"L'adversaire véritable n'est pas celui que nous combattons..." Feu SM Hassan II
Le Premier ministre hongrois a accueilli ironiquement les révélations concernant de potentiels actes de corruption en lien avec le "Qatar" au "Parlement européen".
Le Premier ministre hongrois Viktor Orban se frottait les mains devant le scandale de corruption qui frappe le Parlement européen, toujours prompt à dénoncer les atteintes à l'État de droit dans ce pays d'Europe centrale.
"Bonjour au Parlement européen!", a-t-il lancé d'un ton moqueur sur son compte Twitter.
"Et là, ils ont dit qu'ils étaient vivement préoccupés par la corruption en Hongrie", a-t-il ironisé, dans un message accompagné d'une photo de 1981 où l'on voit les anciens présidents américains Ronald Reagan et George Bush rire aux éclats.
La politique de deux poids deux mesures et la logique néocolonialiste du Parle-ment €uro-péen dans sa campagne menée contre le Maroc.
Tout au long de la journée du 13 octobre 2022, jour de la visite de Khadijatou Mahmoud au Parlement européen pour la première fois, la caméra de la chaîne i24 News a suivi cette jeune battante, dans ce qui s’apparente à un véritable chemin de croix pour faire entendre sa voix, celle d’une femme victime d'un viol, alors qu’elle était âgée de 18 ans.
« Embarassing witnesses: the real face of the Polisario »
Kadijatou Mahmoud, violée par le chef des milices séparatistes du Polisario, Brahim Ghali, rompt le silence dans une vidéo et raconte son calvaire.
Nous sommes en 2010. Khadijatou Mahmoud, au visage de Madone, se présente devant la représentation du polisario à Alger pour obtenir une autorisation de sortie des camps. Une ONG d’aide humanitaire italienne l’avait invitée en Italie, en reconnaissance de l’aide précieuse qu’elle lui avait apportée lors d’une opération humanitaire effectuée dans les camps d’infortune, à Tindouf.
A ce moment, Khadijatou prenait du service en tant que traductrice auprès du soi-disant «premier ministre de la rasd». Un sentiment confus de joie et d’impatience à la perspective d’effectuer son premier déplacement à l’étranger l’avait alors saisie. Se pointant à 7 heures du matin, devant la soi-disant «ambassade» de la «rasd» à Alger, dans le but de décrocher un RDV avec Brahim Ghali, elle s’était vue signifier, via le portier de cette «ambassade» de repasser plus tard! «Repassez à 19 heures!», lui avait déclaré l’agent.
A la nuit tombée, Khadijatou avait vu, comme prévu, les portes de cette «ambassade» s’ouvrir. Elle s’était alors présentée devant Brahim Ghali, devenu représentant de la «rasd» à Alger, après avoir fui Madrid en 2008, suite à une plainte pour crimes de guerre perpétrés du temps où il était chef des milices armées. Khadijatou ne savait pas qu’elle avait devant elle un monstre, prêt à tout pour satisfaire ses pulsions bestiales.
Après un échange de salamalecs, le voici qui fondit littéralement sur elle, comme sur une proie, pour la violer de la manière la plus abjecte et la plus cruelle qui soit. «J’ai quitté les lieux alors que je saignais», se souvient-t-elle aujourd’hui, des sanglots dans la voix.
De la douleur physique, mais aussi, et surtout, de graves séquelles psychiques qui ne sont toujours pas près de s’effacer. Près d’une décennie après cet inqualifiable forfait, Khadijatou Mahmoud poursuit inlassablement son combat pour obtenir réparation, notamment auprès de l’Audience nationale, la plus haute juridiction en Espagne, où elle avait déposé plainte pour viol contre celui qui est aujourd’hui le chef du polisario.
11 ans après le viol monstrueux dont elle a été victime, Khadijatou Mahmoud, issue des camps de Tindouf, continue courageusement de se battre pour obtenir réparation de cet incommensurable préjudice.
