"Le pouvoir n'appartient plus à celui qui détient l'information, mais à celui qui sait la traiter et l'utiliser".
Des journalistes en treillis et rangers... La France doit procéder à un “nettoyage et assainissement de son paysage médiatique”
Qui détient l'information détient le pouvoir
Qui gouverne (réellement) la France?
C'était sur un plateau de télévision, sur la chaîne El Bilad TV , le pseudo-journaliste algérien, réputé pour son goût de la controverse, Aref Mechakra, jure de dire la vérité, toute la vérité et rien que la vérité: "la France est gouvernée par l'algérie et rien ne se fait en France sans l'accords d'alger"👇🏿
"Lorsque la tête du serpent est coupée, le reste n'est qu'une corde."
Aref Mechakra accusé par son compatriote de travailler à partir de Paris pour des lobbys douteux
Un grave dérapage s’est déroulé hier soir sur le plateau de la chaîne El Bilad Tv quand le polémiste Aref Mechakra s’est violemment accroché avec le militant du parti FNA (Front National Algérien) Mohamed Bournissa.
Le militant du FNA qui a dénoncé en direct les méthodes douteuses de Aref Mechakra, l’accusant de travailler à partir de Paris pour des lobbys douteux, a reçu un verre d’eau rempli au visage de la part de ce dernier, alors qu’il s’apprêtait à quitter le plateau visiblement en colère contre les attaques du militant politique.
Un dérapage grave qui aurait pu se terminer dans une bagarre, mais le militant du FNA Bournissa a gardé le calme prenant même la peine de boire de son verre, avant de quitter le plateau alors qu’il aurait pu rendre le même geste.
Aref Mechakra connu pour ses exhibitions en nuisette et porte-jarretelles roses, sur les réseaux sociaux, est l’un des acolytes du « rat de Londres ». Il n’y a pas longtemps, il avait purgé une peine d’une année de prison en Algérie pour avoir été pris en flagrant délit, à Alger, avec un ressortissant étranger. Selon le quotidien algérien « Al-Hayat », il indiquait à ce ressortissant des sites sensibles relevant de la sécurité de l’Etat.
Devant le juge d’instruction du tribunal d’Alger, « l’homme à la nuisette rose », comme l’appellent ses intimes, s’est défendu en expliquant que sa relation avec ce ressortissant étranger est d’ordre sentimental. Il l’avait connu à l’hôtel Georges V à Paris où Aref Mechakra travaille comme chasseur (bagagiste). Après avoir purgé une peine d’une année de prison, il retourne en France où il poursuit ses activités au profit des services algériens avec plus de zèle pour effacer les traces de l’accusation de trahison qui le poursuit à ce jour.
Entre Elkabbach et la junte militaire algérienne via (Algérie patriotique)... "Qui a menti?"
Le "président" (mal élu et décrié) Abdelmadjid Tebboune avait accordé un entretien à la chaîne française d’information en continu CNews, à l’occasion du 60e anniversaire de l’"Indépendance", mais l’entretien n’a pas été diffusé à 17h (heure française) comme annoncé par Jean-Pierre Elkabbach (journaliste emblématique (agressif, indiscipliné, sérieux...)).
Erreur de la part de l’animateur de l’émission «Repères» ou changement de programmation de dernière minute...?
A l’heure où nous rédigeons ces lignes, CNews n’a donné aucune information sur cette annulation ou ce report. Black-out total donc à Paris.
«Jean-Pierre Elkabbach vous donne rendez-vous pour un entretien exclusif avec le président de la République algérienne. Une des rares interviews accordées par le président algérien à l’Europe. Au programme, les liens franco-algériens, la situation géopolitique, l’Algérie sous l’ère Tebboune, ses relations avec le président Macron et d’autres thèmes», a écrit le journaliste français dont le message a fait le tour des rédactions et circulé à grande échelle sur les réseaux sociaux.
"Le "président" Tebboune n’a pas accordé d’interview à Jean-Pierre Elkabbach"
Aucune réaction de l'algérien Haïm Jean-Pierre El Kabbach...!!!
Le 19 avril 2022, Christophe Castaner, Bernard Laporte, Karim Zeribi, Francis Spziner, Jean-Pierre Elkabbach ou encore l’association Musulmans de France ont participé à un “iftar républicain” de soutien à la candidature d’Emmanuel Macron organisée par la Grande Mosquée de Paris. Une soirée commanditée par le pouvoir algérien.
Ferhat Mehenni censuré sur CNEWS...
Haïm Jean-Pierre El Kabbach, dit Jean-Pierre Elkabbach, né le 29 septembre 1937 à Oran (Algérie) et mort le 3 octobre 2023 à Paris, est un journaliste, homme de médias, présentateur de radio et de télévision et éditorialiste français. Après avoir débuté sur Radio Alger dans les années 1960, il devient présentateur de journaux télévisés et d'émissions politiques telles que Actuel 2 et Cartes sur tables, tout d'abord à l'ORTF puis sur Antenne 2. Il travaillera ensuite sur La Cinq, France 2 et France 3, TF1 ainsi que Public Sénat, où il anime Bibliothèque Médicis pendant dix-huit ans. De janvier 2018 à l'été 2019, après être devenu conseiller du président de la chaîne d’information en continu CNews, à plus de 80 ans il intervient quotidiennement dans la matinale de la chaîne, pour y réaliser une interview politique d'une dizaine de minutes. Après une interruption pour raisons de santé, il reprend l’antenne sur la chaîne en animant une émission d’interviews chaque dimanche pendant une heure vers la fin d’après-midi. En août 2021, il effectue son grand retour sur l'antenne d'Europe 1.
Ferhat Mehenni censuré sur CNEWS...
Le 2 octobre 2022, Ferhat Mehenni, président du Mouvement pour l’autodétermination de la Kabylie (MAK), était l’invité du journal télévisé du dimanche sur CNEWS. L’annonce en avait été faite tout au long de la semaine précédente. Mais le jour J, à deux minutes de son entrée sur le plateau, et alors qu’il est déjà passé par l’étape maquillage et patiente dans la salle d’attente, le chanteur kabyle se voit annoncer par le journaliste censé l’interviewer, Ivan Roufiol, la déprogrammation in extremis de son interview.
l’annulation d’un passage télévisé du chef du Mouvement pour l'autodétermination de la Kabylie, Ferhat Mehenni, dans la chaîne conservatrice Cnews a suscité une vague de critiques au Maroc. La déprogrammation de l’émission où il devait passer a été attribuée à une intervention de l’Elysée sous pression des autorités algériennes.
