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L’ENNEMI MAROCAIN EST DANS L’ADN DES GÉNÉRAUX ALGÉRIENS… (Partie2)

Photo du rédacteur: AAAA

Le Maroc revient au sein du bloc africain qu’il avait quitté en 1984 pour protester contre la reconnaissance de l’état fantoche (RASD). Malgré des résistances, notamment algériennes. L’Union africaine est le dernier véritable lieu d’affrontement diplomatique direct entre le Maroc et l’Algérie. Entre les deux frères, voisins…, il y a une (RASD). « Invisible », aux yeux des Marocains. La RASD est reconnue seulement dans cette institution où elle est soutenue à bout de bras par l’Algérie.

Le Maroc faisait initialement partie d’un des trois groupes qui ont posé les jalons de l’Organisation de l’unité africaine (OUA) créée en 1963 : le groupe de Casablanca, emmené par le Guinéen Sékou Touré et le Ghanéen Nkwame Nkrumah. Face aux groupes de Monrovia et de Brazzaville, le groupe de Casablanca, était perçu comme le groupe le plus progressiste. Favorable à l’intégration politique, il rassemblait aussi les pays qui reconnaissaient la République de Patrice Lumumba, en pleine crise congolaise. Ce groupe avait été créé en 1961. La reconnaissance de l’indépendance de l’Algérie le 3 juillet 1962.

L’Algérie a activé en interne pour retarder l’adhésion du Maroc.

Presse gouvernementale algérienne:

Pour le quotidien Algérien « L’Expression », « Le Maroc prépare donc un coup à sa manière de l’intérieur même de l’organisation » en cherchant « à diviser l’UA et à la casser au moment où celle-ci prend de l’importance, devenant un interlocuteur et un partenaire incontournable des institutions internationales. Ainsi, une adhésion qui devrait renforcer l’UA, pourrait devenir son cheval de Troie », commente un de ses éditorialistes.

Le retour du Maroc à l’Union Africaine

Diplomatie « moderne »

Nasser Bourita assume sans pratiquer une diplomatie « moderne » considérée comme du « marketing » par ses détracteurs. Pour ce qui est de la communication : quarante-six visites du roi dans vingt-cinq pays africains depuis son intronisation et surtout 5 milliards de dollars (4 milliards d’euros) d’investissements en 2016, selon un rapport du FDI Market. A l’UA, le royaume a réglé ses arriérés de cotisations, assurent les Marocains. Il figure désormais parmi les pays qui contribuent le plus avec l’Algérie, le Nigeria, l’Egypte et l’Afrique du Sud, à hauteur de 39 millions de dollars chacun.

Nombre d’Etats africains ont déjà assimilé le bien-fondé du retour du Maroc au sein de l’UA. La réintégration historique du Maroc à l’Union africaine (UA), scellée lors du 28ème sommet de l’organisation tenu à Addis-Abeba en janvier 2017, marque un nouveau départ pour une Afrique en pleine mutation qui requiert la mobilisation de toutes les forces bienfaitrices dans le continent.

Discours historique de Mohammed VI pour le retour du Maroc à l’Union Africaine

«…Nous n’ignorons pas que nous ne faisons pas l’unanimité au sein de cette noble assemblée. Loin de nous, l’idée de susciter un débat stérile ! Nous ne voulons nullement diviser, comme certains voudraient l’insinuer ! Vous le constaterez: dès que le Royaume siégera de manière effective, et qu’il pourra apporter sa contribution à l’agenda des activités, son action concourra, au contraire, à fédérer et à aller de l’avant. Nous avons participé à l’avènement de cette belle construction panafricaine, et nous souhaitons tout naturellement y retrouver la place qui est la nôtre». C’est en ces termes que le roi Mohammed VI s’est prononcé, le 31 janvier 2017, devant les chefs d’Etat et de gouvernement africain lors du 28e sommet de l’Union africaine à Addis-Abeba.


