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Les similitudes entre le Syndrome de Stockholm et le Syndrome du Bouc Noir


Le Syndrome du Bouc Noir ..... On revient qu'on s'y habitue

Les détenues à la Direction générale de la Sécurité intérieure (DGSI), à Ben Aknoun «Centre Abla», sur les hauteurs Alger. se plaignent de violences sexuelles, notamment de viols, et d’autres formes de torture et de mauvais traitements infligées par des mâles violeurs en puissance..

Un viol en bande organisée auxquels se livrent des Boucs Noirs, selon notre confrère, Amir DZ, de son vrai nom Amir Boukhors, journaliste d'investigation Amir dz.

Ces détenues ont aussi dénoncé d’autres types de torture, notamment des passages à tabac, et une privation extrême de nourriture et d’eau pendant plusieurs jours.

Le Syndrome de Stockholm

Le Syndrome de Stockholm, désigne la propension des otages ayant partagé longtemps la vie de leur geôlier à sympathiser avec eux et à adopter leur point de vue. L’histoire du syndrome remonte à un hold-up dans une banque commis à Stockholm en 1973 par deux évadés de prison qui prennent en otage quatre employés. Après six jours de négociation, ils libèrent les otages qui vont s’interposer entre les forces de l’ordre et leurs ravisseurs, qu’ils iront visiter par la suite en prison.

Il s’agit d’un phénomène paradoxal de fraternisation entre agresseurs et agressés, comme on l’a rencontré lors de la Première Guerre mondiale entre soldats français et allemands, justifiant le dicton qu’à la guerre on «devrait toujours tuer les gens avant de les connaître».

On connaît l’attirance des contraires, qui entre dans le cadre d’une relation complémentaire fondée sur la maximalisation de la différence. Par la promiscuité, l’intensité et la gravité de la situation, une identification mutuelle peut se produire à partir de grandes différences. Par extension, on a utilisé le syndrome de Stockholm pour décrire la situation dans laquelle un conjoint violent utilise des contraintes et le chantage affectif, en plus de ses menaces et d’agressions physiques, pour maintenir sa femme dans un état de dépendance.

Le syndrome de Stockholm est caractérisé par:
  1. le développement d’un sentiment de confiance des otages vis-à-vis de leurs ravisseurs, dans la mesure où ces derniers arrivent à justifier leur acte;

  2. la naissance d’un sentiment positif des ravisseurs envers leurs otages

  3. l’apparition d’une hostilité des victimes envers les forces de l’ordre et les défenseurs des droits de l(homme.

Cécile Leroux, avait brisé le silence via une vidéo

Dans une vidéo postée, sur les réseaux sociaux et authentifiée auprès de ses avocats, Cécile Leroux s’est dit “très inquiète” de la détérioration de la santé de son mari, souffrant d’un début de cancer de la prostate et d’un kyste de 19 mm au foie à potentiel malin, selon la défense.

Jointe au téléphone, Cécile Leroux, très affectée, raconte son désarroi : “Cela devient de plus en plus intenable. La santé de mon époux m’inquiète. Je prie les autorités algériennes de le libérer pour se faire soigner. Son état de santé est devenu critique avec un début de cancer, un kyste au foie et des problèmes respiratoires”, dit-elle, ajoutant s’en remettre aux autorités algériennes pour se pencher sur son cas.

Le Syndrome du Bouc Noir... ​«Sansalonnade» ratée de Nekkaz à Marrakech

En cette mi-ramadan 2025, les marocains qui ne le connaissaient pas encore, viennent de faire connaissance avec un drôle d’oiseau. Il s’agit du guignolesque Rachid Nekkaz, ex vrai-faux candidat à la présidence de l’Algérie en 2014 et en 2019, rendu célèbre à partir des années 2010 par ses mises en scène d’acquittement d’amendes au profit des femmes verbalisées en France pour port de la Burka, puis par sa vraie-fausse condamnation à cinq années de prison, sanction qu’il ne purgera malheureusement pas jusqu’au bout. Car si tel avait été le cas, on aurait au moins pu faire l’économie d’une basse et absurde polémique et des présentes lignes dont elle a motivé l’écriture. Mais la polémique a bien eu lieu.