Quelques instants après, un responsable de la chaîne CNEWS débarque en trombe dans la salle d’attente et annonce au président Ferhat Mehenni l’annulation de son passage sur CNEWS.
Il informa également le journaliste Ivan Rioufol, chargé de faire l’interview et qui n’en revenait pas de l’inélégante ingérence dans la gestion de l’information.
«Qu’est-ce qu’il s’est passé?», est-il demandé à Ivan Roufiol.
«Je ne sais pas, on a le droit de ne rien dire», rétorque-t-il, visiblement embarrassé.
«C’est l’Elysée… L’Algérie a dû intervenir», répond calmement Ferhat Mehenni.
«Je t’ai annoncé depuis une semaine et la direction est au courant depuis une semaine», se justifie Ivan Roufiol.
«C’est vraiment invraisemblable, c’est la première fois que ça arrive», poursuit Ivan Roufiol à l’attention de Ferhat Mehenni, en glissant au passage penser que «(son) explication est la bonne, il y a dû y avoir une pression d’Alger».
"Mas Ferḥat At Sɛid, Aselway n ANAVAD AQVAYLI UƐḌIL, au sujet de la censure que vous avez subi à CNEWS, je vous dis ceci: "En vous empêchant de parler vous avez tout dit". Vive la kabylie libre indépendante. Tilelli Imeḥvas imaɣnasen n taqvaylit."
Mais par un étrange hasard, c’est ici, au Maroc, sur les réseaux sociaux du pays, que les autorités françaises ont décidé de réagir à cette information en publiant un démenti via leur ambassade, sur Twitter.
Au Maroc, nombreux sont ceux qui ont vu dans cette séquence un scandale qui porte atteinte à l’image de la France en tant que foyer de la démocratie et de la liberté de la presse. Face à la vague de critiques sur les réseaux sociaux, l'Ambassade de France au Maroc a jugé nécessaire de réagir via un communiqué très court, diffusé ce mercredi. L’Ambassade a démenti toute intervention des autorités françaises pour l’annulation de l’émission en question. “L’Ambassade de France a pris connaissance des déclarations à la presse et des commentaires de la presse laissant entendre que les autorités françaises seraient intervenues auprès d’une chaîne de télévision française pour qu’elle ne laisse pas s’exprimer l’un des invités d’une émission d’information. Elle dément formellement ces allégations”, lit-on sur le communiqué, qui insiste sur l’engagement de la France en faveur de la liberté d’expression et la liberté de la presse “partout dans le monde”. En effet, Mehenni a été l’invité du journaliste français Ivan Rioufol qui annoncé depuis plus d'une semaine qu’il allait le reçevoir dans son émission pour parler du sort de la communauté kabyle en Algérie. Lorsqu’il s’est présenté au plateau de Cnews, le chef du MAK a été étonné d’apprendre de la part du journaliste Ivan Rioufol son passage a été annulé. La séquence a été enregistrée dans une vidéo qui a fait le tour des réseaux sociaux où le journaliste français s’est montré lui-même interloqué et ébahi de ce changement brusque. “Moi-même je ne comprends rien, la direction est au courant depuis plus d'une semaine”, a-t-il confié à son invité qui s’est dit convaincu que son passage a été annulé sous pression de l’Elysée qui aurait, selon lui, succombé aux pressions d’Alger.
Quelle mouche a donc piqué l’ambassade de France au Maroc pour nous gratifier (nous Marocains) d’un démenti qui ne nous concerne pas?
Le communiqué de l’ambassade de France à Rabat est totalement déplacé car cette mission diplomatique interagit avec un public marocain qui n’est absolument pas concerné par un incident survenu en France, sur une chaîne de télévision française, concernant un Kabyle.
Algérie patriotique, joue le rôle de pompiers
Algérie patriotique est un site web algérien de désinformation, Algérie Patriotique a été fondé le 18 février 2012 par Lotfi Nezzar, fils du génocidaire, le général-major et ancien ministre de la Défense Khaled Nezzar.
Suisse - Le Ministère public de la Confédération (MPC) a procédé à l’audition finale de Khaled Nezzar. Le dossier du MPC retient que de nombreux crimes de guerre et crimes contre l’humanité ont été commis alors que M. Nezzar dirigeait la junte militaire et officiait comme Ministre de la défense au début de la guerre civile algérienne. Après plus de 10 ans d’instruction et de nombreux rebondissements judiciaires, la fin de la procédure ouvre la voie à un prochain renvoi en jugement de M. Nezzar devant le Tribunal pénal fédéral (TPF) pour des faits gravissimes constitutifs de complicité de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité, notamment des exécutions extrajudiciaires, des actes de torture et des disparations forcées.
Karim Zéribi, ce repris de justice
Karim Zeribi, comme à son habitude, soutient la dictature fasciste du régime algérien. Ses actions sont systématiquement en opposition avec les valeurs humaines et occidentales. Comment justifier son invitation sur des plateaux télévisés alors qu’il nourrit une telle animosité envers un homme de 75 ans, Boualem Sansal?
Karim Zeribi, défend ouvertement un régime illégitime.
Karim Zeribi, un agent du régime algérien.
Karim Zeribi, consultant presse, personnalité politique et médiatique en France.... doit être interdit de participer aux émissions télévisées françaises et renvoyé en algérie, son pays d’attache. Il n’a pas sa place dans le monde démocratique ni parmi les intellectuels du monde libre.
Karim Zéribi, ce repris de justice
L'ex-député européen Karim Zéribi avait condamné en septembre 2020 à deux ans de prison avec sursis et trois ans d'inéligibilité
La cour d'appel d'Aix-en-Provence a aggravé la peine prononcée à l'encontre de l’ex député européen et chroniqueur radio et télé Karim Zéribi ce mercredi. Il a été condamné pour abus de confiance et abus de biens sociaux.
