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L'algérie, l'Afrique du Sud et la Tunisie, vont-ils rebarrer la route au Statut bien dû d’observateur accordé à Israël à l’union Africaine.

“Les expulseurs seront à leur tour expulsés.”... au suivant!!!

De la même façon dont l'Afrique du Sud ont expulsé l'ambassadeur israélien auprès de l'Union Africaine, l'ambassadeur sud africain aux États-Unis déclaré persona non grata.

En effet, les Etats-Unis ont donné soixante-douze heures à l’ambassadeur sud-africain à Washington, Ebrahim Rasool, pour quitter le territoire après avoir été déclaré «persona non grata», vendredi, par le chef de la diplomatie américaine.

Union africaine: L’algérie rejette le statut d’observateur d’Israël…L’algérie entre en Confrontations avec Israël et Rejette son Statut bien dû d’observateur à l’union Africaine. 
L’Algésario: le «deux en un»; l’Algérie et son appendice polisarien… Antisémitisme viscéral

Après près de 20 ans d’efforts diplomatiques, Israël a obtenu jeudi le statut d’observateur auprès de l’Union africaine (UA). Israël détenait auparavant le statut d’observateur auprès de l’Organisation de l’unité africaine (OUA), mais a été longtemps contrecarré dans ses tentatives de le récupérer après la dissolution de l’OUA en 2002 et son remplacement par l’UA. « Cela corrige l’anomalie qui existe depuis près de deux décennies et constitue une partie importante du renforcement du tissu des relations étrangères d’Israël », a déclaré un communiqué du ministère israélien des Affaires étrangères.

Toutefois, cette accréditation n’a pas été du goût d’Alger qui dans un communiqué ce lundi l’a dénoncé. « La récente décision du président de la Commission de l’Union Africaine (UA) d’accueillir un nouvel observateur qui relève de ses prérogatives administratives n’est pas de nature à altérer le soutien constant et actif de l’organisation continentale à la juste cause palestinienne », a déclaré le ministère algérien des Affaires étrangères dans un communiqué sans nommer expressément Israël.

Prise sans le bénéfice de larges consultations

D’après Alger, cette décision a été prise unilatéralement par le bureau de la Commission de l’UA sans avoir consulté les Etats membres de l’organisation, en violation des principes de l’acte constitutif de l’UA. « Prise sans le bénéfice de larges consultations préalables avec tous les États membres, cette décision n’a ni la vocation, ni la capacité de légitimer des pratiques et comportements dudit nouvel observateur qui sont totalement incompatibles avec les valeurs, principes et objectifs consacrés dans l’Acte Constitutif de l’Union Africaine », a estimé le ministère.

Un non-évènement

La diplomatie algérienne a également déploré l’« agitation médiatique » qui a entouré l’accréditation qui selon elle « relève davantage du non-évènement ». « Les modes de fonctionnement de l’Union africaine ne permettent aucune possibilité pour les 87 États observateurs extra-Africains d’influencer les positions de l’Organisation continentale, dont la détermination est la compétence exclusive de ses États membres », a insisté le ministère.

Réaction d’Israël après son adhésion à l’Union africaine

Le ministère israélien des Affaires étrangères, dans son premier communiqué au sujet de son adhésion à l’Union africaine – tel que publié ci-dessous – a écrit que l’Union africaine comprend 54 pays.

Ledit communiqué a été modifié par une certaine presse
Une semaine après, l’algérie revient à la charge.

Dans une note signée conjointement, quelques ambassadeurs à savoir: Addis-Abeba de l’Algérie, de l’Egypte, de la Tunisie, des Îles Comores, de Djibouti, de la Mauritanie et de Libye, ont signifié à la Commission de l’Union africaine leur opposition à  l’acceptation d’Israël comme membre observateur, estimant que «le président de la commission de l’UA a commis un dépassement procédural et politique».

Les signataires soulignent que le président de la Commission a pris «une initiative sur une question politique sensible, à propos de laquelle l’Union africaine, aux plus haut niveau de prise de décision et depuis longtemps, a pris des résolutions claires exprimant sou soutien indéfectible à la question palestinienne et condamnant les pratiques d’Israël sous toutes leurs formes au détriment du peuple palestinien frère et qui sont en contradiction avec les intérêts de l’Union africaine, ses valeurs, ses idéaux et ses résolutions».