Un crime commis par Brahim Ghali, le patron du Polisario, qui profite aujourd’hui encore d’une impunité quasi-totale, malgré les nombreux crimes dont il est accusé, parmi lesquels des accusations de torture, d’enlèvements, d'assassinats, des attaques terroristes, des crimes de guerre, notamment perpétrés contre des victimes de nationalité espagnole.
Une liste d’horreurs très longue, mais qui ne parvient pourtant pas à ternir l’image de ce tortionnaire aux yeux du Parlement européen, comme le démontre ce reportage probant.
La bête noire du Polisario fait son entrée sur l’échiquier politique Arrivée, à Bruxelles, Khadijatou Mahmoud s'est exprimée devant les caméras du Parlement européen. Elle a été invitée dans ce haut lieu du pouvoir par des députés, pour témoigner au cours d’une audition publique sur «les violences sexuelles et le viol comme abus de pouvoir», organisée par la Commission des droits des femmes et de l'égalité des genres.
Entourée de précieux protecteurs et conseillers, «c’est une guerre d’influence qui va se livrer sous nos yeux», explique-t-on dans ce reportage où la caméra de i24 l'a suivie.
On suit ainsi le périple de cette jeune femme déterminée à ne rien lâcher, assise dans le bureau d’un parlementaire qui souhaite rester anonyme, auquel elle s’adresse en espagnol, avant que ses propos ne soient traduits par un spin doctor, qui l'accompagnait.
Elle demande si le Parlement européen a déjà traité des abus sexuels commis par des gens de pouvoir envers les femmes. Une question à laquelle le député répond en précisant «qu’il condamne fermement les abus contre les femmes, peu importent les hommes puissants ou non, peu importent les bords politiques».
Une réponse qui rassure la jeune femme. «Ça me donne de l’espérance de vous voir, car la lutte pour nous protéger n’est pas seulement celle des femmes mais celles de tous», explique-t-elle au parlementaire, confiante dans le fait que son message portera enfin.
Tout au long de cette journée, les rencontres vont s’enchaîner pour Khadijatou Mahmoud, pour laquelle ses conseillers «ont préparé un agenda très chargé». Des messages de soutiens, elle en compte beaucoup, que ce soit au Maroc, en Algérie mais aussi au Parlement européen. Ils parlent avec la jeune sahraouie, la rassurent d’un geste ou d’un sourire et se prennent en photo avec elle, à l’instar de Dick Roche, ex-ministre de la Justice d’Irlande et fervent protecteur des droits des femmes, ou encore Henri Malosse, du conseil social et économique européen, Marina Kaljurand, l’ex-ministre des Affaires étrangères estonienne… La guerre d’influence se joue aussi sur les réseaux sociaux, et la jeune femme, qui relaie le déroulement de sa journée sur ses réseaux, en a pleinement conscience.
Mais celle qui est devenue la bête noire du Polisario n’est pas venue jusqu’ici uniquement pour serrer des mains et faire des selfies, elle a aussi la ferme intention de prendre la parole devant le Parlement européen pour raconter son histoire et dénoncer les crimes de son bourreau.
Privée de parole, mais pas de soutiens. Elle découvre pour la première fois l’hémicycle, «guidée par un vieux loup très respecté qui connaît le moindre recoin de cette institution où se joue la vie politique internationale», précise le reporter qui l’accompagne. Mais les choses ne vont pas se dérouler comme elle l’espérait.
«Elle ne le sait pas encore, mais le Polisario a payé des lobbyistes pour faire annuler son intervention publique auprès des députés européens», annonce ainsi le reporter. C’est la douche froide… «Dans ce haut lieu de pouvoir, tous les coups sont permis».
Privée de parole, Khadijatou ne se décontenance pas pour autant et tente de trouver des députés qui accepteront d’aborder son cas dans l’hémicycle. Il y a bien «cette femme voilée, haut fonctionnaire d’un pays musulman (qui) lui apporte verbalement son soutien» mais celle-ci «refuse d’apparaître publiquement, car les dirigeants de son pays soutiennent le mouvement terroriste du front Polisario».