Les magistrats de la cour d'appel des Bouches-du-Rhône ont infligé ce mercredi une peine plus sévère qu'en première instance à l'ex-élu marseillais Karim Zéribi. Condamné le 9 septembre 2020 par le tribunal correctionnel de Marseille à deux ans de prison avec sursis et à une amende de 50.000 euros, le chroniqueur (RMC, CNews) a écopé de trois ans de prison avec sursis et une amende de 80.000 euros pour abus de confiance et abus de biens sociaux.
Détournements et "ambition politique"
"Il a détourné des fonds publics (des subventions versées à deux associations) pour les affecter à des dépenses clairement personnelles et destinées à accompagner ses ambitions politiques", a expliqué la présidente du tribunal Céline Ballérini en rendant sa décision.
Aujourd'hui directeur de l'engagement sociétal et de la transition écologique de la SNCF, l'ancien élu a été reconnu comme le gérant de fait de deux associations qu'il avait créées pour rapprocher la jeunesse des banlieues de la citoyenneté et du monde du travail avant d'en abandonner la présidence.
"C’est un procès qui a un caractère politique alors que je n’étais pas élu, ni en responsabilité politique, ni détenteur d’un mandat, ni capable d’attribuer quelque subvention que ce soit", a poursuivi l'accusé à sa sortie.
Les deux associations, Agir pour la Citoyenneté (APC) puis APC-Recrutement, étaient subventionnées par l'Etat, le conseil régional Provence-Alpes-Côte d'Azur et le conseil général des Bouches-du-Rhône.
Intérêts personnels et "calcul politique"
Bien peu d'actions correspondant à leur objet associatif ont été menées, souligne le tribunal, mais les deux structures ont "clairement contribué à fonctionner dans son seul intérêt et à cacher des démarches personnelles et effectuées suivant un calcul politique".
Evoquant "un mélange absolu des genres", les juges ont relevé que les salariés de ces associations travaillaient davantage pour les campagnes électorales de Karim Zéribi.
Financement d'un sondage portant en partie sur sa notoriété, paiement de loyers de son cercle de réflexion sont cités par le tribunal parmi des "agissements inacceptables et répétés".
L'ex-élu a également été reconnu coupable d'abus de biens sociaux dans la gestion d'une société en charge de gérer ses rémunérations de consultant d'où la peine complémentaire prononcée par le tribunal d'interdiction de gérer pendant cinq ans.
Le fils Zéribi parmi quatre autres accusés
Quatre co-prévenus, dont son fils désigné comme "gérant de paille" de cette société, ont été condamnés à des peines allant de trois à six mois de prison avec sursis.
Un sixième prévenu qui avait assuré la présidence de droit des deux associations en tentant d'assainir leur situation financière est relaxé pour une partie des faits mais reconnu coupable pour des encaissements de sommes présentées comme des remboursements de frais injustifiés aux yeux du tribunal.
Karima Khatim, Présidente de Amitié Franco-Algérienne AFA
Scandale d'ingérence communautaire et de double allégeance, l'élue LFI, Karima Khatim, cache au plateau CNews qu'elle a dirigé de la campagne présidentielle du président algérien Abdelmadjid Tebboune en Île de France.
Karima Khatim, l'élue LFI qui vole au secours du président Tebboune après le scandale des influenceurs
La présidente de l’association Amitié Franco-Algérienne (AFA), Karima Khatim, également élue au Blanc-Mesnil (Seine-Saint-Denis), était l’invitée de Jean-Marc Morandini sur CNEWS, vendredi 10 janvier.
Jean-Marc Morandini présentait un nouveau numéro de « Morandini Live » sur CNews, ce vendredi 10 janvier. Une émission qui a donné lieu à de vives tensions lors du débat sur le renvoi en France d'un influenceur qui avait été expulsé vers l'Algérie après une vidéo appelant à la violence.
« L'Algérie cherche à humilier la France », a estimé le ministre de l'Intérieur, Bruno Retailleau. Des propos qui ont fait réagir sur le plateau de « Morandini Live ». « Je ne vois pas en quoi l'Algérie humilie la France ! Il n'y a plus de diplomatie entre la France et l'Algérie. Les liens sont totalement rompus », a jugé Karima Khatim, élue municipale LFI au Blanc-Mesnil (Seine-Saint-Denis). Et d'ajouter : « On essaye de fracturer la population algérienne en France. Je ne laisserai pas faire !... On met tout sur le dos de l'Algérie. On fait de la chasse aux Algériens. L’Algérie matin, midi et soir ».
« C’était de la colonisation »
Jean-Marc Morandini l'interpelle alors, lui reprochant de ne pas parler « des gens qui disent dans leurs vidéos "ni**e la France" », ce à quoi Karima Khatim répond : « Mais bien sûr que oui j’en parle ! Bien sûr que oui nous condamnons, mais avec une diplomatie. Il faut reprendre le dialogue », exhorte-t-elle, volant au secours du président algérien, Abdelmadjid Tebboune. « Quand le président algérien commence son oratoire », poursuit-elle, citant le dirigeant, « il dit clairement "nous ne demandons pas de compensations, nous ne demandons même pas de vous excuser de ce qu’ont fait vos ancêtres, nous demandons juste une reconnaissance" ». Une phrase qui fait immédiatement bondir un invité du plateau, qui reproche à Tebboune d’avoir déclaré que les Français « ont fait le génocide en Algérie ». «Vous savez ce que ça veut dire le génocide ?», a-t-il demandé à l’élue LFI qui lui répond : «Quand vous mettez des Algériens dans une grotte et que vous les enfumez, comment ça s’appelle ?». Lorsque Morandini s’interpose, invoquant les affres de la guerre, Karima Khatim répond : « Ce n’est pas une guerre, c’était de la colonisation…».