Armé de toute l’effronterie et de la mauvaise foi qui caractérisent ses commanditaires actuels qui ne sont autres que ses anciens géôliers du régime des généraux algériens avec lesquels il semble s’être désormais acoquiné, le Nekkaz, en éternel apprenti provocateur qu’il est, a jugé bon de se pointer au beau milieu du Royaume du Maroc pour en insulter le passé, le présent et l’avenir. Du haut de sa cinquantaine de kilos tout mouillé, équipé de son smartphone et de sa voix nasillarde et haut perchée qui écorche les âmes autant que les tympans, Nekkaz a tenté la prouesse de rafler dans le même sac de l’appropriation culturelle et politique dont ses congénères sont devenus les experts, la paternité historique de la Koutoubia et la souveraineté partagée sur le Sahara.

Les assertions de Nekkaz qui ne valent que leur pesant de postillons, ne méritent bien évidemment ni réponse, ni offuscation. Preuve en est qu’elles ne lui ont values qu’une simple et sage reconduction aux frontières, à mille lieues de la bastonnade qu’il rêvait et méritait de se faire administrer par d’impulsifs concitoyens, et encore moins l’embastillement dans l’une ou l’autre de nos prisons pour crime de lèse-souveraineté qu’il escomptait se faire infliger par nos autorités. Car tel était le but ultime de la manœuvre imaginée par ses commanditaires : susciter une réaction impulsive de nos concitoyens et surtout de nos autorités pour les piéger dans une situation analogue à celle dans laquelle le régime algérien est empêtré depuis l’emprisonnement de l’écrivain franco-algérien Boualem Sansal pour ses propos sur la marocanité du Sahara et de l’Ouest algérien. Une manœuvre qui a fait pschitt. Mais une manœuvre qui ne sera certainement pas la dernière, au fur et à mesure que l’on s’approchera de l’organisation de la prochaine Coupe d’Afrique.

La Plume (Khabarji), l’Épée et la Matraque aux premières loges...Il a été dit:
  • Il y a plusieurs centaines d'années que la plume serait toujours plus forte que l'épée.

  • Nous pouvons dire aujourd'hui que la plume sera toujours forte que la matraque...

Khaled Drareni, représentant de RSF interdit de quitter le territoire algérien

Le journaliste et ex-détenu d’opinion Khaled Drareni, a partagé via un tweet sur son compte Twitter, qu’il fait encore l’objet d’une interdiction de sortie du territoire nationale (ISTN), donc il ne peut pas quitter le territoire algérien.

Le journaliste ne semblait pas s’attendre à cette décision dans la mesure où cette interdiction, prise à sen encontre en 2020, devait être théoriquement levée en vertu de la Loi.

Khaled Drareni devait se rendre à Madrid, en Espagne, pour recevoir le prix “Anoch Tuve un ceno” de la liberté de la presse qui lui a été décerné par l’organisation espagnole “committed optimists awards”.

Le journaliste Khaled Drareni, était placé sous contrôle judiciaire avec interdiction de quitter le territoire national (ISTN), son passeport lui fut retiré, avait déclaré à Radio M Post, Abdelghani Badi l’un des avocats de la défense. Rappelant aussi qu’il avait fait objet de cette dernière en mars 2020, mais que cette ISTN continue d’être appliquée en mai 2023.

Khaled Drareni, représentant de Reporters sans frontières (RSF) pour l'Afrique du Nord est lauréat du prix « Anoche tuve un seño » de la liberté de la presse, décerné par l’organisation espagnole Committed optimists awards pour cette année 2023.

L'ISTN est toujours en cours

Une interdiction de sortie du territoire national (ISTN), m’empêche d’aller à Madrid ce 8 mai pour recevoir le prix « Anoche tuve un seño » de la liberté de la presse qui m’a été décerné par l’organisation espagnole Committed optimists awards. La loi dispose qu’une ISTN a une durée de 3 mois, renouvelable une fois. Prise à mon encontre en mars 2020 , elle continue d’être appliquée en mai 2023. Mes excuses aux organisateurs et à bientôt.

