réseaux sociaux, continuent d’être commis dans un climat d’impunité totale en Libye, a-t-elle fait observer.

M. Mohamed Aujjar, né le 18 mars 1959 à Targuist (province d’Al Hoceima).

Titulaire d’une licence en Droit à l’Université Mohammed 1er d’Oujda, M. Aujjar a travaillé au quotidien “Al Mithaq Al Watani” en tant que journaliste et directeur.

En mars 1998, il a été nommé par feu SM Hassan II ministre chargé des Droits de l’Homme, avant d’être nommé par SM le Roi Mohammed VI dans le même poste, le 6 septembre 2000.

Le 7 novembre 2002, M. Aujjar a été nommé par le Souverain ministre chargé des Droits de l’Homme dans le gouvernement de Driss Jettou, poste qu’il a occupé jusqu’au 8 juin 2004.

Le 14 octobre 2014, il a été nommé par SM le Roi ambassadeur représentant permanent du Royaume auprès de l’Office des Nation Unies à Genève.

Marié et père de trois enfants, M. Aujjar a été nommé par SM le Roi Mohammed VI, ministre de la Justice, le 5 avril 2017.

Avce, MAP

Un titre tant convoité par la mafia politico-militaro-financière algérienne

En Mai 2020, le « président » Abdelmadjid Tebboune sur le conflit libyen : «Rien ne se fera sans l’Algérie en Libye»…Quelle arrogance!!!

«L’Algérie était proche d’une solution»

Dans le même ordre d’idées, le chef de l’Etat a révélé que l’Algérie était proche d’une solution à la crise mais que certaines parties, sans dire lesquelles, ont sabordé sa démarche. «Toutes les tribus libyennes sont favorables à une solution algérienne.

Nous étions très proches d’une solution à la crise libyenne, mais on ne nous a pas laissé faire car, pour certains, si l’Algérie parvenait à régler la crise libyenne cela la propulserait au-devant de la scène internationale (…) ce qu’ils ne veulent pas», a-t-il poursuivi.

Il a rappelé également le refus de la désignation du diplomate algérien Ramtane Lamamra en tant qu’envoyé pour la Libye, estimant qu’il aurait pu parvenir à un règlement de la crise libyenne.

Libye: Ramtane Lamamra, s’est vu opposer un niet catégorique de la part des Américains

Après avoir été rejeté par les Américains en faisant barrage à sa désignation. Ramtane Lamamra, membre de la mafia militaro-politico-financière algérienne, aurait trouvé du travail au SIPRI

Il y a cinq mois environs, La nomination de l’ex-ministre algérien des Affaires étrangères (2013-2017), (enfant du sérail) semblait pourtant acquise, l’ancien chef de la diplomatie algérienne, Ramtane Lamamra, s’est vu opposer un niet catégorique de la part des Américains. La presse algérienne s’en mêle et accuse, pêle-mêle, les Emirats, l’Egypte et le Maroc.


Mercredi 8 avril 2020, à l’occasion d’une réunion à huis clos sur la Libye, une responsable de l’ONU a annoncé au Conseil de sécurité qu’Antonio Guterres avait lancé des recherches pour trouver quelqu’un d’autre, a indiqué une autre source. Le secrétariat « travaille d’arrache-pied pour faire une proposition », a dit cette source sous couvert d’anonymat. Selon l’AFP Aucun commentaire n’a pu être obtenu auprès de la mission américaine auprès de l’ONU sur les raisons ayant motivé son opposition à l’ex-ministre algérien.

L’ex ministre des affaires étrangères, Ramtane Lamamra, blanchisseur de la mafia militaro-politico-financière algérienne aurait trouvé un poste au conseil d’administration de l’Institut international de recherche sur la paix de Stockholm SIPRI (Stockholm International Peace Research Institute), pour embellir l’image des généraux algériens et de leur système mafieux  et faire la promotion de ses parrains au détriment de l’Algérie et de son peuple.

Ladite nomination fait perdre à SIPRI toute crédibilité vis-à-vis du monde

En effet, Ramtane Lamamra à soutenu et soutien la charrette contre son propre peuple ne peut prétendre aller défendre un quelconque règlement de conflit chez un autre peuple sinon par le soutien du vizir en place contre son peuple. Cet homme est un membre actif du système qui a spolié lingerie, détruit les rêves des algériens et dépecé la lingerie de ses aïeux. Lui offrir un poste dans une structure hors Algérie, c’est donner un espoir de survie et une légitimité au sérail et à la bande mafieuse qui gouverne l’Algérie.

L’Institut international de recherche sur la paix de Stockholm (en anglais, Stockholm International Peace Research Institute, SIPRI) est un institut d’études stratégiques fondé le 6 mai 1966 pour célébrer cent cinquante ans de paix ininterrompue en Suède. Sa tâche est d’effectuer des études scientifiques au sujet de l’importance des conflits et de la coopération pour la paix mondiale, dans le but de contribuer à la compréhension des conditions nécessaires à la résolution pacifique des conflits internationaux et à une paix durable. À travers ses recherches, le Sipri rend accessibles des informations sur le développement de l’armement, les dépenses militaires, la production et le marché de l’armement, le désarmement, la maîtrise des armements, les conflits, la prévention des conflits et la sécurité.


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