L’INCORRUPTIBLE: « LANCEUR D’ALERTE » By Karima Kaddouri©
Dans le doute, je précise que je fais une «réflexion» pour donner suite aux flots et aux flops de nos communications réseaux et e-media.
NB/ Nous nous passerons des souhaits que nous avons «intimisé» au gré de nos souhaits et de nos sensibilités personnelles.
Les info-médias relayées par nos chers réseauteurs ont encore une fois la médaille des incorrigibles -buzz et occultent magistralement par leur nombre, les réels impératifs d’actualité qui nous préoccupent.
Il faut attacher une importance réelle aux questions d’Indice de Développement, les notions de développement, ses indices … trop souvent galvaudés par nos réseauteurs, youtubeurs de circonstances…, qui malheureusement floutent totalement des notions importantes qu’ils ne maîtrisent à priori pas du tout.
Il faut pouvoir quantifier et qualifier, analyser ces notions et avec précautions car c’est aussi de notre responsabilité de pouvoir informer que si nous avons la totale maîtrise du sujet.
C’est pourquoi même, nous avons un devoir d’alerte, sur les dangers de la mal-information et de la désinformation !Nous avons ainsi une e-cacophonie, voire une décadence quasi insonore de l’actualité.
A ce titre, certaines notions, ont un écho dit favorable en fonction de l’air du temps: à ce titre, on s’évertue à épater la galerie en lançant les questions non maitrisées telles que «l’inclusivité», de responsabilité, d’écoresponsable, de banque mondiale, … comme des fourre-tout indispensables pour se rendre audibles ou visibles !
Il faut être inquiets des résonnances abruptes de ces contre- courants d’actualités qui polluent et malmènent nos esprits, des esprits souvent naïfs.
On nous parle aisément des «théories de complots» notamment en cette période Covid-19.
Je dirais que ces rumeurs sont bien moins nocives que la désinformation. Abordons la question d’IDH, et de classification ! Cette classification sert beaucoup plus à conforter et à occulter des conflits dont l’intérêt est celui de rendre opaque les réalités économiques de certains pays;
En exemple l’actuel-Algérie a sciemment et depuis longtemps, laissé apparaitre une éphémère économie engendrant un calcul IDH supérieur au Maroc, et de nombreux pays:
Or c’est une supercherie de toute importance, car c’est un pays où le peuple ne peut vivre avec une économie du quotidien :
En 1990’ elle avait déjà une politique de rationnement liée à la pénurie des denrées alimentaires de première nécessité, laissant une partie de la population gérer son quotidien par l’entreposage en congélation de pains et autres produits. Elle a cependant affiché en excèdent, des exportations d’hydrocarbures appauvrissant les chiffres réels !
C’est un pays où les droits humains sont toujours bafoués, et durant depuis au moins la sombre période du « FIS, alias Généraux». Ces faits réels, réalités constatées sur le terrain, indicateurs d’importance, n’ont pas été pris en compte pour paramétrer les chiffres de l’IDH.
Idem pour la scolarité où les moyens et les structures sont absents et où il n’existe aucune université de sciences et des lettres, encore aujourd’hui.
L’actualité, avec les échanges banque mondiale et l’actuel Algérie, a laissé entendre, qu’il existe un vieux deal financier de confort lié à un apport financier conséquent ?! Est-ce le troc pour occulter les incohérences en matière de droit humains, les incohérences dans sa stratégie de financer le polisario-algérien… et s’auto classifier pour ne pas apparaitre dans les pays à forte pauvreté ou déficient en matière de droit humain !
Il s’affiche clairement comme détenteur d’un vivier et abreuvoir de réseaux terroristes.
Les communications du net ont permis malgré les turbulences en actuel-Algérie, d’accéder à une de leur fenêtre où se dresse un visage disgracieux à savoir le réel visage économique de ce pays où la pénurie et le rationnement est encore au rendez-vous !
Parlerons-nous encore d’IDH dans un cadre où les constats du terrain nous demandent de «recadrer les codes de classifications et de dé-classifications» !
D’autre part nous devons aussi alerter nos lecteurs et institutionnels que la démarche est aussi galvaudée des ressortissants marocains:
Les politiques d’aménagement sont pris pour bouclier par nos réseauteurs pour encore égratigner les notions, de développement et d’économie «inclusive», bref tout ce qu’ils ont empruntés dans les «masse- e médias»…
La préoccupation des Marocains est avant tout de prendre le bon train en marche.
Il faut rappeler aux initiateurs de débats que:
La dimension de régionalisation n’est pas uniquement une question d’économie et de développement économique mesurable par un PIB ou un simulacre dessin d’accueil-entreprises !
Parler de développement durable est une notion très louable et nul ne peut s’y extraire dans toute nouvelle démarche scientifique de développement.
Alors certes elle est, palpable et non palpable dans notre armure intellectuelle mais il faut cependant la redimensionner sagement et profiler sur chacun de nos espaces dit «intellectuels».
Lire, interpréter, voire, reprendre les écrits des schémas de développement ne nous dispense nullement d’analyser, d’adapter, le sujet dans son espace afin éviter d’en faire un copier-coller récurent et absolument indigeste tant les besoins de résolutions de nos objectifs de développement intelligent sont importants.
Aussi, je demeure incorrigible, incorruptible pour les questions de «communication de l’information», scientifiques ou pas, car le bénéfice du doute, de pouvoir, de devoir s’autocensurer sur les questions que l’on ignore, devraient nous permettre de nous ressaisir dans ce flots et ces flops immensément dommageables et à toute échelle.
By Karima Kaddouri ©
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