La mort de Nahel a plongé la France dans des émeutes
Nahel, l’adolescent de 17 ans tué par un policier et dont la mort a plongé la France dans la violence a été inhumé dans la stricte intimité familiale à Nanterre, près de Paris.
Tué i par un policier pour refus d’obtempérer lors d’un contrôle routier, le jeune Nahel, âgé de 17 ans a été conduit ce samedi au cimetière du Mont-Valérien à Nanterre en présence de sa mère, sa grand-mère et de plusieurs centaines de personnes venues lui rendre hommage.
Vague de violences en France !
La mort du jeune Nahel a provoqué une vague de colère en France. Plusieurs manifestations ont eu lieu à Nanterre et dans d’autres villes. La police a procédé à de nombreuses interpellations. Le président Macron a dénoncé l’instrumentalisation de la mort de Nahel, réitérant sa ferme volonté de maintenir l’ordre républicain.
Hausse inquiétante des bavures policières en Algérie...
Seulement en l'espace d'un mois, deux personnes MORTES aux mains des forces de l'ordre (désordre).... Aucune enquête n'est lancée!!!
Des bavures qui ne sont que la pointe de l’iceberg des milliers d’actes de violences policières – de l’humiliation à certaines formes de torture – qui sont chaque année dénoncées par les défenseurs des droits de l'homme, et surtout, qui restent sans suite, impunis, dans un silence de plomb.
Haitham Djebbari, un jeune âgé de moins de 25 ans, a été torturé brutalement par des responsables de la Brigade de recherche et d'intervention (BRI), une unité d'intervention de la police judiciaire de la Police algérienne.
Haitham Djebbari n'a pas pu être sauvé par les médecins et il décède des suites des conséquences de ces violences policières le 20 juillet dernier.
"Enorme émotion et terrible indignation à Tébessa, à l'est du pays, une ville située à plus de 585 KM à l'est de la capitale Alger. Haitham Djebbari, un jeune âgé de moins de 25 ans, a été torturé brutalement par des responsables de la Brigade de recherche et d'intervention (BRI), une unité d'intervention de la police judiciaire de la Police algérienne.
Ces violences policières excessives et injustifiées ont provoqué de graves séquelles chez ce jeune homme qui a été hospitalisé en raison de sa colonne vertébrale brisée et d'autres graves blessures dans plusieurs endroits sensibles de son corps. Malheureusement, Haitham Djebbari n'a pas pu être sauvé par les médecins et il décède des suites des conséquences de ces violences policières le 20 juillet dernier. A Tébessa, des habitants ont tenté d'organiser des rassemblements pacifiques pour réclamer justice et demander l'arrestation ainsi que la suspension des policiers à l'origine de cette bavure criminelle d'une extrême gravité. Mais leur contestation a été étouffée et réprimée. Les médias algériens sont surveillés et censurés, les internautes traqués et toute personne qui ose évoquer ce drame inqualifiable peut être arrêtée et emprisonnée. Un blackout médiatique général a été imposé autour de ce drame. L'histoire tragique de Haitham Djebbari nous renvoie en pleine figure la problématique des violences extrêmes suscitée par le fonctionnement dangereux de la dictature du régime algérien." Abdou Semmar, journaliste algérien
Assassinat d'un jeune homme par la gendarmerie algérienne dans la Wilaya de Souk Ahras Algérie
Nabil Ouaret, Berger de la Wilaya de Souk Ahras, plus précisement la commune de Zaarouria
Mercredi soir, Nabil était assis dans un endroit tranquille devant son troupeau. Lorsqu'il a vu des gendarmes à la poursuite d'un groupe d'individu. Pris de panique, il commença à courir. rattrapé par les gendarmes, ils avaient fait un cercle autour de lui et se sont mis à le tabasser sauvagement, il criait : "Donnez-moi de l'eau"..... La victime a fini par perdre la vie
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