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L’expansionnisme algérien... Le plan machiavélique de l’algérie au Mali... Pourquoi la junte algérienne s'accroche à kidal?

Quiproquo: le mali refuse que l'algérie continue à voler son gaz et son pétrole, alger s'enflamment pour rien!

Alger n'est pas du tout content de l'attitude panafricaniste et protectionniste du général Assimi Goïta. En effet, depuis l'arrivée au pouvoir de cet officier en date du 18 août 2020, il pourchasse les sécessionnistes Maliens naïvement accrocs à l'algérie. Pour les empêcher de partitionner l'ancien empire mandingue au profit des prédateurs cupides et voraces. Chemin faisant, il dénonce tous les 11 accords néocoloniaux d'avril 1961, chasse l'armée française et découvre, cerise sur le gâteau, que depuis plusieurs décennies, l'algérie voisine volait du gaz et du pétrole appartenant exclusivement au peuple malien. Au moyen de gazoduc.

Très mécontents de ce régime défendant les intérêts de son peuple, la junte militaire algérienne orchestre des attaques ciblées dans le septentrion malien, dès décembre 2024, avec le secret espoir d'en déloger les pouvoirs déconcentrés de l'État et de réinstaller les fous d'Allah affilés à Al-Qaïda, au JNIM et à l'État islamique.

Objectif inavoué: continuer à piller allègrement les matières premières maliennes. Bref, lecture vidéo...
L’expansionnisme algérien - Une partie de la région de Kidal vendue à l’Algérie, selon l’ancien ministre de l’Agriculture, Seydou Traoré.

La région de Kidal est la huitième région administrative du Mali depuis mars 2012. Elle s’étend sur 260 000 km2. Sa capitale est la ville de Kidal. Elle recouvre principalement le massif de l'Adrar des Ifoghas.

maliweb.net, le premier Portail de débat et d’actualité sur le Mali, avait dévoilé dans un article publié le 06 Février 2013, une déclaration (une confession) de l’ancien ministre Seydou Traoré [une partie de la région de Kidal a été vendue à l’Algérie.]👇

Comment peut-on vendre une partie d’un pays souverain à un autre pays ? Difficile d’y croire ! Mais lorsque cela a été publiquement affirmé et par un ancien ministre de surcroît, cela donne vraiment matière à réflexion. En tout cas, l’ex-ministre Seydou Traoré l’a affirmé au cours des échanges sur la problématique de sortie de crise organisée par le COREN dans la salle de réunion du Haut conseil des collectivités.

Avec cette déclaration, on comprend aisément pourquoi l’Algérie n’a jamais voulu être au premier plan dans la crise malienne de peur de voir ses intérêts (fictifs) au Mali lui échapper. Au cours de son exposé, le ministre n’est pas passé par quatre chemins pour affirmer haut et fort qu’une partie de la région de Kidal a été vendue à l’Algérie et que cette partie regorge de ressources naturelles telles que le gaz et le pétrole. «Oui, je faisais partie de ce gouvernement et j’assume mes propos…», ajoute l’ancien ministre Seydou Traoré sans frémir. Mais de quoi s’agit-il en fait ?

Les patrons algériens se frottent les mains

Si la crise malienne prenait une autre tournure, l’Algérie allait simplement crier sur tous les toits que le Mali lui doit de l’argent, à défaut de dire qu’il a déboursé une faramineuse somme pour un deal avec l’ancien régime. Les Maliens doivent des milliards de FCFA à l’Algérie. Et comme aucun Malien ne sait exactement ce qui se passe dans les couloirs de la diplomatie, ils n’auront que leurs yeux pour pleurer les dégâts. Malgré la présence des terroristes sur le sol malien, le régime déchu n’avait pas daigné mettre la pression sur l’Algérie afin que ce pays s’implique davantage dans la rébellion touarègue du MNLA et l’aider à combattre les éléments d’AQMI qui, en réalité, ne sont que des Algériens de l’ex-GSPC (Groupe salafiste pour la Prédication et le Combat) et du FIS (Front Islamique pour le Salut). Le silence entre les deux Chefs d’Etat (malien et algérien) pourrait se résumer dans ces propos de l’Algérie : «Nous sommes très contents de la collaboration entre nos deux pays parce que le Mali va nous faire gagner beaucoup d’argent et en contrepartie, nous lui fournirons des aides dans le volet humanitaire et des prêts en échange d’une partie de la ville de Kidal».

Quand l’ancien régime vend le Mali

Lorsqu’un ancien ministre tient de tels propos, cela donne à réfléchir. Est-ce une confession de sa part ou est-ce parce qu’en son temps, il était obligé de se taire pour…recevoir lui aussi sa «part du gâteau» issue de cette vente ? Ou bien l’ex- ministre trouve-t-il que le moment est enfin venu pour lui de dénoncer la mauvaise gestion dudit régime dont il a pourtant fait partie? Ce qui ne lui confère ainsi aucune crédibilité: c’est plutôt une trahison envers le peuple malien.

Mais au fait, quelles sont les motivations réelles qui ont poussé les autorités d’alors à céder cette partie de Kidal à l’Algérie ? Quelle était l’origine de ce deal entre les deux Chefs d’Etat malien et algérien ? On ose croire que l’ex-ministre Seydou Traoré aura à fournir plus de détails sur ces questions car avec sa «confession» du ministre, il est indiqué de revoir à fond les contrats de partenariat signés entre les deux pays à l’époque. Si cette affirmation de l’ex-ministre de l’Agriculture s’avérait fondée, ATT et ses collaborateurs doivent rendre des comptes aux Maliens à qui, ils n’ont jamais fait le bilan des précédentes privatisations.

Pourquoi la junte algérienne s'accroche à kidal?

Abdelmadjid Tebboune, a annoncé le début de la réalisation par l’Agence algérienne de coopération internationale des premiers projets de développement en Afrique. S’exprimant lors d’une entrevue avec des patrons de certains médias algériens, enregistrée à l’occasion du 3 mai et diffusée samedi soir par la télévision publique, Abdelmadjid Tebboune a fait savoir que ces projets «seront lancés, dans un mois, au Nord du Mali et au Niger ». Il a indiqué, dans ce sens, «avoir nommé, il y a une semaine, un nouveau directeur de l’Agence ». « L’Agence algérienne de coopération internationale pour la solidarité et le développement a pour mission de contribuer à résorber la pauvreté et lutter contre la soif et le manque d’infrastructures de soins et d’évacuation des eaux », a-t-il expliqué. Le Mali et le Niger, situés dans cette bande sahélienne frappée par la pauvreté, la sécheresse endémique et l’insécurité, verront le lancement, incessamment, des premiers projets pilotés par l’agence, est-il encore annoncé. «Dans un mois, les premiers chantiers seront lancés dans la ville de Kidal au Mali, avec la réalisation d’un dispensaire et d’une école, ainsi que le forage d’un puits pour assurer un approvisionnement en eau potable», a ainsi indiqué Abdelmadjid Tebboune.


 
 
 

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