L’édile insoumise a par ailleurs assuré être « pour la réconciliation et la consolidation… », ce à quoi Jean-Marc Morandini a répondu : « Vous ne défendez que l'Algérie ! Défendez la France ! ». Une situation « déplorable », selon Karima Khatim, qui estime que l’animateur demande aux Algériens « de choisir entre leur père et leur mère. Il faut défendre qui ? Il faut défendre la paix et la voie de la diplomatie », a-t-elle rétorqué, ajoutant qu’elle est « l’ambassadrice de la France en Algérie et l'ambassadrice de l'Algérie en France ».
Pour rappel, Karima Khatim a été la Coordinatrice de la campagne électorale région Île-de-France du candidat Abdelmadjid Tebboune lors de l’élection présidentielle algérienne anticipée du 7 septembre 2024 .
En sa qualité de Présidente de Amitié Franco-Algérienne AFA, Karima Khatim participe aussi à des opérations de lobbying en faveur du régime algérien.
Karima Khatim qualifie le mouvement kabyle MAK de terroriste
La journaliste franco-algérienne, Neila Latrous (la chèvre)
1ère grosse décision du nouveau patron de BFMTV: il vire Neïla Latrous de l’ITW politique du dimanche midi et la remplace par un journaliste de France TV.?
Neila Latrous est une journaliste franco-algérienne, née en 1986, à Lille. Elle est la correspondante de plusieurs médias français en Algérie et en Tunisie.
A force de faire la porte parole de la junte militaire algérienne en France, la chaîne d'info en continu BFMTV a viré la pseudo journaliste Neila Latrous comme une malpropre de l'interview ITW politique.
La journaliste franco-algérienne, Neila Latrous, profitant de l'absence d'Apolline de Malherbe avait installé une gêne intense sur le plateau de BFMTV en insistant sur le sujet de la santé du Roi Mohammed VI du Maroc.
Malgré les réponses du ministre des Affaires Étrangères, Jean-Noël Barrot, sur le réchauffement des relations franco-marocaines, Neila Latrous insiste en établissant ensuite un parallèle entre la santé de Joe Biden ou encore Michel Barnier.
Les interviews se meuvent en interrogatoires
En l’absence d’Apolline de Malherbe sur le plateau de BFMTV, Neïla Latrous était aux commandes du Face-à-Face. Ce jeudi 31 octobre, c’est Jean-Noël Barrot, le chef de la diplomatie français, d’être interrogé notamment sur la venue du président de la République au Maroc: “Deux images qui ont marqué cette visite: la première, celle de Mohamed VI se déplaçant difficilement, assez aminci, s’appuyant sur une canne. Ces images suscitent beaucoup de commentaires, et beaucoup d’interrogations, vous, comment vous l’avez trouvé?”, lui demande-t-elle.
Mais Jean-Noël Barrot refuse de répondre à cette question: “Alors pardon de vous le redire, mais ce sont trois images qui ont marqué cette visite d’État. La première, c’est la ferveur populaire dans laquelle le président de la République a été accueilli”, lance-t-il, avant d’être coupé par la journaliste: “Alors, ça c’est une façon de ne pas me répondre".
L’homme politique indique ainsi qu’il va lui donner une réponse: “J’y viens, j’y viens. La deuxième c’est l’ovation qui a été réservée par le Parlement marocain au discours du président de la République. Et la troisième image, c’est la joie des Français du Maroc, de voir cette relation entre nos deux pays…”.
Mais Neïla Latrous persiste à avoir sa réponse : “Mais comment vous avez trouvé le roi du Maroc, Mohamed VI ?”. Jean-Noël Latrous rétorque : “Cela ne m’appartient pas de commenter la santé du roi du Maroc”.
La chèvre relance encore Jean-Noël Barrot
Neïla Latrous continue: “Vous ne l’avez pas trouvé affaibli, vous avez pu le voir de près, vous l’avez trouvé en forme ?”. De quoi agacer l’homme politique : “Je vous assure, Neïla Latrous, qu’il ne m’appartient pas de discuter et de commenter la santé du roi du Maroc”.
Pour convaincre son invité de lui répondre, Neïla Latrous lui explique la raison pour laquelle elle lui pose cette question : “Pour tout vous dire, on s’est posé la question : ‘Est-ce qu'il fallait traiter ce sujet-là ?’ Puis on s’est dit, la semaine où Michel Barnier fait la transparence sur son opération, l’année où Joe Biden renonce à la présidence américaine pour des raisons de santé, il n’y avait pas lieu de faire un distinguo de traitement entre les dirigeants occidentaux et des dirigeants orientaux. C’est pour cela, que je me permets de vous reposer la question : comment vous l’avez trouvé ?”. “Et c’est pour ça que je me permets de vous ramener à ces trois images”, conclut-il.
Au cœur de l'empire du franco-algérien, Mehdi Ghezzar (Rafik Khalifa, Bis)
⚡ Le 28 août 2024, Mehdi Ghezzar, chroniqueur de RMC, a été évincé après des propos virulents contre le Maroc sur AL24.
📺 Le 25 août 2024, Ghezzar a qualifié le Maroc d'« État voyou » et accusé le pays de divers crimes, provoquant une indignation massive.
🚨 RMC a réagi rapidement en annonçant son éviction, soulignant que ses propos ne reflètent pas les valeurs de la radio.
Coup de tonnerre en cette rentrée des médias français. Ce mercredi 28 août 2024, Maroc, un chroniqueur bien connu de l’émission "Les Grandes Gueules" diffusée sur RMC, a été évincé de la radio après avoir tenu des propos extrêmement virulents à l’encontre du Royaume du Maroc lors d’une intervention sur la chaîne algérienne AL24. Ses déclarations choquantes ont provoqué son éviction immédiate.
Mehdi Ghezzar: son dérapage en direct sur le Maroc
Tout a commencé le 25 août 2024, lorsque Mehdi Ghezzar a participé à une émission diffusée sur AL24, une chaîne de télévision algérienne. Au cours de cet entretien, Mehdi Ghezzar s’en est pris violemment au Maroc, qualifiant le pays "d’État voyou" et dénonçant un supposé décret du gouvernement marocain interdisant les manifestations pro-Gaza et la discussion des victimes de Gaza dans les médias et les lieux de culte.