Quand Abdelmadjid Tebboune et Ammar Belhimer se contredisent! Entre carte de presse et légitimité

«Khaled Drareni n’a jamais été détenteur de la carte de presse professionnelle prévue par l’article76 de la loi organique 12-05 relative à l’information du 12 janvier 2012.», a osé le ministre de la communication, dans un communiqué diffusé, ce jeudi 13 août, sur le site officiel de son département. Il enchaîne: «Aucun organe ni institution indépendante ayant diffusé ses couvertures et commentaires n’a sollicité des autorités compétentes la délivrance de l’accréditation préalable requise à l’effet de l’employer, en application de l’article 81 de la loi organique (12-05).»

Ammar Belhimer a ainsi poursuivi son matraquage contre le désormais «ennemi numéro Un» du pouvoir, Khaled Drareni, allant jusqu’à le déposséder de son statut de Journaliste.

Ammar Belhimer et l’échec des révolutions arabes 19h Info de Khaled Drareni
Abdelmajid Tebboune Ministre de l’Habitat dans le 19h INFO de Khaled Drareni

Au delà du fait qu’il s’exprime en sa qualité de ministre de la communication, la ficelle Tebounienne est un peu grosse. Elle vise à faire croire que l’indignation et la colère de l’opinion publique au lendemain de la condamnation de Khaled Drareni à trois ans de prison, est injustifiée, voire manipulée à des fins politiciennes ou pire, à décrédibiliser l’instance judiciaire, mais à faire croire surtout que Khaled Drareni n’est pas en prison en tant que journaliste.

« Les voies de recours, cadre idoine et exclusif d’un traitement juste du dossier, permettent à la défense de faire appel de la décision prononcée en première instance, loin de toute ingérence, de toute politisation et de toute manipulation d’une affaire qui, selon les qualifications retenues des faits, ne relève pas du libre exercice du métier de journaliste », déclare le ministre.

Piètre manœuvre, car les faits sont là: Depuis son intronisation, Abdelmadjid Tebboune n’a eu de cesse de susciter des réactions hostiles au sein de la corporation, quelques médias indépendants s’entend. Lui qui disait vouloir rompre avec les pratiques de son prédécesseur le président déchu, Abdelaziz Bouteflika, provoqua l’effet contraire. Il creusera, davantage, le fossé avec les journalistes lors de sa deuxième rencontre avec ces derniers, le 2 mai 2020. Ce jour là, il s’en prend, sans le nommer, à Khaled Drareni en le qualifiant de «Khabardji (espion).»

« Un journaliste qui a été interrogé, pour ensuite aller dans une ambassade pour leur donner un point sur la situation » , a-t-il affirmé, avant d’enchaîner : « Il a donné les noms des personnes qui l’ont interrogé. Vous n’êtes pas loin de l’informateur. C’est de notre droit de défendre notre souveraineté ». Ce jour là, le «magistrat suprême » pèsera de tout son poids sur le pouvoir judiciaire, pour que Khaled Drareni- à qui il reconnaissait son statut de journaliste, pourtant- soit lourdement condamné.

Le SOS de la mère du jeune hirakiste Saïd Chetouane, qui a accusé la police politique de lui avoir fait subir des « sévices»... Jamais sans mon fils

C’est un véritable cri de détresse que lance la mère de l’adolescent Saïd Chetouane, arrêté dernièrement et placé dans un centre spécialisé pour la protection des enfants. Dans une vidéo partagée sur les réseaux sociaux, la maman implore les responsables concernés de libérer son fils.

 «Mon fils est en train de souffrir dans ce centre. Il ne mange pas et il ne boit pas. Ayez peur de Dieu, libérez-le. Il n’a rien fait. Mon fils n’a fait que participer au Hirak à l’instar d’autres jeunes. Et ce n’est pas un crime. Pourquoi me l’avoir retiré ? C’est de la Hogra [le dédain, le mépris, l’oppression, l’injustice ou l’excès de pouvoir dont les autorités font preuve en toute impunité à l’égard de la population qu’elles gouvernent] », dénonce, en sanglot, cette mère. Elle ajoute qu’elle fera tout pour « récupérer son fils dans les plus brefs délais ».

