Le 007 algérien🕵️♂️, Said Benedira, célèbre activiste des réseaux sociaux qui sévit contre certaines personnalités du pouvoir algérien, a été arrêté ce samedi à Paris par la police française.
Selon la revue en ligne, Maghreb-Intelligence, Bensdira qui réside à Londres, serait soupçonné d’être entré en contact avec des agents algériens infiltrés en France pour commettre des assassinats contre des opposants, toutes tendances confondues.
Les crimes préparés par les agents algériens infiltrés, avec l’aide de Said Bensdira, devaient par la suite être mis sur le dos du Maroc, ajoute le média, pour qui cet épisode démontre à quel point Alger est allée dans son escalade contre le Maroc et sur tous les fronts.
La junte au pouvoir est de plus en plus ulcérée par les derniers rapprochements entre la France et le Maroc, notamment en matière de coopération sécuritaire, illustrée par la récente visite à Rabat de Gérald Darmanin, ministre français de l’Intérieur et des Outre-mer, accompagné par des hauts responsables sécuritaires.
Juste après l'arrestation de Bensdira, la mafia militaro-politico-financière algérienne lâche son armée (gangs) de clandos dans les artères de la ville lumière Paris pour semer le désordre
En Janvier 2022: Feu vert pour des exécutions ciblées visant des opposants à l'intérieur et l'extérieur de l'algérie
Notre confrère, Amir DZ, de son vrai nom Amir Boukhors (Amir DZ faisait l’objet de 9 mandats d’arrêt internationaux lancés par la "in"« justice » algérienne qui l’avait condamné par contumace), fait fuiter une longue communication téléphonique entre Lotfi Nezzar et un agent de l’ex-DRS via une vidéo publiée sur sa chaîne YouTube. En effet, les services algériens ont ont commandité en Janvier 2022 avec des hommes de main à Paris et à Bruxelles l’élimination d’opposants, dont le journaliste Hichem Aboud et d’autres opposant résidant en Europe et en Algérie.
Rappel: Lotfi Nezzar et son épouse ont été condamnés, par le tribunal de Bir Mourad-Raïs en juillet 2020 à six années de prison ferme dans une affaire de “blanchiment d’argent”. La condamnation est assortie d’une amende de 2 millions de dinars et d’un mandat d’arrêt, les deux accusés étant à l’étranger. En 2021 le tribunal de Sidi M’hamed a acquitté Lotfi Nezzar, fils de l’ancien ministre de la Défense, Khaled Nezzar, de toutes les charges retenues contre lui, notamment le blanchiment d’argent, transfert illicite de fonds et faux et usage de faux pour l’obtention d’indus privilèges. Le procureur de la République avait requis l’application de la loi dans cette affaire. L’accusé est entré en Algérie pour vider le mandat d’arrêt international émis a son encontre.
Sur son Facebook, Amir DZ écrit « Hichem Aboud,, Ferhat Mehenni, Abdou Semmar, Amir DZ, figuraient parmi les cibles des opérations de renseignement pour liquidation à l’étranger, dirigées par Hussein Bulahiya, chef du renseignement et ses officiers, dont Jaheed et d’autres.
Selon Amir, ce projet d’assassinat dont étaient aussi des personnalités la cible en Algérie:
khaled drareni, journaliste, fondateur de Casbah Tribune et correspondant de TV5MONDE et de Reporters Sans Frontières en Algérie
Kadour Chouicha, coordonnateur du SESS (syndicat des Enseignants du Supérieur Solidaires)
Mohcine Belabbas, un homme politique algérien président du Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD)
Saïd Boudour est journaliste, défenseur des droits humains et membre de la Ligue algérienne des droits de l’homme.
Karim Tabbou, homme politique et un journaliste algérien.
L'affaire Bensdira, ce serait « l'arbre qui cache la forêt ». Les agents secrets du pouvoir algérien sur le territoire français
Le célèbre journaliste d’investigation et célèbre impacteur algérien Amir Dz a été, le 12 Novembre 2022, victime d’une violente agression à la Place de la République, qui s’apparente clairement à une tentative d’assassinat, dans la capitale française, lors d’une manifestation pacifique.
Evacué vers l’hôpital à la suite des nombreux coups qu’il a reçu, Amir DZ souffre de plusieurs traumatismes physiques aux membres droits qui nécessitent, entre autres, une opération chirurgicale au niveau du coude. Comme en témoigne un certificat médical joint.
Contacté, Amir DZ nous informe que: «Cette attaque contre ma personne a été perpétrée par le dénommé Gasmi Fateh, né le 26/12/1985 à Ain benian à Alger ».