Il a également accusé le Maroc de devenir un "refuge de grands vendeurs de drogue, de prostitution, de pédophilie et de kidnapping d’enfants", comme vous pouvez l'entendre dans la vidéo ci-dessous.👇
Mehdi Ghezzar, homme d’affaires franco-algérien qui opère dans le business interlope des «bars à chichas [QG]» et ex chroniqueur de RMC.
Mehdi Ghezzar n’a non seulement jamais caché son rôle de lobby auprès de la diaspora de son pays d’origine, mais il a aussi soutenu ouvertement la président d’Abdelmadjid Tebboune.
Un positionnement politique qui a nourri son hostilité à l’égard du royaume.
Les déclarations de Mehdi Ghezzar ont suscité une énorme polémique sur les réseaux sociaux, où de nombreux internautes ont exigé une réaction de la part de RMC. L’un des premiers à réagir a été Eric Ciotti, président du parti Les Républicains, qui a appelé la radio à suspendre immédiatement le chroniqueur, dénonçant des propos "infâmes contre le royaume du Maroc".
RMC tranche dans le vif et vire son chroniqueur
Face à la montée des critiques, RMC n’a pas tardé à prendre des mesures. Ce 28 août 2024, Alain Marschall, l’un des animateurs des "Grandes Gueules", a annoncé en direct l’éviction de Mehdi Ghezzar.
"Suite aux propos inacceptables tenus par Mehdi Ghezzar sur une télévision étrangère, la direction de RMC et Les Grandes Gueules ont décidé de mettre un terme à la participation de Mehdi Ghezzar à l’émission", a-t-il déclaré. "RMC et les animateurs des Grandes Gueules se désolidarisent de ces propos tenus à titre personnel. Ceux-ci ne correspondent pas aux valeurs de RMC et des Grandes Gueules".
Mehdi Ghezzar, décrivait la stratégie d'influence algérienne en France
« La diaspora algérienne s'organise depuis 3 ans. Nous avons eu la chance de travailler avec l'ambassadeur [..] depuis 3 ans à peu près nous essayons de faire un travail collectif qui se base sur l'évolution de l'Algérie à travers les yeux des étrangers [..] renouveau du lobbying algérien [..] quand vous êtes la 1ère force migratoire dans un pays étranger, vous avez une influence certaine et pérenne [..] nous essayons de le faire tous les jours [..] on a un contact direct avec l'ambassadeur [..] en France vous avez une ligne directe avec les institutions diplomatiques (algériennes) »
Mehdi Ghezzar (Rafik Khalifa, Bis)
Le terrorisme se bat pour transmettre son message pour, ainsi, étendre son pouvoir. Cependant, il a besoin d’un intermédiaire, d’un médiateur, un communicateur (personne qui utilise efficacement les techniques de communication) qui va diffuser l’information, c’est ainsi qu’entrent en jeu les médias.
La «pêche» aux informations: Des images limpides pour répondre à nos interrogations.
Ils monopolise les plateaux en expert du terrorisme ou du djihadisme. Au prix de bourdes et de dérapages. Et au détriment d'historiens, de politologues ou de journalistes légitimes... Enquête sur le règne de ce pseudo-spécialiste.
Il est considéré, comme un "expert français" de référence en matière de terrorisme.
Wassim Nasr, "spécialiste" des réseaux jihadistes à France 24, est parvenu à s'entretenir en "exclusivité" avec l'émir d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), Abou Obeida Youssef al-Annabi. publiée (lundi 6 mars 2023), dans cette interview, Youssef al-Annabi. a vanté le succès de la "stratégie de recrutement" du groupe terroriste au Sahel. il rejoint France 24 en septembre 2011, et a travaillé à BFM TV, entre 2011 et 2012.
Le fixeur: Comment le journaliste Wassim Nasr recueille-t-il les informations?
Le fixeur est un collaborateur de l’ombre, c'est celui qui accompagne un journaliste, une équipe de tournage dans son pays dont il maîtrise le terrain, les codes, les enjeux. Il peut aussi servir de traducteur. Le terme vient de l’anglais "to fix", arranger, dépanner.
“Des affinités qu’il entretient avec Iyad Ag Ghali et Amadou Kouffa. Le premier et l’imam Dicko se connaissent bien pour avoir été formés en Arabie Saoudite et viennent tous deux du Nord. Tandis que le second, Amadou Kouffa, et l’ancien président du HCI parlent peul et semblent se connaître. Autant de similarités et de rapprochements qui font que l’imam Dicko serait l’interlocuteur idéal des chefs terroristes.” précise le site d’information Maliweb
L’imam Mahmoud Dicko reçu par Abdelmadjid Tebboune
Ingérence flagrante résulte en fait d’un double jeu du régime algérien, qui, tout en ayant peur de l’amplification du séparatisme touareg qui couve dans le Sud algérien, joue à la déstabilisation des pays frontaliers (Maroc, Mali, Niger, Libye et même Mauritanie), en croyant que c’est ainsi qu’elle peut assurer son leadership sur toute la région. Au final, le régime algérien s’est entouré tout seul d’une ceinture de feu qu’il semble craindre. Il est en crise ouverte avec la majorité des pays frontaliers.
Wassim Nasr et l'"exclusive" avec al-Annabi
Al-Annabi est un terroriste algérien qui agit en tant qu'"émir" ou chef actuel d’AQMI, un groupe terroriste de la branche d’Al-Qaïda en Afrique du Nord. Ce groupe terroriste opère dans plusieurs pays, dont le Mali, le Niger, le Burkina Faso, la Libye, la Tunisie et la Mauritanie.
Le chef extrémiste a reconnu que le terrorisme constituait une menace dans la région, décrivant le Sahel comme “l’épicentre du djihad aujourd’hui”.
Juste après sa désignation, Abou Oubaïda Youssef al-Annabi a reçu l’allégeance de plusieurs groupes djihadistes actifs au Sahel et rassemblés depuis 2017 au sein du Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans (GSIM, également appelé JNIM) d’Iyad Ag Ghaly.
Passionné des réseaux sociaux
Abou Oubaïda Youssef al-Annabi, dont le nom figure sur la liste noire américaine des « terroristes internationaux » depuis septembre 2015, est un féru des réseaux sociaux. Il dirigeait la branche médias d’Al-Qaïda au Maghreb islamique et apparaît régulièrement dans les vidéos du groupe.
