Le journaliste et ex-détenu d’opinion Khaled Drareni, a partagé via un tweet sur son compte Twitter, qu’il fait encore l’objet d’une interdiction de sortie du territoire nationale (ISTN), donc il ne peut pas quitter le territoire algérien.
Le journaliste ne semblait pas s’attendre à cette décision dans la mesure où cette interdiction, prise à sen encontre en 2020, devait être théoriquement levée en vertu de la Loi.
Khaled Drareni devait se rendre à Madrid, en Espagne, pour recevoir le prix “Anoch Tuve un ceno” de la liberté de la presse qui lui a été décerné par l’organisation espagnole “committed optimists awards”.
Le journaliste Khaled Drareni, était placé sous contrôle judiciaire avec interdiction de quitter le territoire national (ISTN), son passeport lui fut retiré, avait déclaré à Radio M Post, Abdelghani Badi l’un des avocats de la défense. Rappelant aussi qu’il avait fait objet de cette dernière en mars 2020, mais que cette ISTN continue d’être appliquée en mai 2023.
Khaled Drareni, représentant de Reporters sans frontières (RSF) pour l'Afrique du Nord est lauréat du prix « Anoche tuve un seño » de la liberté de la presse, décerné par l’organisation espagnole Committed optimists awards pour cette année 2023.
L'ISTN est toujours en cours
Une interdiction de sortie du territoire national (ISTN), m’empêche d’aller à Madrid ce 8 mai pour recevoir le prix « Anoche tuve un seño » de la liberté de la presse qui m’a été décerné par l’organisation espagnole Committed optimists awards. La loi dispose qu’une ISTN a une durée de 3 mois, renouvelable une fois. Prise à mon encontre en mars 2020 , elle continue d’être appliquée en mai 2023. Mes excuses aux organisateurs et à bientôt.
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