Un leader est une personne capable de donner du sens et de l’envie, de transformer les individus grâce à sa capacité de perception et de persuasion (voire de « séduction »). Le leader est capable d’avoir une vision sur l’avenir en étant capable de bouscule les équilibres et favoriser l’innovation.
Le leader à cette flamme supplémentaire et il ne s’agit pas uniquement de physique, de physiologie. C’est un tout, c’est un puzzle où il faut que toutes les pièces soient réunis.
Les différents types de leader
leader autoritaire (autocratique): diriger en imposant;
leader participatif (démocratique): diriger en encourageant la participation;
leader du laisser-faire (délégatif): diriger donner des responsabilités;
leader visionnaire: diriger par l’inspiration;
leader basé sur le coaching: diriger par le mentorat;
leader affiliatif (collaboratif): diriger en créant l’harmonie;
leader « chef de file »: Diriger par l’exemple;
leader transformationnel: diriger en gagnant la confiance et le respect de l’équipe, et en encourageant les autres;
leader transactionnel: diriger par un système de récompenses pour motiver les membres de l’équipe;
leader directif : diriger en mettant en places des procédures
Le sélectionneur de l'Algérie et Benhrama à deux doigts d'en venir aux mains contre l'Égypte
C'est une image qui est rapidement devenue virale. Lors du match amical entre l'Egypte et l'Algérie (1-1), lundi, le sélectionneur algérien Djamel Belmadi a eu une altercation avec son joueur Said Benrahma, qui avait refusé de lui serrer la main au moment de sa sortie. "Mais ce sont des choses qui arrivent", a tenu à dédramatiser le premier en conférence de presse.
Le sélectionneur algérien Djamel Belmadi a eu une altercation avec son joueur Said Benrahma, qui avait refusé de lui serrer la main au moment de sa sortie.
C'est un moment de grande tension qui s'est transformé en une vidéo devenue virale sur les réseaux sociaux. 63e minute du match amical entre l’Égypte et l’Algérie (1-1) lundi : Saïd Benrahma, remplacé par Houssem Aouar peu après l’ouverture du score de Hamdi Fathi pour l’Égypte, refuse de saluer Djamel Belmadi au moment de rejoindre le banc. De quoi faire dégoupiller le sélectionneur des Fennecs, qui a alors attrapé son joueur par le col.
Le soutien de Regragui à Hakim Ziyech après avoir raté le but.
C’était l’un des gros chantiers de sa prise de fonction. Auteur d’un travail remarquable à la tête de la sélection marocaine lors du dernier Mondial (élimination en 1/2 finale contre la France), Walid Regragui avait confié en amont du tournoi avoir besoin de "ses meilleurs joueurs". Hakim Ziyech, qui avait annoncé mettre un terme à sa carrière internationale en février dernier suite à une brouille avec l’ancien sélectionneur Vahid Halilhodzic, faisait évidemment partie de ceux-là.
Dans un entretien accordé au journal L’Équipe, l’ancien entraîneur du Wydad Casablanca est revenu sur la façon dont il a convaincu le joueur de Chelsea de se raviser : «Le plus dur, c’était de lui parler en tête à tête, car il était fâché de sa situation. Il ne répondait plus, donc je suis passé par un ami en commun. Et on s’est parlé par vidéo d’abord. On a posé les bases du projet Coupe du Monde. La priorité, c’était qu’on soit unanime, les joueurs comme moi, sur son retour. Je ne voyais pas le Maroc au Qatar sans ses meilleurs éléments», a-t-il déclaré. Une décision payante puisque l’ancien joueur de l’Ajax d’Amsterdam a fait un retour fracassant, contribuant largement à la performance historique de son pays.
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