Christophe Crot alias Frot
France Maghreb est une station de radio parisienne qui diffuse ses programmes sur la bande FM, notamment en Île-de-France. C’est une radio généraliste d’expression majoritaire francophone qui s’adresse à la communauté franco-maghrébine.
C’est en 1987 que cette chaine radio est créé sous forme de radio associative par Dahmane Abderrahmane, ex-conseiller à l’Elysée.
Le 4 février 2009, après son renouvellement, elle va brusquement changer de dénomination pour prendre le nom de « France Maghreb 2 », sur décision des responsables de la SARL Groupe Nord Sud Communication Multimédias (Norsucom), et ce sans l’avis du créateur de la Radio : Abderahmane Dahmane.
Cette société, au capital social de 40.000 Euros, a été immatriculée au Registre du Commerce des Société le 29 Aout 2007, et a pour gérant M.Tarek Mami.
Tarek Mami – Président France Maghreb 2
Tarek Mami est né le 06 Juillet 1955 à Sfax en Tunisie. Dans la Sarl Norsucom Mami s’est associé au Journaliste Brahim Hadj Smail né en Algérie et décédé au mois de Novembre 2011, et d’Ahmed Ben Abla, un homme d’affaires né à Tunis.
En Janvier 2013, le Conseil supérieur de l’audiovisuel décide de renouveler l’autorisation de la Sarl Norsucom pour exploiter le service de radio par voie hertzienne terrestre en mode numérique France Maghreb 2, droits d’exploitations renouvelées au mois de juillet 2018.
Au début du mois d’octobre 2020, après avoir constaté le changement d’adresse du siège de la radio et tenté de contacter les responsables de la Radio, Abderrahmane Dahmane, se rend au nouveau siège de France Maghreb 2, au 15 rue des Pyrénées dans le XXème arrondissement de Paris.
Il retrouve Tarek Mami, qui se déclare Journaliste et Président de radio chez France Maghreb 2 depuis 1983…
Dahmane Abderrahmane tente de comprendre comment Mami a pu récupérer la radio qu’il avait créé et qui a subi tant de changements sans son autorisation préalable.
Sauf que Tarek Mami, visiblement très gêné par les questions insistantes et pressantes du propriétaire originel de la Radio France Maghreb, décide de lui refermer la porte au nez et se barricade derrière une porte restée close…
Les tentatives de Dahmane Abderrahmane d’établir un dialogue avec Mami sur les raisons de ses changements sans son avis et accord, sont restées vaines. Aussi, une plainte a été déposée au commissariat de Police, le 05 Janvier 2021, et le procureur saisi, pour le vol de la station de radio que revendique Dahmane Abderrahmane et pour laquelle il a, selon ses déclarations, officiellement déposé un dossier à la préfecture de Paris.
« C’est une simple affaire que je qualifie de vol, et pour laquelle j’ai bien l’intention de me défendre en recourant à la justice afin de retrouver mon bien. » nous a déclaré Dahmane Abderrahmane.
Des conventions de partenariat entre la Radio algérienne et cinq radios communautaires établies en France, ont été signées ce dimanche 21 février 2016.
Les conventions signées, au siège de la Radio algérienne, portent sur le "renforcement des relations de coopération pour répondre aux besoins et attentes de la communauté algérienne en Europe et particulièrement en France".
Selon les termes de ces conventions, la Radio algérienne et les cinq radios communautaires "s'autorisent mutuellement à diffuse, à titre gracieux, sur leurs ondes respectives, des émissions à caractère culturel, artistique, économique, politique et sportif".
En outre, les parties signataires "s'engagent à s'assurer mutuellement, à titre gracieux, l'assistance technique et logistique devant permettre la couverture d'évènements se déroulant dans chacun des deux pays", indique un communiqué de la Radio algérienne.
Il s'agit également d'"élargir le partenariat au volet formation, en s'engageant à rechercher les voies et moyens devant permettre sa concrétisation", précise la même source.
Il est à noter que les conventions ont été signées par le directeur général de la Radio algérienne, Chaâbane Lounakel, et les directeurs des cinq radios communautaires, à savoir le président de Radio Soleil, Abdelmadjid Daboussi, le président-directeur général de Radio France Maghreb 2, Tarek Mami, le président de Radio Salem, Ali Abed, le président de Radio Pastel FM, Slimane Tir, et le président-directeur général de Radio Gazelle Samir Bentayeb.
Christophe Crot: Dérapage « anti-marocain » et antisémite
Dérapage « anti-marocain » et antisémite
L'incitation publique à la haine, à la violence
Radio France-Maghreb 2: Antisémitisme, accusations de corruption, complotisme anti-Maroc…
La radio France-Maghreb 2 a fait très fort en tendant le micro au pseudo-journaliste algérien, réputé pour son goût de la controverse, Aref Mechakra. Le délirium algérien est sans limite.