Il faut dire que la vidéo en question, postée ce samedi 1er mai, a beaucoup ému les internautes qui sont nombreux à apporter leur soutien à la mère de famille déchi

rée. Le vice-président de la Ligue algérienne pour la défense des droits de l’homme (LADDH), Saïd Salhi, a également réagi à l’appel de la mère de Saïd Chetouane.

 « Rendez l’enfant à sa maman ! »

« L’enfant Saïd Chetouane souffre, placé dans un centre pour enfance à Bordj Bou Arreridj, séparé et éloigné contre son gré de sa famille, son état de santé nous inquiète », écrit Salhi, ce samedi, sur sa page Facebook. « La LADDH interpelle en urgence le juge des mineurs à reconsidérer sa décision, l’enfant souffre, la maman doublement, l’intérêt supérieur de l’enfant doit primer sur tout », ajoute-t-il. « La LADDH rappelle, poursuit Salhi, que les droits de l’enfant doivent être respectés au-delà de toute autre considération, le droit national et la convention internationale des droits de l’enfant doivent être respectés (…) Rendez l’enfant à sa maman ! » lance, pour conclure, le vice-président de la Ligue algérienne pour la défense des droits de l’homme.

De la perpétuité à 6 mois de prison: Walid Nekiche, «Menacé» «agressé sexuellement»et «Torturé» à la (DGSI) pendant sa garde à vue. 

Il a été maintenu en garde à vue pendant une semaine, à la Direction générale de la Sécurité intérieure (DGSI), à Ben Aknoun « Centre Abla », sur les hauteurs Alger. Durant ce procès, il a déclaré devant le juge qu’il a été «Menacé» «agressé sexuellement» et «Torturé» par des agents du même service pendant sa garde à vue. L’arrestation de Walid Nekiche, faut-il le rappeler, a été largement médiatisée par certains médias proches du pouvoir, qui ont évoqué, à l’époque, «l’arrestation d’un militant du MAK qui préparait des attentats à Alger». Le jeune étudiant est depuis plus de 14 mois en détention provisoire.

Lors de son procès qui s’est déroulé hier lundi au tribunal de Dar El Beida, Walid Nekiche a relaté les sévices sexuels et tortures dont il avait été victime à la fin du mois de novembre 2019 lorsqu’il a été embarqué par des agents de la DGSI, services secrets algériens, à la caserne Antar, la plus importante base de l’ex-DRS à Alger. Des révélations glaçantes qui ont suscité l’indignation générale partout en Algérie notamment sur les réseaux sociaux.

Le juge a prononcé, contre Walid Nekiche une condamnation à 6 mois de prison ferme assorti d’une amende de 20 000 da pour l’accusation « distribution et possession de tracts pour porter atteinte à l’intérêt de pays ». tandis que, kamel bensaad a été acquitté de toutes accusations, les deux activistes ont quitté la prison , ce 2 février, après 432 nuits d’incarcération.

Plus tôt dans le journée d’hier, le procureur avait requis la réclusion à perpétuité avec saisie les objets, à l’encontre de Walid Nekiche et Kamel Bensaad, lors de procès ce 1er février 2021 au tribunal de Dar El Beida (session criminelle).

Walid Nekiche a été poursuivi pour, « participation à un complot pour inciter les citoyens ou les habitants pour prendre les armes contre l’autorité de l’état et organisation d’une manière secrète de communication à distance dans le but de porter atteinte à la sécurité nationale », « atteinte à la sécurité et l’unité nationale » et « distribution et possession de tracts pour porter atteinte à l’intérêt de pays ».

Le réquisitoire avait suscité l’étonnement total chez les internautes, les militants et les avocats, ces derniers on manifesté leur solidarité avec le détenu, surtout que ce dernier a révélé lors du procès qu’il a été victime d’« agression sexuelle », de «menaces» et de «torture» par les agents de la sécurité intérieure (DGSI), pendant sa garde à vue.

Sa défense a également affirmé que son dossier est quasiment vide, précisant que les procès-verbaux des services de sécurité étaient basés sur « les aveux après le torture ».

Il convient de rappeler que, Walid Nekiche a été arrêté le 26 novembre 2019, à le place les martyrs, à Alger, alors qu’il filmait la marche des étudiants avec son téléphone.