Abou Obeida Youssef al-Annabi, originaire de la région d’Annaba en Algérie.
En 1992 ou en 1993, peu après le début de la guerre civile algérienne, il rejoint les rebelles islamistes. Il intègre ainsi le GIA, puis le GSPC. Il devient vers fin 2011 le chef de la choura, le conseil des notables d’AQMI et donc le successeur d’Abdelmalek Droukdel. Le 25 avril 2013, en réaction à la guerre du Mali, Abou Obeida Youssef al-Annabi appelle au djihad contre la France. Le 10 septembre 2015, il est inscrit sur la liste noire américaine des « terroristes internationaux »
Outre France 24, le journal français Le Monde s’est également retrouvé au cœur d’une controverse après avoir publié un long article en provenance de Tindouf sur le 16e congrès du "polisario", faisant état des menaces terroristes du Polisario à l’encontre du Maroc.
“Nous ne devrions pas seulement attaquer le mur, mais l’infrastructure économique du Maroc pour l’empêcher de profiter de nos ressources. Les Sahraouis des territoires occupés doivent participer à cette lutte. Il faudra peut-être envisager de s’appuyer sur des kamikazes”, a déclaré au journal Le Monde, Khalihna Mohamed, un milicien du Polisario.
Al-Aanabi avait répondu à 12 questions de France24 en 2019.
Ce n'était pas la première fois que France24 rentre pas en contact avec le chef terroriste Youssef al-Annabi. Cinq mois après l’élimination d’Abou Moussaab Abdel Wadoud par les forces françaises au nord Mali, AQMI annonce que son nouveau chef n’est autre qu’Abou Oubaïda Youssef al-Aanabi son chef du conseil consultatif depuis 2010. Aanabi avait répondu 12 questions de France24 en 2019. .
17 Questions pour un champion (Wassim Nasr)
Une interview "exclusive" avec le terroriste algérien, Abou Obeida Youssef al-Annabi, l'émir d'Al-Qaïda au Maghreb islamique accordée à Wassim Nasr, journaliste à France 24 suscite tout un émoi et une frustration de la communauté internationale.
L’interview a frustré de nombreux internautes, qui ont demandé des sanctions contre les médias français
“Alors @FRANCE24 continue de créer la peur et le chaos dans le but de pousser les citoyens étrangers à quitter Addis-Abeba ? Comment se fait-il que @FRANCE24 ait eu accès à une interview et ait diffusé la propagande d’un groupe terroriste ? Qui leur a donné la permission?”, a déclaré un utilisateur de Twitter.
Apologie du terrorisme: Le Burkina Faso suspend France 24
Christophe Crot alias Frot
France Maghreb est une station de radio parisienne qui diffuse ses programmes sur la bande FM, notamment en Île-de-France. C’est une radio généraliste d’expression majoritaire francophone qui s’adresse à la communauté franco-maghrébine.
C’est en 1987 que cette chaine radio est créé sous forme de radio associative par Dahmane Abderrahmane, ex-conseiller à l’Elysée.
Le 4 février 2009, après son renouvellement, elle va brusquement changer de dénomination pour prendre le nom de « France Maghreb 2 », sur décision des responsables de la SARL Groupe Nord Sud Communication Multimédias (Norsucom), et ce sans l’avis du créateur de la Radio : Abderahmane Dahmane.
Cette société, au capital social de 40.000 Euros, a été immatriculée au Registre du Commerce des Société le 29 Aout 2007, et a pour gérant M.Tarek Mami.
Tarek Mami – Président France Maghreb 2
Tarek Mami est né le 06 Juillet 1955 à Sfax en Tunisie. Dans la Sarl Norsucom Mami s’est associé au Journaliste Brahim Hadj Smail né en Algérie et décédé au mois de Novembre 2011, et d’Ahmed Ben Abla, un homme d’affaires né à Tunis.
En Janvier 2013, le Conseil supérieur de l’audiovisuel décide de renouveler l’autorisation de la Sarl Norsucom pour exploiter le service de radio par voie hertzienne terrestre en mode numérique France Maghreb 2, droits d’exploitations renouvelées au mois de juillet 2018.
Au début du mois d’octobre 2020, après avoir constaté le changement d’adresse du siège de la radio et tenté de contacter les responsables de la Radio, Abderrahmane Dahmane, se rend au nouveau siège de France Maghreb 2, au 15 rue des Pyrénées dans le XXème arrondissement de Paris.
Il retrouve Tarek Mami, qui se déclare Journaliste et Président de radio chez France Maghreb 2 depuis 1983…
Dahmane Abderrahmane tente de comprendre comment Mami a pu récupérer la radio qu’il avait créé et qui a subi tant de changements sans son autorisation préalable.
Sauf que Tarek Mami, visiblement très gêné par les questions insistantes et pressantes du propriétaire originel de la Radio France Maghreb, décide de lui refermer la porte au nez et se barricade derrière une porte restée close…
Les tentatives de Dahmane Abderrahmane d’établir un dialogue avec Mami sur les raisons de ses changements sans son avis et accord, sont restées vaines. Aussi, une plainte a été déposée au commissariat de Police, le 05 Janvier 2021, et le procureur saisi, pour le vol de la station de radio que revendique Dahmane Abderrahmane et pour laquelle il a, selon ses déclarations, officiellement déposé un dossier à la préfecture de Paris.
« C’est une simple affaire que je qualifie de vol, et pour laquelle j’ai bien l’intention de me défendre en recourant à la justice afin de retrouver mon bien. » nous a déclaré Dahmane Abderrahmane.
Des conventions de partenariat entre la Radio algérienne et cinq radios communautaires établies en France, ont été signées ce dimanche 21 février 2016.
Les conventions signées, au siège de la Radio algérienne, portent sur le "renforcement des relations de coopération pour répondre aux besoins et attentes de la communauté algérienne en Europe et particulièrement en France".
