La criminalité transnationale
L'Interpol aura l’impérieux devoir de mettre définitivement hors d’état de nuire cet individu qui est de nationalité algérienne, qui menace dans une vidéo live sur un réseau social, et qu'il es capable d'atteindre n'importe qu'elle cible dans les quatre coins du monde. En effet, cet individu possède plusieurs passeports de même pays et de pays différents.
Plusieurs passeports à plusieurs noms ont été exposés par cet individus, lors de ce live, il s'agit de:
5 passeports espagnoles
4 passeports français
1 passeport algérien
L’Interpol est la seule organisation internationale de police qui possède des bases de données mondiales accessibles à cent quatre-vingt-quatorze pays membres ainsi qu’à d’autres organisations internationales, organismes et services chargés de l’application de la loi.
Un réseau social n'est pas un espace de liberté absolue
Des salariés critiquent leur hiérarchie sur Facebook et sont licenciés ; un internaute est condamné à plusieurs amendes pour avoir créé un groupe sur Facebook dénigrant la police ; le décès, à Nantes, d'un participant à l'apéro géant, organisé via Facebook, suscite la controverse, etc. L'actualité récente témoigne d'un certain nombre de litiges impliquant plus ou moins directement des réseaux sociaux. Pourtant, nombreux sont les internautes présents sur ces espaces du web qui ont tendance à oublier, voire à ignorer, qu'il n'existe pas de vide juridique sur internet. Il importe, dès lors, qu'ils soient vigilants quant aux contenus ou images qu'ils éditent sur leurs pages. Si nul n'est censé ignorer la loi, encore est-il nécessaire de connaître le droit applicable en la matière pour ne pas se mettre en situation d'illégalité. Car les réseaux sociaux ne sont pas des zones de non-droit.
Les réseaux sociaux ne sont donc pas une zone de non-droit. Au même titre qu’un média traditionnel, les entreprises qui les dirigent ne peuvent ignorer les obligations qui pèsent sur elles, en termes de modération notamment. Il est de leur responsabilité d’assurer que leur plateforme ne devienne pas un terreau fertile pour la violence verbale, la désinformation, ou la manipulation.
En tant que société, il nous appartient aussi de prendre conscience de l’importance de la responsabilité individuelle. L’écran ne nous soustrait pas à la réalité. Chaque publication, chaque commentaire a un poids, une résonance, et peut, en quelques clics, toucher des milliers, voire des millions de personnes. Ne pas mesurer ses propos, c’est faire fi de cette puissance communicative.
Les journalistes, en particulier, doivent demeurer vigilants. Le numérique offre des possibilités extraordinaires, mais il ne doit pas nous faire oublier les principes fondamentaux de notre métier: vérification des faits, respect de la déontologie, et rigueur dans l’analyse. Ces mêmes valeurs doivent guider chaque citoyen, car, finalement, chacun devient éditeur de contenus lorsqu’il s’exprime sur les réseaux sociaux.
Si la liberté d’expression est l’un des piliers de la démocratie, elle ne peut être sans limite. Elle s’accompagne toujours d’une responsabilité. Tout comme dans le monde réel, nos paroles, nos écrits, nos actes dans l’espace numérique doivent respecter les lois et les autres. C’est là la condition sine qua non pour préserver une société où l’information circule librement, mais de manière saine et respectueuse.
Il est urgent de déconstruire l’idée que les réseaux sociaux seraient une zone où l’anarchie règne. Les lois s’appliquent. Les conséquences, elles, sont bien réelles. Et il est temps que nous, collectivement, en prenions conscience.
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