Ce retour, qui a recueilli un soutien franc et massif de la part de la vaste majorité des pays africains, marque indéniablement une victoire de taille pour une diplomatie Royale, qui a réussi, grâce à son réalisme et son engagement sincère en faveur du développement de l’Afrique, à faire échouer les tentatives sans lendemain d’entraver le retour triomphal du Royaume parmi sa famille institutionnelle africaine.

De l’avis des officiels et des analystes africains et internationaux présents lors du 28è sommet de l’UA, ce retour n’est que justice rendue à un pays qui n’a jamais rompu ses relations profondément ancrées dans l’histoire avec l’Afrique, son prolongement et son enracinement naturel.

Conscient de l’importance de recouvrer le siège qui lui revient au sein de l’UA partant de son souci constant d’apporter sa contribution tant souhaitée par ses frères africains, le Maroc a lancé depuis le 27ème sommet de l’UA, tenu en juillet 2016 à Kigali (Rwanda), une offensive diplomatique ayant balisé le chemin au retour sans ambages du Royaume au sein de l’organisation continentale.

De l’avis des analystes, ce retour, synonyme d’espoir d’une Afrique unie, est le fruit d’une politique étrangère marocaine novatrice, construite avec patience et sagesse depuis l’accession de Sa Majesté le Roi Mohammed VI au Trône de Ses glorieux ancêtres.

Dans le cadre de cette politique, l’Afrique a occupé une place de choix, en témoignent les multiples périples effectués par le Souverain dans de nombreux pays du continent : de la Côte d’Ivoire en Zambie, en passant par la Guinée, l’Ethiopie, le Nigeria, le Rwanda, la Tanzanie, Madagascar ou encore le Sud-Soudan.

Cette action diplomatique d’envergure voulue et construite par le Souverain a été porteuse d’espoir renouvelé d’un avenir plus prospère pour les peuples africains.

Les chiffres sont là pour illustrer l’impact de la nouvelle politique africaine du Royaume. Depuis l’an 2000, près d’un millier d’accords et de conventions de coopération ont été signés par le Maroc avec ses partenaires africains.

Ces accords portent sur des projets, qui se distinguent par leur forte valeur ajoutée et leur impact direct sur la vie quotidienne des populations, une stratégie qui a valu au Maroc le respect et l’admiration de ses frères partout dans le continent.

Le suivi que Sa Majesté le Roi a bien voulu assurer à ces projets force aussi l’admiration. Des délégations de haut niveau ont été dépêchées sur très hautes instructions Royales dans les pays avec lesquels ces accords et conventions sont conclus pour une évaluation continue des progrès réalisés sur la voie de la mise en œuvre des projets.

Il s’agit d’une stratégie qui illustre la crédibilité dont jouit le Royaume dans le continent et qui montre l’impact vertueux de la démarche Royale.

Au niveau du cadre institutionnel représenté l’UA, l’impact du Maroc, qui a commencé à se déployer immédiatement après l’officialisation du retour historique du Royaume au sein de l’Union, se renforcera inévitablement d’une manière qui traduit le poids d’un pays désormais aux devants des efforts de développement dans le continent.

Il s’agit-là d’une constatation partagée par les centres de recherche.

Le retour du Royaume au sein de l’UA est un facteur déterminant qui devra ouvrir des perspectives prometteuses aussi bien pour le Maroc que pour l’ensemble du continent africain, indique, dans ce contexte, l’Institut des études sécuritaires (ISS), l’un des plus influents think-tanks en Afrique du Sud et dans le continent.

Dans un rapport, publié récemment sur l’impact de ce retour, l’ISS, basé à Pretoria, estime que le Maroc “est bien positionné pour rejoindre le groupe des principaux acteurs au sein de l’UA”.

Comme le souligne le think-tank, le retour du Maroc au sein de l’UA, conjugué à sa forte présence économique, culturelle et cultuelle dans de nombreuses contrées africaines, devra renforcer l’impact positif du Royaume parmi ses partenaires du continent.