Les sept États signifiant par conséquent leur «refus officiel » de l’acceptation par le président de la Commission des lettres de créance de l’ambassadeur d’Israël en date du 22 juillet et demande au même président d’inclure la question dans l’ ordre du jour de la prochaine session du conseil exécutif conformément au règlement de l’octroi de la qualité de membre observateur.

Dans la note, il est reproché au président de la Commission de n’avoir pas pris compte, contrairement à ses prédécesseurs, des figurant idéaux et objectifs dans les statuts de l’UA, des résolutions de déjà prises, des intérêts de l’organisation et des avis des États membres et des critères d’octroi de la qualité de membres observateurs adoptés par le Conseil exécutif en 2005.


Le chef de la milice du polisario rencontre discrètement un ministre israélien en Equateur

Le chef de la milice du Polisario a rencontré, mercredi à Quito, en marge de l’investiture du président équatorien Lenin Moreno, le ministre du Likud, Ayoub Kara. Une rencontre discrète qui contredit le discours anti-israélien et la profession de foi «pro-palestinienne» du front séparatiste.

Mais ce qui est étonnant, c’est qu’en marge de l’investiture du nouveau président équatorien, Lenin Moreno, le chef du Polisario rencontre « discrètement » un ministre du Likoud, en l’occurence Ayoub Kara. Brahim Ghali ne savait peut-être pas qu’il allait être pris en flagrant délit de « tchatche » avec le ministre israélien, comme en atteste ce cliché de leur rencontre diffusé par le très sérieux quotidien israélien « The Times of Israël ».

Le quotidien israélien rapporte même la teneur d’un tweet du ministre du Likoud où il affirme avoir été « surpris » de l’accueil « chaleureux » qui lui a été réservé à Quito, à l’issue de cette rencontre qu’il a eue en catimini avec le chef de la milice du Polisario. La photo prise de Brahim Ghali avec le ministre israélien démontre que cette rencontre s’est déroulée dans une ambiance décontractée, prouvant ainsi que le chef du Polisario n’était nullement dans la gêne. Loin s’en faut, Brahim Ghali, à l’instar de son prédécesseur, Mohamed Abdelaziz, profitaient de la moindre occasion pour quémander une photo auprès d’un dirigeant étranger.

Seulement voilà, il se trouve que le dirigeant rencontré mercredi est un ministre israélien. Un représentant d’un Etat israélien que le front Polisario, tout comme le régime algérien, ont toujours vilipendé publiquement, affirmant se mettre du côté du peuple palestinien colonisé et opprimé.

Israël accuse l'algérie d'avoir expulsé une diplomate israélienne... alger accuse Pretoria

Pour parvenir à ses fins, l'Algérie a mené une campagne de lobbying très importante

Une victoire diplomatique majeure : c'est ainsi qu'a qualifié la presse algérienne pro-gouvernementale l'exclusion d'une diplomate israélienne du dernier sommet de l'Union africaine.

La presse algérienne s’était vite empressée de crier « victoire » en affirmant avoir réussi à faire exclure « Israël » d’une réunion du sommet des chefs d’État de l’Union africaine, qui s'est tenue, dans la capitale éthiopienne Addis-Abeba.

Panique à Alger

L’Algérie fait un nouveau rétropédalage dans l’affaire de l’expulsion d’une responsable israélienne d’une réunion du Sommet des chefs d’État de l’Union africaine (UA). Après voir clamé être à l’origine de son expulsion, la peur d’un retour de bâton a fait modifier le discours officiel.

La chaîne publique de télévision "'Al24 News", médias inféodés à la junte militaire algérienne, a "essuyé son couteau" en accusant l'Afrique du Sud

"Le ministre des Relations internationales et de la Coopération est le ministère des Affaires étrangères du gouvernement de la République d'Afrique du Sud révèle les coulisses de l'expulsion de la délégation d'observateurs israéliens du sommet de l'Union Africaine." a publié Al24 News.