Selon les informations fournies par Amir DZ, la personne mise en cause serait une figure proche de certains cercles extrémistes qui ont infiltré le Hirak pour récolter des fonds et les détourner de leurs réels emplois.
Il est surprenant que le régime algérien puisse autant en vouloir à un simple bloggeur, exilé politique établi à l’étranger, qui n’a jamais cessé de dénoncer les dérives d’un système autoritaire et la corruption entretenue.
Ce n’est pas la première fois qu’Amir DZ fait l’objet d’un plan d’élimination physique.
Il y a de cela quelques mois, un ancien agent des services de renseignements algériens avait divulgué un plan échafaudé par le fils de l’ancien Ministre de la Défense algérienne Khaled Nezzar et de Hocine Boulahya, l’ex responsable d’une branche des services de renseignements, pour éliminer un nombre d’opposants établis à l’étranger, dont Amir DZ.
Une plainte a été déposée à cet effet et suit toujours sont cours.
« Ce violent acharnement contre ma personne, incarné par cette ultime tentative d’assassinat qui aurait pu laisser ma famille orpheline, laisse entrevoir les objectifs de l’Etat-DRS et renforce ma détermination à continuer le noble combat jusqu’à faire dégager la mafia qui a pris notre pays en otage » conclura Amir DZ.
UNHCR: quand les TVCLM sont délivrés aux agents du renseignement et aux génocidaires…. Said Bensdira ,est un très bon exemple parmi tant d’autres
Said Bensdira (Agent du DRS [Département du renseignement et de la sécurité]), avec un statut de pseudo-réfugiés politiques en Grande-Bretagne.
La question qui se pose est de savoir comment, le statut de réfugié a été accordé à cet agent de renseignement algérien?
Pour un réfugié, il est particulièrement important de pouvoir voyager hors du pays où il réside habituellement. C’est parfois d’un voyage lui donnant, par exemple, la possibilité de faire des études ou d’acquérir une formation ou un emploi que dépend essentiellement la solution durable des problèmes auxquels il doit faire face. A cet égard, les gouvernements ont eux aussi intérêt à faciliter les voyages des réfugiés.
Contrairement à un étranger ordinaire, le réfugié ne jouit pas de la protection du pays dont il est ressortissant et ne peut donc pas faire usage d’un passeport national pour se déplacer à l’étranger. Lorsque, après la première guerre mondiale, la communauté internationale s’est donné pour tâche d’établir un statut des réfugiés reconnu internationalement, un de ses premiers soins a été de veiller à ce que les réfugiés soient munis de titres leur permettant de voyager à l’étranger. La forme et le contenu de ces documents ont varié à différentes reprises, mais ils ont néanmoins servi de base au titre de voyage institué par la Convention de 1951 relative au statut des réfugiés. Ce titre de voyage, qui est maintenant délivré régulièrement par les Etats parties à la Convention de 1951 et au Protocole de 1967 relatifs au statut des réfugiés, est aussi reconnu par beaucoup d’Etats qui ne sont pas parties à ces instruments.
Quand les TVCLM sont délivrés aux agents du renseignement et aux génocidaires….
Selon Said Bensdira le pseudo-réfugiés politiques, le TVCLM, lui permet d’exécuter efficacement ses missions car il n’a pas besoin de visas pour voyager contrairement à un passeport.
Rôle du HCR
En principe, le HCR n’a pas de rôle direct dans le processus de délivrance des TVC, autre que celui de superviser l’application par l’État de l’article 28 des Conventions de 1951 et de 1954. Bien que par le passé le HCR ait soutenu la délivrance de TVC (Titre de voyage de la Convention) non lisibles à la machine, il préconise et soutient la délivrance de TVCLM (Titre de voyage de la Convention lisible à la machine) par les autorités du gouvernement hôte. Avec la transition vers des TVCLM délivrés par les États, les autorités gouvernementales vont devoir assumer la responsabilité de leur délivrance. Cependant, lorsqu’un État n’a pas mis en place de procédures de détermination du statut de réfugié (DSR) et que le HCR se charge de la DSR en vertu de son mandat, une recommandation par le HCR pourrait être à la base d’une décision sur l’admissibilité d’un TVC par l’autorité nationale compétente.