Selon le think-tank dont les analyses sont très prisées par les décideurs politiques et économiques du continent et d’ailleurs, cette projection continentale du Maroc est fondée sur un socle économique solide, résultat d’une croissance économique forte et dynamique qui s’est située à 4,8 pc en 2017 à titre d’exemple.

Dès 2016, le Maroc s’est imposé comme le plus important investisseur africain en Afrique en termes de capital-investissement, indique la même source, ajoutant que le Royaume se classe globalement comme le troisième plus grand investisseur en Afrique après la Chine et les Emirats Arabes Unis.

L’Algérie, dont les investissements se sont considérablement taris. « Nous, on fait des choses mais on ne le dit pas », nuance un haut responsable algérien. « Ce n’est pas l’argent qui prime. On en a moins que d’autres, rétorquent les stratèges de Rabat. Le Maroc est revenu dans l’UA avec une vision pragmatique, celle d’une Afrique décomplexée qui ne s’enferme pas dans l’idéologie nuisible au développement. »

Outre le domaine économique, le Maroc a un important rôle à jouer dans tant d’autres secteurs stratégiques pour cette Afrique nouvelle.

Les experts citent en particulier les opérations de maintien de la paix. Dans ce volet précis l’apport du Royaume est très attendu à la faveur du Soft Power reconnu au Maroc partout en Afrique depuis l’indépendance en 1956.

Les experts du think-tank sud-africain de l’ISS s’attendent aussi à un rôle prépondérant du Maroc dans le domaine du développement politique du continent.

Ils appellent de leurs vœux une entrée du Royaume notamment dans le très stratégique conseil de paix et de sécurité de l’UA, une instance dont le rôle ne manquera de se renforcer avec l’apport du Maroc, un pays qui a franchi d’importants pas sur la voie de la démocratisation et du renforcement de l’Etat de droit.

Le retour du Royaume au sein de l’UA marque ainsi le début d’une nouvelle ère pour un Maroc et une Afrique unis dans leur marche vers un avenir où le continent sera en mesure de concrétiser le rêve de plusieurs générations d’Africaines: celui de faire de l’Afrique un acteur agissant sur la scène internationale et non pas une simple cible de pays et de compagnies en quête d’opportunités éphémères.

Le Maroc est prêt pour accueillir l’Observatoire sur les migrations, annonce Mohammed VI Le chef du gouvernement a présenté, lundi devant le 33e sommet ordinaire de l’Union africaine le rapport du roi Mohammed VI sur le suivi de la mise en place de l’Observatoire Africain des Migrations au Maroc. Le nouveau mécanisme «contribuera, à la faveur de données fiables et précises sur la migration, à élaborer des politiques claires, efficaces et réalistes», affirme le souverain.

L’instance «veillera à la mise en œuvre du pacte de Marrakech sur la migration à travers la collecte de données et la promotion de la coopération continentale et internationale dans le domaine de la migration (…) à travers l’encouragement de la migration régulière, la protection des droits des migrants et la promotion d’un investissement nouveau au service du développement», a-t-il expliqué.