Selon les termes de ces conventions, la Radio algérienne et les cinq radios communautaires "s'autorisent mutuellement à diffuse, à titre gracieux, sur leurs ondes respectives, des émissions à caractère culturel, artistique, économique, politique et sportif".
En outre, les parties signataires "s'engagent à s'assurer mutuellement, à titre gracieux, l'assistance technique et logistique devant permettre la couverture d'évènements se déroulant dans chacun des deux pays", indique un communiqué de la Radio algérienne.
Il s'agit également d'"élargir le partenariat au volet formation, en s'engageant à rechercher les voies et moyens devant permettre sa concrétisation", précise la même source.
Il est à noter que les conventions ont été signées par le directeur général de la Radio algérienne, Chaâbane Lounakel, et les directeurs des cinq radios communautaires, à savoir le président de Radio Soleil, Abdelmadjid Daboussi, le président-directeur général de Radio France Maghreb 2, Tarek Mami, le président de Radio Salem, Ali Abed, le président de Radio Pastel FM, Slimane Tir, et le président-directeur général de Radio Gazelle Samir Bentayeb.
Christophe Crot: Dérapage « anti-marocain » et antisémite
Dérapage « anti-marocain » et antisémite
L'incitation publique à la haine, à la violence
Radio France-Maghreb 2: Antisémitisme, accusations de corruption, complotisme anti-Maroc…
La radio France-Maghreb 2 a fait très fort en tendant le micro au pseudo-journaliste algérien, réputé pour son goût de la controverse, Aref Mechakra. Le délirium algérien est sans limite.
Au diable les lois contre la diffamation, l’incitation à la haine et l’antisémitisme! L’émission «Le grand forum» animée par Christophe Frot sur la radio France Maghreb 2, réputée pour sa ligne éditoriale proche du pouvoir algérien, a été l’occasion de procéder à un grand déballage chaotique, décousu et surréaliste, au sujet de la défaite des Fennecs, l’équipe nationale de football algérienne, face au Cameroun, lors du match barrage retour pour la Coupe du monde 2022. Cette défaite a provoqué un séisme en Algérie, privant l’appareil militaro-politique d’un dérivatif puissant, alors que le pays est embourbé dans des crises aussi longues que les queues qui se forment pour acheter des produits alimentaires.
Reprenant la thèse hilarante, et typiquement algérienne, selon laquelle l’humoriste marocain Jamel Debbouze et l'ancien international Samuel Eto’o, actuellement président de la Fédération camerounaise de football, auraient participé, de concert, à la corruption de l’arbitre du match barrage, Bakary Gassama, le journaliste, visiblement bien inspiré, ne s’est pas arrêté là et a livré d’autres informations, d’après lui basées sur des preuves solides, mais qui bizarrement tardent à être présentées.
Sur une radio réputée proche du régime algérien, un journaliste algérien accuse:
Jamel Debbouze, Eto'o, le président Camerounais Paul Biya et les juifs d'avoir truqué le match
«Jamel Debbouze, son nom est impliqué dans l’histoire mais indirectement, parce que l’argent qui a été ramassé et donné ici à Paris pour le pot-de-vin, c’était son entourage» (sic), lance-t-il avant de bredouiller des explications sans queue ni tête arguant ne pas pouvoir en dire plus car l’affaire est en cours d’instruction. «Parlez au conditionnel», lui suggère alors Christophe Frot qui anime le débat.
Un conseil que n’entend pas suivre Aref Mechakra qui poursuit avec la même verve son argumentaire décousu: «Eto’o, c’est connu, c’est l’ami intime de Jamel», «c’est connu aussi que Eto’o était à Rabat, à Casa, avant qu’il vienne en Algérie», et d’ailleurs poursuit-il «même l’arbitre était à Rabat, et puis de Rabat il est parti en Tunisie et pourquoi de Rabat il n’est pas parti à Paris?» (double sic)…
Des affirmations lancées comme des assertions, des interrogations, des convictions. Les preuves de ce récit qui passe par Rabat, Casa, Tunis, Paris, Alger? L’entrain du «journaliste» et sa force de persuasion qui nous demande, entre les lignes, de respecter son professionnalisme parce qu’il ne veut pas violer le secret d’une «affaire en cours d’instruction». Où est-elle instruite cette affaire à part dans la tête de son auteur et des chibanis du régime algérien qui continuent d’alimenter le mirage d’un match qui sera rejoué entre l’Algérie et le Cameroun? Voilà sur quoi repose l’argumentaire de l’homme qui aime à se présenter comme journaliste d’investigation international.
«L’arbitre a été payé?», demande alors l’animateur à son invité. «Oui, il y a un pot-de-vin qui s’est passé ici (à Paris) de la part de Samuel Eto’o mais il n’était pas présent, c’est son entourage…». Un échange qui se serait fait «au Hyatt Regency avec le cousin de Gassama».
Mais ça ne s’arrête pas là. «Je vous donne un scoop?», poursuit l’homme qui se prétend journaliste. «Le président du Cameroun est intervenu il y a deux jours dans les coulisses pour refaire le match». Une information qu’il tiendrait d’une source «pas officielle», est-il contraint de concéder, «mais très fiable». Et d’après lui, Paul Biya, président du Cameroun, aurait fait cette requête au Qatar, via «des émissaires». Bienvenue à la fête des fous!
Enfin, le meilleur pour la fin. Le troisième temps fort de cette émission lunaire, on le doit à Christophe Frot. «Est-ce que finalement, le tort de l’Algérie c’est d’avoir gagné la Coupe arabe et d’avoir ramené des drapeaux palestiniens au Qatar?», demande-t-il à ses invités. Face à lui, les experts présents hochent la tête avec vivacité et abondent dans le même sens. «Franchement oui», «entre autre, oui», acquiescent-ils, visiblement satisfaits de se voir offrir sur un plateau d’argent un nouvel argument pour alimenter leur passion pour le complotisme.