« C’est un erreur stratégique que de penser que l’Algérie a été la seule à se poser contre la présence d’Israël au siège de l’Union africaine. Nous sommes seulement un membre comme tous les membres et tout le monde voulait exclure Israël, dont des pays qui ont normalisé » Amar Belani (Ex. secrétaire général du ministère algérien des Affaires étrangères)

Alger y voit ainsi l'aboutissement d'efforts engagés depuis 2021 pour que soit retiré son statut d'observateur de l'Union africaine à l'Etat hébreu, a relaté le chroniqueur Abdou Semmar dans le magazine Mag'hreb sur i24NEWS.


Pour parvenir à ses fins, l'algérie avait déjà obtenu qu'un comité d'experts se réunisse afin d'étudier la question, et avait initié un rapprochement avec l'Afrique du Sud - elle aussi opposée à ce statut attribué à Israël. Elle a également mené une campagne de lobbying très importante auprès de l'Ethiopie, du Soudan, de l'Angola et d'autres pour leur demander de cesser de soutenir l'adhésion ou toute forme de rapprochement de l'Union africaine avec Jérusalem.

Israël a obtenu le statut d'observateur à l'Union africaine qu'il réclamait depuis des années en juillet 2021. Se félicitant de cette décision, l'ancien Premier ministre israélien Yaïr Lapid avait affirmé qu'elle "corrigeait une anomalie qui avait perduré pendant près de deux décennies, et qu'elle représentait une partie importante du renforcement des relations extérieures d'Israël".

Alors qu'Israël entretient des relations avec 46 pays africains et que son influence diplomatique, économique et militaire sur le continent est incontestable, il détenait par le passé un statut d'observateur au sein de l'Organisation de l'unité africaine (OUA) jusqu'à sa transformation en Union africaine en 2002.

L'Union africaine prise en otage par un petit nombre de pays extrémistes comme l'Algérie et l'Afrique du Sud, animés par la haine et contrôlés par l'Iran

Alger est en train d’offrir à l’Iran une porte d’entrée et une voie pour mener son projet prosélyte radical de soi-disant «révolution islamique», au Maghreb arabe, en Afrique et en Europe…

27 août 2021, c’est le porte-parole de son ministère des Affaires étrangères qui s’est exprimé sur la question.

Cette déclaration du ministre israélien des Affaires étrangères, Yair Lapid, lors d’une conférence tenue le 12 aoûts au Maroc, au sujet des liens qu’entretient l’Algérie avec l’Iran renferme "des informations précises" , a indiqué le porte-parole des Affaires étrangères israéliennes, Hassan Kaiba.

"L’Algérie est devenue, depuis le début du printemps arabe, un passage pour les mouvements terroristes à l’instigation de l’Iran" , a souligné M. Kaiba dans une déclaration au site électronique “Madar21”.

La coopération algéro-iranienne nous préoccupe surtout que l’Iran vise à s’infiltrer dans tous les pays" , a affirmé le porte-parole, relevant que les agissements iraniens dans la région du Moyen-Orient sont à l’origine de la destruction et du terrorisme sévissant notamment en Irak, en Syrie et au Yémen.

Il a, dans ce sens, relevé que "l’Iran continue de s’immiscer dans les affaires de pays africains, dont l’Algérie" .

Provocation en Algérie: le petit-fils de Mandela appelle à la guerre contre le Maroc

L’Algérie a de nouveau profité d’une compétition sportive pour s’en prendre au Maroc. Lors de l’ouverture du championnat d’Afrique des Nations (CHAN) vendredi soir, un sud-africain connu pour son opposition au Royaume a été invité à prendre la parole. Zwelivelile Mandela, petit-fils de Nelson Mandela, a appelé à la guerre contre le Maroc pour « libérer le Sahara occidental de l’injustice ».

Zwelivelile Mandela, qui était sur scène pour l’ouverture du « CHAN », et qui avait ensuite été reçu par le président algérien Abdelmadjid Tebboune, a appelé à la guerre contre le Maroc, déclarant dans son discours : « Allons combattre pour libérer le Sahara Occidental de l’injustice ».

La révélation de documents secrets qui datent de 2011, atteste de l’implication de la mafia militaro-politico-financière algérienne dans la Guerre civile syrienne et principal soutien du régime génocidaire de Bachar el-Assad.

 
 
 

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