Le rapport de S.M le Roi sur l’Observatoire africain des migrations présenté devant le Sommet de l’UA Le changement climatique constitue un «moteur de la migration forcée en Afrique», souligne le rapport de S.M le Roi Mohammed VI sur le suivi de la mise en place de l’Observatoire africain des migrations au Maroc, présenté par le chef du gouvernement, Saad Dine El Otmani, lundi devant le 33ème Sommet ordinaire de l’Union africaine (UA), qui s’est tenu à Addis-Abeba. «Les inondations, la sécheresse et autres effets du changement climatique chassent des millions d’Africaines et d’Africains de chez eux», explique le rapport. La migration en Afrique pâtit d’une «fausse perception» et elle est en effet souvent associée uniquement à la pauvreté, alors que d’autres facteurs sont à l’origine du phénomène, comme le changement climatique, déplore le document, indiquant que l’Afrique est le continent le plus touché par le phénomène nouveau des «migrants climatiques». Sur les 140 millions de migrants potentiels du fait du changement climatique, plus de la moitié -soit quelque 86 millions de personnes- pourraient appartenir à l’Afrique subsaharienne, d’ici à 2050, fait savoir la même source. La migration est un facteur de développement puisque les migrants ont envoyé 529 milliards de dollars dans leurs pays d’origine en 2018, des transferts de fonds qui représentent très souvent des sommes supérieures à l’aide publique au développement et aux investissements directs étrangers, précise le rapport. Cependant, l’Afrique est le continent qui reçoit le moins d’envois de fonds avec un montant de 46 milliards de dollars, contre 143 milliards en Asie de l’Est et Pacifique, 131 en Asie du Sud, 88 en Amérique Latine et 59 en Europe et Asie orientale, fait savoir la même source. L’Afrique a les coûts les plus élevés au monde en matière d’envois de fonds, alors que l’objectif mondial est de 3% (cible 7 de l’ODD7), relève le rapport, précisant que le continent a des coûts «très onéreux» qui s’élèvent à plus de 9%, sans connaître de tendance à la baisse. Le transfert des fonds, qui représente un «potentiel inexploité», peut constituer un véritable levier pour le développement endogène du continent, d’après le document qui juge que la digitalisation des transferts de fonds doit s’accompagner d’une «traçabilité accrue» et d’une «utilisation productive et durable» de l’épargne par les diasporas, afin de créer de la richesse sur le long terme. La contribution des migrants au développement «ne se fait pas à sens unique» et «ne se résume pas seulement aux transferts de fonds vers les pays d’origine; elle contribue également au développement au sein des pays d’accueil et ce, d’autant plus qu’un grand nombre de migrants internationaux se trouvent dans les pays en développement, précise la même source. Pour autant, les stéréotypes autour des migrants africains demeurent un «lieu commun universel», regrette le Souverain, notant que les approches sécuritaires, les instrumentalisations politiciennes et les calculs électoraux participent à la déformation du phénomène migratoire. La migration internationale n’est pas africaine, l’Afrique est davantage une terre d’immigration que d’émigration et la migration africaine est intra-régionale, affirme le rapport à se sujet.

Le Maroc doublement primé à Addis-Abeba Le Maroc s’est vu décerner, lundi, à Addis-Abeba, deux prix de l’Union africaine (UA), récompensant les efforts du Royaume en matière de lutte contre les changements climatiques et de transformation de l’agriculture en Afrique. Il s’agit du prix de la meilleure performance en matière de changement climatique et du prix de la meilleure performance de l’année 2020 pour la mise en œuvre de la Déclaration de Malabo de 2014 relative à la transformation de l’agriculture africaine. Ces prix, décernés au Royaume à l’occasion du 33ème Sommet ordinaire de l’UA qui se tient dans la capitale éthiopienne, constituent une autre reconnaissance des efforts déployés par le Maroc en faveur du développement du continent. Les changements climatiques représentent un défi de taille pour l’Afrique, le continent le plus exposé aux effets de ces changements avec leur lot de cyclones, d’inondations et de cycles prolongés de sécheresse. Les pas franchis par le Maroc, à la faveur d’une stratégie visionnaire de développement des énergies renouvelables, positionnent le Royaume au premier rang de la lutte contre les changements climatiques en Afrique. L’expertise du Royaume est aujourd’hui sollicitée partout dans le continent, de la région du Sahel jusqu’aux Etats insulaires, des régions qui bénéficient déjà du savoir-faire développé par le Maroc dans ce domaine intrinsèquement lié à l’avenir de l’Afrique. Dans le domaine agricole, le Plan Maroc Vert a été cité lors du Sommet comme modèle duquel de nombreux pays africains frères souhaitent s’inspirer dans le cadre de leurs efforts visant à répondre aux attentes de leurs populations en termes de développement durable.