Au diable les lois contre la diffamation, l’incitation à la haine et l’antisémitisme! L’émission «Le grand forum» animée par Christophe Frot sur la radio France Maghreb 2, réputée pour sa ligne éditoriale proche du pouvoir algérien, a été l’occasion de procéder à un grand déballage chaotique, décousu et surréaliste, au sujet de la défaite des Fennecs, l’équipe nationale de football algérienne, face au Cameroun, lors du match barrage retour pour la Coupe du monde 2022. Cette défaite a provoqué un séisme en Algérie, privant l’appareil militaro-politique d’un dérivatif puissant, alors que le pays est embourbé dans des crises aussi longues que les queues qui se forment pour acheter des produits alimentaires.
Reprenant la thèse hilarante, et typiquement algérienne, selon laquelle l’humoriste marocain Jamel Debbouze et l'ancien international Samuel Eto’o, actuellement président de la Fédération camerounaise de football, auraient participé, de concert, à la corruption de l’arbitre du match barrage, Bakary Gassama, le journaliste, visiblement bien inspiré, ne s’est pas arrêté là et a livré d’autres informations, d’après lui basées sur des preuves solides, mais qui bizarrement tardent à être présentées.
Sur une radio 🇫🇷 réputée proche du régime algérien, un journaliste algérien accuse:
Jamel Debbouze, Eto'o, le président Camerounais Paul Biya et les juifs d'avoir truqué le match
«Jamel Debbouze, son nom est impliqué dans l’histoire mais indirectement, parce que l’argent qui a été ramassé et donné ici à Paris pour le pot-de-vin, c’était son entourage» (sic), lance-t-il avant de bredouiller des explications sans queue ni tête arguant ne pas pouvoir en dire plus car l’affaire est en cours d’instruction. «Parlez au conditionnel», lui suggère alors Christophe Frot qui anime le débat.
Un conseil que n’entend pas suivre Aref Mechakra qui poursuit avec la même verve son argumentaire décousu: «Eto’o, c’est connu, c’est l’ami intime de Jamel», «c’est connu aussi que Eto’o était à Rabat, à Casa, avant qu’il vienne en Algérie», et d’ailleurs poursuit-il «même l’arbitre était à Rabat, et puis de Rabat il est parti en Tunisie et pourquoi de Rabat il n’est pas parti à Paris?» (double sic)…
Des affirmations lancées comme des assertions, des interrogations, des convictions. Les preuves de ce récit qui passe par Rabat, Casa, Tunis, Paris, Alger? L’entrain du «journaliste» et sa force de persuasion qui nous demande, entre les lignes, de respecter son professionnalisme parce qu’il ne veut pas violer le secret d’une «affaire en cours d’instruction ». Où est-elle instruite cette affaire à part dans la tête de son auteur et des chibanis du régime algérien qui continuent d’alimenter le mirage d’un match qui sera rejoué entre l’Algérie et le Cameroun? Voilà sur quoi repose l’argumentaire de l’homme qui aime à se présenter comme journaliste d’investigation international.
«L’arbitre a été payé?», demande alors l’animateur à son invité. «Oui, il y a un pot-de-vin qui s’est passé ici (à Paris) de la part de Samuel Eto’o mais il n’était pas présent, c’est son entourage…». Un échange qui se serait fait «au Hyatt Regency avec le cousin de Gassama».
Mais ça ne s’arrête pas là. «Je vous donne un scoop?», poursuit l’homme qui se prétend journaliste. «Le président du Cameroun est intervenu il y a deux jours dans les coulisses pour refaire le match». Une information qu’il tiendrait d’une source «pas officielle», est-il contraint de concéder, «mais très fiable». Et d’après lui, Paul Biya, président du Cameroun, aurait fait cette requête au Qatar, via «des émissaires». Bienvenue à la fête des fous!
Enfin, le meilleur pour la fin. Le troisième temps fort de cette émission lunaire, on le doit à Christophe Frot. «Est-ce que finalement, le tort de l’Algérie c’est d’avoir gagné la Coupe arabe et d’avoir ramené des drapeaux palestiniens au Qatar?», demande-t-il à ses invités. Face à lui, les experts présents hochent la tête avec vivacité et abondent dans le même sens. «Franchement oui», «entre autre, oui», acquiescent-ils, visiblement satisfaits de se voir offrir sur un plateau d’argent un nouvel argument pour alimenter leur passion pour le complotisme.