Pour mieux comprendre ce qui se trame, c’est Charlie Weimers, le conservateur réformiste de Suède, qui en parle le mieux, mais hors caméra, comme d’autres. Il confirme d'ailleurs «l’influence du Polisario au sein du parlement européen». Grâce à l'aide financière et diplomatique de son parrain algérien, le Polisario peut compter sur des appuis au parlement européen.
Les soutiens de Khadijatou Mahmoud la rassurent, et lui expliquent que «c’est le jeu politique», et pour la soutenir, certains vont alors accepter de parler publiquement en son nom, dans l’hémicycle. C’est le cas de Willy Fautré, directeur de Droits de l’homme sans frontières, qui, avec calme et sang froid, déclare face à l’assemblée: «l’abus de pouvoir sur les femmes par des leaders politiques, les viols et l’utilisation de la brutalité en période de guerre, je peux vous en donner des exemples. Mais d’abord, parlons de Khadijatou Mahmoud, qui accuse le leader du Front Polisario, Brahim Ghali, de viol. Elle avait 18 ans, elle travaillait comme interprète pour le Polisario. Dans son bureau de l’ambassade, après un chantage pour obtenir un visa pour aller en Italie, il a exigé une relation sexuelle. Elle a refusé, Brahim Ghali l’a violée».
Khadijatou réussit malgré tout à faire entendre sa voix. Son combat n’est pas vain. Dans la conférence de presse organisée ce jour-là par le Brussels Press Club, l’avocate belge Sophie Michez, qui connaît bien les exactions du Polisario, va briser l’omerta devant les caméras.
«A un moment donné il faudra quand même que ça change, que les organisations internationales prennent leurs responsabilités. (…) On va dénoncer ça auprès des Nations unies. On a l’impression de parler dans le vent et à un moment donné, il faudrait quand même que la communauté internationale prenne ses responsabilités. D’accord, il n’y a peut-être pas d’intérêt économique, il y a peut-être moins d’intérêts, mais je pense qu’on est vraiment en train d’oublier qu’il y a des femmes et des enfants qui subissent des sévices extrêmes», a-t-elle déclaré sans langue de bois, en référence aux atrocités commises dans les camps de Tindouf, en Algérie, par le Polisario, dans l’indifférence générale de la communauté internationale.
La journée s'est s’achevée sur un demi-succès pour la jeune femme qui porte le combat pour la protection des femmes saharaouies dans sa chair. Elle ne s’arrêtera pas là, ne se contentera pas de cela, car, a-t-elle confié au reporter qui l’accompagnait, «il faudra la tuer pour qu’elle se taise».
Et le reportage de se conclure sur un message adressé aux «dictateurs, puissants et autres chefs mafieux et terroristes»: «ils ont un nouvel ennemi. Son nom: Khadijatou Mahmoud».
Après avoir snobé Khadijatou Mahmoud, le Parlement européen invite à un séminaire la terroriste Sultana Khaya...
L'argent n'a pas d'odeur... Bref, un renvoi d'ascenseur
Il n’aura pas fallu longtemps pour que le Parlement européen (PE) se saisisse à nouveau de la question des droits de l’homme au Maroc. Alors qu’une résolution hostile au Maroc a été adoptée le 19 janvier au sujet du prétendu non-respect des droits humains et de la liberté des médias au Maroc, alors qu’une réunion a été annoncée le 9 février, consacrée à l’examen des allégations portant sur l’utilisation par le Maroc du logiciel d’espionnage Pegasus, un séminaire dédié à la «crise des droits de l’homme au Sahara occidental» s’est tenu ce mardi 7 février.
La terroriste Sultana Khaya, a été invitée ce 7 février pour un séminaire au Parlement européen (PE). Présentée comme une activiste, la membre du polisario, a été appelée pour parler de supposées violations des droits humains au Sahara marocain. La campagne anti-marocaine en Europe, tenue par des ficelles tirées depuis Alger entre dans une nouvelle étape.