Les points clés du rapport Royal Voici les points clés du rapport de S.M le Roi Mohammed VI sur le suivi de la mise en place de l’Observatoire africain des migrations au Maroc, présenté par le chef du gouvernement lundi devant le Sommet de l’UA :

  1. La migration en Afrique pâtit d’une fausse perception. Elle est en effet souvent associée uniquement à la pauvreté, alors que d’autres facteurs sont à l’origine du phénomène, comme le changement climatique, qui constitue un moteur de migration forcée en Afrique.

  2. L’Afrique est le continent le plus touché par le phénomène nouveau des «migrants climatiques». Sur les 140 millions de migrants potentiels du fait du changement climatique, plus de la moitié -soit quelque 86 millions de personnes- pourraient appartenir à l’Afrique subsaharienne, d’ici à 2050.

  3. La migration est un facteur de développement. Les migrants ont envoyé 529 MM$ dans leurs pays d’origine en 2018. Le continent reçoit le moins d’envois de fonds avec 46 MM$, contre 143 MM$ en Asie de l’Est et Pacifique, 131 MM$ en Asie du Sud, 88 MM$ en Amérique latine et 59 MM$ en Europe et Asie orientale.

  4. La migration internationale n’est pas africaine. Moins de 14% seulement des migrants internationaux sont africains, soit moins d’un 1 migrant sur 5 qui est africain.

  5. La migration africaine est intracontinentale. Moins de 3% de la population africaine a émigré à l’international. Les trajectoires africaines ne sont pas Sud-Nord, mais Sud-Sud. Depuis 2005, la migration Sud-Sud a augmenté plus rapidement que la migration Sud-Nord.

  6. L’Observatoire africain des migrations vient en réponse à un besoin structurel en matière de données fiables sur les migrations. Les données sur les migrations sont aussi rares qu’essentielles et s’appuie sur l’idée fondamentale selon laquelle une meilleure gouvernance de la migration requiert une amélioration significative des données quantitatives et qualitatives sur la migration.

  7. L’Observatoire africain des migrations est une institution de l’Union africaine articulée autour d’une triple fonction de compréhension, d’anticipation et d’action.

  8. Grâce à l’Observatoire que le Maroc abritera, l’Afrique disposera d’un outil de plaidoyer et d’aide à la prise de décision. Les données migratoires solides et fiables constituent autant d’outils indispensables à l’élaboration de politiques pertinentes, efficaces et adaptées à la réalité.

  9. Ce mécanisme régional de collecte, d’analyse, de gestion et d’échange de données dote l’Afrique d’un levier de développement.

  10. Instrument africain en faveur de la coordination, l’Observatoire implique une double coordination : au niveau national entre les différents départements et au niveau continental entre les différentes communautés économiques régionales.

  11. L’Observatoire est également un outil en faveur de la mise en œuvre du Pacte de Marrakech sur les migrations, lequel reconnaît la nécessité d’optimiser les avantages globaux de la migration, tout en tenant compte des risques et des défis que rencontrent les migrants et les communautés dans les pays d’origine, de transit ou de destination.

  12. Le Maroc propose d’accueillir, le 10 décembre 2020, le 1er Forum régional africain pour la mise en œuvre du Pacte de Marrakech. Il servira de réunion préparatoire africaine au Forum d’examen des migrations internationales de 2022.

  13. Le Maroc est disposé à partager son expérience nationale en matière de gestion migratoire – reconnue par les Nations unies comme modèle pouvant inspirer d’autres pays – avec les pays frères africains qui le souhaitent.

  14. Les mesures prises par le Maroc pour éradiquer le trafic de migrants ainsi que l’adoption d’un cadre juridique en matière de lutte contre la traite des personnes a pour dessein la réduction des situations de fragilité et de risques auxquels les migrants sont confrontés ainsi que la protection et le respect de leurs droits.

  15. La politique migratoire du Maroc constitue une dimension fondamentale de la politique africaine du Royaume, en ce qu’elle vise, entre autres, à lutter contre les causes profondes de la migration.

  16. A travers l’intégration du binôme migration-développement dans ses politiques publiques, le Maroc contribue, en effet, à favoriser l’émergence, le développement et la prospérité du continent africain, dans son intégralité.


Revue de presse

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