Plusieurs pays africains, comme l’algérie, ont officiellement manifesté leur volonté d’intégrer ce bloc
L’algérie vient d'échouer "comme d'habitude" à intégrer ce bloc géostratégique "BRICs", en dépit de toutes les « opérations de propagande et de manipulation », de ses visites d’Etat effectuées dans certains pays membres, tels que la Russie en juin et la Chine en juillet, et de sa contribution de 1,5 milliard de dollars💲 en tant qu’actionnaire à la Banque de développement.
En algérie "on vend la peau du fennec avant de l'avoir tué"... Avez-vous bricé⁉‼
La non-adhésion de l'algérie comme l'un des nouveaux États membres du groupe des BRICs est un coup dur pour l'Administration dirigée par Abdelmadjid Tebboune. Six pays ont été invités à rejoindre la coalition économique des marchés émergents des BRICs, selon Cyril Ramaphosa, président de l'Afrique du Sud, ami intime de l'algérie et actuel président des BRICS.
Selon Ramaphosa, les BRICS sont un groupe diversifié de pays. "C'est un groupe égalitaire de nations aux points de vue contrastés, mais avec l'objectif commun d'un monde meilleur.”
Les principes directeurs, normes, critères et procédures du processus d'expansion des BRICs ont été approuvés par les cinq membres des BRICs.
Dans un discours, Ramaphosa a déclaré que l'Argentine, l'Égypte, l'Éthiopie, l'Iran, l'Arabie saoudite et les Émirats arabes unis seraient invités à rejoindre l'alliance des BRICs, composée du Brésil, de la Russie, de l'Inde, de la Chine et de l'Afrique du Sud. À compter du 1er janvier 2024, ils deviendront membres.
Une "humiliation" pour l'algérie de Tebboune
Cette exclusion représente un échec majeur pour la diplomatie algérienne et pour Tebboune, qui avait fait de l'adhésion aux BRICs un objectif majeur. L'annonce a été considérée comme une gifle pour Tebboune, dont les déclarations confiantes ont été remises en question par le rejet de la candidature algérienne.
En effet, depuis juillet 2022, le président algérien Abdelmadjid Tebboune avait offert un véritable feu d’artifice de promesses en annonçant à qui voulait bien l’entendre que l’algérie, qui remplit selon lui les critères requis, allait entrer directement dans le club très fermé des BRICs. Et bien sûr, il avait même précisé que tout cela se ferait à la vitesse de l’éclair, dès cette année 2023, à l’occasion du sommet flamboyant qui vient tout juste de se clôturer à Johannesburg, en Afrique du Sud. Une performance dont les acteurs de cirque devraient s’inspirer, sans aucun doute.
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