Sultana Khaya a été invitée par l’+InterGroupe algérien sur le Sahara occidental+ (anti-marocain) au Parlement Européen pour livrer son plaidoyer en faveur de la milice qu’elle représente en listant de supposées agressions qu’elle aurait subies.
La femme, présentée comme une « activiste pacifique » ou une « militante des droits de l’homme » est en réalité un agent à la solde de l’Algérie, une terroriste à la Kalachnikov qui se pavane en AK47 et treillis militaire, qui n’a rien de pacifique.
Une femme violente, comme de nombreuses femmes séparatistes, entrainées comme des athlètes et ayant subi une prise de poids significative pour s’attaquer physiquement à des civils, troubler l’ordre public, détruire des biens publics et appeler à la lutte armée et au recours à la violence dans le sud du Maroc.
Les images de manifestantes séparatistes hissant un drapeau du polisario dans le sud du Maroc et violentant des citoyens marocains dont des membres des forces de l’ordre, ont déjà montré la force physique atypique de ces femmes instrumentalisées par l’Algérie et le polisario.
Sultana Khaya est aussi connue pour ses mensonges vérifiés et ses accusations non vérifiées, exposés et démolis à plusieurs reprises par l’ambassadeur permanent du Royaume à l’ONU, Omar Hilale.
Cette Marocaine qui dépeint une supposée situation « terrible » des droits de l’Homme au Sahara, est pourtant une résidente comme une autre dans les provinces du sud du Maroc qui jouit de tous ses droits. Elle voyage à l’aide d’un passeport marocain pour alimenter la thèse séparatiste contre le Maroc dans les quatre coins du Monde et les autorités marocaines le savent et pourtant ne l’ont pas inquiétée.
Elle dit subir une interdiction de quitter le territoire mais elle circule librement partout dans le monde. Elle était récemment en Algérie dans les camps de Tindouf pour la « réélection » de Brahim Ghali comme chef du groupe séparatiste.
Des sources au sein du polisario ont même annoncé que Brahim Ghali a dissout la direction du mouvement et a nommé Sultana Khaya parmi 7 membres d’un conseil qui est actuellement la plus haute autorité du polisario.
C’est cette femme que le Parlement européen accueille et encourage, se rendant complice de ses appels à la lutte armée et au terrorisme qui menacent la stabilité du Maroc, et de toute la région.
Ceux qui avaient douté de l’existence d’une campagne anti-marocaine dans les institutions européennes vont changer d’avis après cette nouvelle provocation signée Alger, utilisant des députés européens agissant pour le compte de l’Algérie au sein de l’InterGroupe pour s’attaquer au Maroc.
Après le vote de la résolution sur les journalistes Maroc au niveau du Parlement européen, le déclenchement de l’affaire d’espionnage Pegasus qui vise exclusivement le Maroc alors que plusieurs pays européens utilisent le même logiciel, et le Marocgate qui sous-entend que le Maroc aurait corrompu des élus européens, voici le nouvel acte de la mise en scène contre le Royaume dont les auteurs sont bien identifiés.
Cette guerre politique et institutionnelle lancée pour ternir l’image du Maroc est un plan machiavélique divisé en étapes. Chacune, doit contribuer à atteindre l’objectif de saper la relation d’excellence bâtie avec l’Europe depuis plusieurs années pour arriver au Saint Graal: La suspension -espérée- des accords entre l’UE et le Maroc qui incluent le Sahara. Il va sans dire que la suspension de ces accords ne serait bénéfique qu’à une seule partie, l’Algérie.
« A force de tout tolérer de l’Algérie et de systématiquement taper sur le Maroc, l’UE et Macron renforcent le régime en place à Alger et désespèrent tous ceux qui, avec le Hirak, demandaient un vrai changement. Tebboune arrivant bientôt à Paris… on déroulera le tapis rouge », a résumé le député français, Thierry Mariani sur Twitter.
Parle-ment €uro-péen: Des attaques répétées avec acharnement
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