 L’étudiant Walid Nekiche est sorti de prison ce mardi 2 février, après avoir été condamné par le tribunal de Dar El Beida à six mois de prison ferme, pour « distribution et possession de tracts pour porter atteinte à l’intérêt du pays ». Il a passé 14 mois en détention provisoire. Le procureur a requis la perpétuité.

Son avocate Me Nabila Smail, qui fait partie du collectif de défense de l’étudiant, livre un témoignant glaçant sur cette affaire, et parle d’« aveux arrachés sous la torture », d’un Walid ayant « subi des sévices et des tortures physiques et moraux ».

« Walid a déclaré devant le juge d’instruction avoir subi des tortures et sévices, durant 12 jours, du 26 novembre au 2 décembre 2020, et ce n’est qu’à ce moment-là qu’il a été présenté devant le procureur…», relate Me Smail. Le 2 décembre l’étudiant a été placé sous mandat à la prison d’El Harrach, ajoute-t-elle.

« C’est Me Nacera Haddouche, un autre membre du collectif de défense (composé d’une trentaine d’avocats), qui a déposé une plainte pour tortures. Walid a déclaré devant le juge d’instruction avoir subi des tortures et sévices, à la fois sur les plans physique et moral », relate Me Smail.

« Ses avocats qui lui ont rendu visite l’ont trouvé complètement amoché. Ils lui ont signifié qu’il ne devait pas parler devant le juge d’instruction sans la présence de sa défense. C’est alors que Walid leur a dit : « J’étais prêt à tout, pour peu qu’on ne me fasse pas remettre aux enquêteurs. Ce n’est qu’après avoir été entendu une seconde fois par le juge d’instruction que Walid s’est rétracté en disant (au juge) que : « Tout ce que j’ai dit (lors de la première audition) était faux puisque c’est ce qu’on m’a demandé de dire, j’avais peur ». Or, lui ne savait pas qu’une fois présenté par le juge d’instruction, il ne pouvait pas être remis aux policiers ».

De la perpétuité à 6 mois de prison

De la perpétuité à 6 mois, l’affaire Walid Nekiche résume parfaitement l’état actuel chaotique de la justice algérienne qui fonctionne sans aucun respect des principes élémentaires du Droit. Sans oublier une certaine presse arabophone et islamiste qui a sali l’honneur et attenté à la dignité de Walid Nekiche en le présentant comme un «jeune terroriste embrigadé par le MAK» pour saboter les élections présidentielles du 12 décembre 2019 en «infiltrant le Hirak». Des récits haineux basés sur des mensonges grossiers tirés des PV falsifiés des enquêteurs de la DGSI.

A sa sortie ce mardi matin de la prison d’El-Harrach, Walid Nekiche n’a pas pu afficher sa joie ni son bonheur. Torturé, violé, emprisonné à tort, sa vie a été totalement gâchée lui qui, à l’âge de 25 ans, rêvait d’une autre Algérie, d’une « Nouvelle Algérie »…

La jeunesse algérienne entre embarcations de la mort et désespoir économique... « Partons tous ! »...

Symbole poignant de la crise économique et sociale qui frappe l’Algérie, le nombre de jeunes Algériens risquant leur vie à bord des embarcations de fortune ne cesse de croître, dans l’espoir d’atteindre l’Europe. Rien que ces quatre derniers jours, environ 800 jeunes ont quitté leur pays, soit une moyenne de 200 par jour, fuyant un quotidien marqué par le chômage, la marginalisation et l’absence de perspectives économiques, malgré les richesses naturelles de l’Algérie en pétrole et en gaz.

Les scènes d’accueil des embarcations en Espagne mettent en lumière une catastrophe humanitaire. Si certains arrivent à bon port, d’autres disparaissent en mer, laissant leurs familles dans l’angoisse et le deuil.

L’immigration clandestine depuis l’Algérie est devenue le symbole d’une crise profonde. Malgré ses ressources naturelles, le pays reste incapable de garantir un avenir décent à sa jeunesse, qui se voit contrainte de risquer sa vie pour un futur meilleur en Europe.

Le paradoxe algérien

Ils aiment leur pays mais préfèrent vivre en France


 
 
 

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