Et ce n’est pas Aref Mechakra qui dira le contraire car celui-ci saisit alors l’occasion pour informer son auditoire que «Twitter a retiré la charte à Mahrez» (sic), comprenez par là que le compte Twitter du joueur a perdu sa certification. «Je lui ai dit à Ryad Mahrez, vous allez payer très cher le fait d’avoir levé le drapeau palestinien en Angleterre, et ça c’est connu on est dans le showbiz, on connaît ça. Les cousins on les respecte, moi c’est mes frères, c’est mes amis, je les aime énormément et ma réussite c’est grâce à des cousins. Quand je dis cousins, ça veut dire que c’est des juifs. Mais le lobby (juif) est très puissant, on le connaît même ici à la télévision en France» (triple sic)… Et un autre expert-invité de rebondir: «le sionisme est l’ennemi des musulmans et des Arabes, de tout le monde, et même des chrétiens aussi parce qu’ils subissent».
Des propos inadmissibles mais peu étonnants, l’antisémitisme sous couvert d’antisionisme étant une idéologie largement répandue en Algérie, voire même une politique d’Etat volontairement banalisée. Cela on le savait. En revanche, on ignorait que des radios qui émettent en France deviennent une caisse de résonance décomplexée de la propagande du système militaro-politique algérien.
Que fera l’Arcom, nouvelle appellation du régulateur de la communication audiovisuelle et numérique, qui regroupe en son sein le CSA et l’Hadopi, suite à la diffusion de cette émission? C’est la question que se posent les internautes qui n’ont manqué de saisir l’organisme, mais aussi Gérald Darmanin, le ministre français de l’Intérieur, et le Conseil représentatif des institutions juives de France, (le CRIF), en dénonçant ce qu’ils considèrent être «une radio de propagande à la solde du régime militaire dictateur des caporaux».
Agression antisémite par la journaliste algérienne Salma Belabbas lors d'un mariage juif à "Paris 16"
Un incident antisémite d'une gravité alarmante s'est produit lors d'un mariage dans le XVIe arrondissement de Paris.
Une plainte a été déposée par le père de la mariée après qu'une femme, au volant d'une voiture rouge dont la plaque d'immatriculation était parfaitement visible, a proféré des insultes d'une violence inouïe à l'encontre de cette famille juive, les qualifiant de "génocidaires" et de "fils de pute".
Il s’agit de Salma Belabbas, journaliste nationaliste algérienne travaillant pour IRM RADIO/ Radio Kardeche (Radio Turc)
Elle a été identifiée grâce à son volant en strass.
Dès le lendemain du 7/10, Salma s’est déchaînée sur ses réseaux sociaux, affichant son soutien à la “résistance palestinienne”, nourrissant un état d’esprit qui l’a finalement conduit à agresser des juifs célébrant un mariage civil devant une mairie.
Elle a été interpellée à son domicile de Nanterre et placée en garde à vue
Non seulement elle a perturbé la cérémonie avec ses propos abjects, mais elle a également bloqué la circulation en abandonnant son véhicule au milieu de la voie publique.
Tandis qu'elle tentait de pénétrer dans le bâtiment, elle a été stoppée par un vigile armé, empêchant ainsi une intrusion potentiellement plus dangereuse. Cette scène, capturée en vidéo, a été vue plus de 40 000 fois sur la plateforme X (anciennement Twitter), provoquant une vive indignation. Les autorités ont été immédiatement informées de l'incident.
Cette agression antisémite, combinée à une perturbation manifeste de l'ordre public et de la circulation, ne saurait rester impunie. Des sanctions appropriées devront être appliquées pour que justice soit rendue.
Hana Ghezzar Bouakkaz, l'épouse de Mehdi Ghezzar
Hana Ghezzar Bouakkaz est une journaliste connue des médias TV. Elle a fait ses premières classes sur des chaînes de TV en France comme France Maghreb 2, Beur FM, IRM Radio, avant de travailler pour des chaines de télé algérienne.
Actuellement, elle anime des émissions sur El Hayat TV.
Après le Bac, Hana suit des études de marketing à l’Université d’Oran avant de s’envoler vers la capitale égyptienne. « J’ai fait mes études au Cambridge Academy, elle s'est envolée vers l’Angleterre pour poursuivre mes études elle a dû interrompre au bout d’un an pour rentrer en Algérie où un projet l’attendait : le lancement du magazine DZ People ».
Premiers pas dans le monde de la télé
Hana décide alors de suivre une formation en audiovisuel en France. Elle saute dans un avion et rejoint l’Académie audiovisuelle de Paris où elle suit les cours, sous la houlette de Richard Joffo, le fondateur de cette école d’audiovisuel.
Une autre aventure commence pour Hana. La Télévision algérienne l’accueille. « J’ai produit et animé ma première émission intitulée « Le Shot des cultures » sur Canal Algérie, avant de passer sur un média privé: Djazairia One, où elle a présenté « Lemet Lehrayer » avec Yasmine Ammari. Lorsque cette chaîne a mis la clef sous la porte, elle a travaillé à Echorouk TV, pendant deux ans ».
Hana Ghezzar dépose plainte contre Marion Maréchal Le Pen
La journaliste Hana Ghezzar Bouakkaz a annoncé via son compte twitter le dépôt d’une plainte à l’encontre de Marion Maréchal Le Pen. « Dans le cadre du cyberharcèlement lancé par la responsable politique Marion Le Pen, j’ai décidé de déposer plainte par l’intermédiaire de mon avocat, Me Boudi Nabil », a-t-elle écrit sur X.
Les faits remontent, quand la journaliste avait appelé la communauté algérienne basée en France à marquer la journée du chahid en prenant part à un rassemblement qui devait avoir lieu le 18 février place de la Nation à Paris.
Ce rassemblement a été interdit par la préfecture de police de Paris. En réponse à la journaliste de RMC, Marion Maréchal Le Pen réagit sur X en écrivant : « Cette journaliste de RMC souhaite célébrer demain à Paris les « chahids » du FLN qui ont tué, massacré Français et harkis, soldats comme civils. Que fait-elle en France alors que son pays est indépendant depuis 1962 ? » Selon Hana Ghezzar Bouakkaz, ce tweet a causé « un déferlement de haine sur les réseaux sociaux, des injures ainsi que des menaces de mort à l’encontre de la journaliste Hana Ghezzar et de ses proches ». Elle a donc déposé plainte contre la candidate Reconquête aux élections européennes.
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