Un pays peut exiger que les réfugiés demandeurs d’un TVCLM remettent et laissent en dépôt leur passeport national en même temps que leur demande, s’ils sont entrés dans l’État en faisant usage d’un tel document. Pour un réfugié, voyager avec un TVCLM présente plus d’avantages que de voyager avec un passeport national, puisque cela manifeste son statut et son besoin de protection internationale. Les États contractants aux Conventions de 1951 et de 1954 ont l’obligation de reconnaître les TVC délivrés par les États contractants en vertu de l’article 28.
Qu’est ce qu’un réfugié ?
Le terme « réfugié » est défini dans la Convention de 1951 et dans son Protocole de 196710. Selon l’article 1 (A) (2) de la Convention de 1951, le terme « réfugié » s’applique à toute personne qui « craignant avec raison d’être persécutée du fait de sa race, de sa religion, de sa nationalité, de son appartenance à un certain groupe social ou de ses opinions politiques, se trouve hors du pays dont elle a la nationalité et qui ne peut ou, du fait de cette crainte, ne veut se réclamer de la protection de ce pays; ou qui, si elle n’a pas de nationalité et se trouve hors du pays dans lequel elle avait sa résidence habituelle à la suite de tels événements, ne peut ou, en raison de ladite crainte, ne veut y retourner ».
Ces cas dans lesquels la délivrance d’un titre de voyage de la Convention peut être refusée
Une exception à l’obligation des Etats contractants de délivrer un titre de voyage aux réfugiés résidant régulièrement sur leur territoire est exprimée par les mots « à moins que des raisons impérieuses de sécurité nationale ou d’ordre public ne s’y opposent ». Au cours des travaux préparatoires relatifs à l’article 28, il a été souligné que le mot « impérieuses » devait s’entendre comme restreignant la portée des mots « raisons … de sécurité nationale ou d’ordre public ». Un refus de délivrer un titre de voyage ne peut donc être justifié par de quelconques circonstances relevant normalement de cette notion, mais seulement par des raisons extrêmement graves.
Retrait du TVCLM
Un TVCLM (Titre de voyage de la Convention lisible à la machine) peut être retiré si son titulaire perd le statut de réfugié ou d’apatride. Cela pourrait avoir lieu en cas de cessation, d’annulation ou de révocation du statut. Un TVCLM peut également être retiré lorsque le titulaire est poursuivi ou condamné pour un délit pénal, ce qui équivaut à une raison impérieuse de sécurité nationale ou d’ordre public au sens de l’article 28 des Conventions de 1951 et de 1954.
Londres: le mystérieux Silence Radio des autorité judiciaire britannique, face aux appels intarissable au «Génocides, aux massacres et violences de masse …» lancés (impunément) par Said Bensdira
Après avoir lancé depuis Londres un appel (impunément) à tuer 20 millions d’Algériens et à transformer leurs corps en savon diffusé par ce criminel sur sa chaîne Youtube. Said Bensdira (Agent du DRS [Département du renseignement et de la sécurité]), et avoir lancé un appel au «Génocides, aux massacres et violences de masse ». Cet horrible appel au génocide a été délibérément enregistré et diffusé par ce voyou depuis Londres.
Said Bensdira lance (impunément) un autre appel pour tuer les fonctionnaires et bruler leurs maisons… suivi d’une fatwa.
Le mystérieux Silence Radio des autorité judiciaire britannique… Les Algériens avaient déjà appelé les autorités britanniques « à mettre ce criminel hors d’état de nuire« .
Jusqu’a présent, et malgré plusieurs appels, les autorités britanniques n’avaient affiché aucune ambitions pour « mettre hors d’état de nuire » ce criminel.
Rappel: Une⇒ Pétition adressée au Ministère de la Justice en Angleterre (UK Ministry of Justice) a été lancé par Hamdan Khoja sur la plateforme change.org, diffusé surtout sur les réseaux sociaux, ce vendredi 02/04/2021, contre Said Bensdira. Cette pétition, concerne un appel au génocide en Algérie depuis Londres, diffusé par le criminel Saïd Bensedira sur sa chaîne Youtube,
Quelques dizaines de milliers de signatures suffisent parfois à faire entendre une cause.
Said Bensdira est un criminel algérien qui vit à Londres en tant que faux réfugié politique et continue de servir la dictature militaire algérienne. Cette pétition vise à obtenir 100 000 signatures pour le poursuivre devant la justice britannique pour son appel constant à tuer 20 millions d’Algériens et à transformer leurs corps en savon. Cet horrible appel au génocide a été délibérément enregistré et diffusé par ce voyou depuis sa cachette de Londres:
Les internautes se sont mobilisés en masse
Said Bensedira, L’art de l’escroc – Le ragotier du net algérien – au service du plus offrant…
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