Et ce n’est pas Aref Mechakra qui dira le contraire car celui-ci saisit alors l’occasion pour informer son auditoire que «Twitter a retiré la charte à Mahrez» (sic), comprenez par là que le compte Twitter du joueur a perdu sa certification. «Je lui ai dit à Ryad Mahrez, vous allez payer très cher le fait d’avoir levé le drapeau palestinien en Angleterre, et ça c’est connu on est dans le showbiz, on connaît ça. Les cousins on les respecte, moi c’est mes frères, c’est mes amis, je les aime énormément et ma réussite c’est grâce à des cousins. Quand je dis cousins, ça veut dire que c’est des juifs. Mais le lobby (juif) est très puissant, on le connaît même ici à la télévision en France» (triple sic)… Et un autre expert-invité de rebondir: «le sionisme est l’ennemi des musulmans et des Arabes, de tout le monde, et même des chrétiens aussi parce qu’ils subissent».
Des propos inadmissibles mais peu étonnants, l’antisémitisme sous couvert d’antisionisme étant une idéologie largement répandue en Algérie, voire même une politique d’Etat volontairement banalisée. Cela on le savait. En revanche, on ignorait que des radios qui émettent en France deviennent une caisse de résonance décomplexée de la propagande du système militaro-politique algérien.
Que fera l’Arcom, nouvelle appellation du régulateur de la communication audiovisuelle et numérique, qui regroupe en son sein le CSA et l’Hadopi, suite à la diffusion de cette émission? C’est la question que se posent les internautes qui n’ont manqué de saisir l’organisme, mais aussi Gérald Darmanin, le ministre français de l’Intérieur, et le Conseil représentatif des institutions juives de France, (le CRIF), en dénonçant ce qu’ils considèrent être «une radio de propagande à la solde du régime militaire dictateur des caporaux».
Agression antisémite par la journaliste algérienne Salma Belabbas lors d'un mariage juif à "Paris 16"
Salma BELABBAS, ex-Championne de natation, entame une carrière d’entrepreneuse après ses études à Bruxelles qui la mène en France ou elle crée une entreprise. En parallèle elle débute en 2017 en tant qu’animatrice de plusieurs émissions ou les sujets sociétaux côtoient les interviews. Elle rejoint IRM.RADIO et propose son émission, YOU CAN !
Un incident antisémite d'une gravité alarmante s'est produit lors d'un mariage dans le XVIe arrondissement de Paris.
Une plainte a été déposée par le père de la mariée après qu'une femme, au volant d'une voiture rouge dont la plaque d'immatriculation était parfaitement visible, a proféré des insultes d'une violence inouïe à l'encontre de cette famille juive, les qualifiant de "génocidaires" et de "fils de pute".
Il s’agit de Salma Belabbas, journaliste nationaliste algérienne travaillant pour IRM RADIO/ Radio Kardeche (Radio Turc)
Elle a été identifiée grâce à son volant en strass.
Dès le lendemain du 7/10, Salma s’est déchaînée sur ses réseaux sociaux, affichant son soutien à la “résistance palestinienne”, nourrissant un état d’esprit qui l’a finalement conduit à agresser des juifs célébrant un mariage civil devant une mairie.
Elle a été interpellée à son domicile de Nanterre et placée en garde à vue
Non seulement elle a perturbé la cérémonie avec ses propos abjects, mais elle a également bloqué la circulation en abandonnant son véhicule au milieu de la voie publique.
Tandis qu'elle tentait de pénétrer dans le bâtiment, elle a été stoppée par un vigile armé, empêchant ainsi une intrusion potentiellement plus dangereuse. Cette scène, capturée en vidéo, a été vue plus de 40 000 fois sur la plateforme X (anciennement Twitter), provoquant une vive indignation. Les autorités ont été immédiatement informées de l'incident.
Cette agression antisémite, combinée à une perturbation manifeste de l'ordre public et de la circulation, ne saurait rester impunie. Des sanctions appropriées devront être appliquées pour que justice soit rendue.
Après un déchainement de haine anti-Maroc, RMC appelée à se séparer du chroniqueur Mehdi Ghezzar
Invité au plateau de la chaîne algérienne AL24, le Chroniqueur de RMC, Mehdi Ghezzar, s’est livré à une diatribe anti-marocaine avec des propos d’une extrême infamie qui ont suscité une vague d’indignation à la fois au Maroc et en France. Indignées, plusieurs personnalités publiques ont appelé à son expulsion de la radio française.
Chroniqueur ou agent d’influence ? Une question que se posent des milliers de gens interloqués par les propos scandaleux de Mehdi Ghezzar, homme d’affaires franco-algérien qui opère dans le business interlope des «bars à chichas » et chroniqueur de RMC à ses heures, qui a craché toute sa haine contre le Maroc sur le plateau de la chaîne algérienne AL24. Avec un vocabulaire haineux digne des pires heures du fascisme, le supposé chroniqueur, se sentant affranchi des exigences de la bienséance et de la déontologie professionnelle, s’est littéralement lâché en proférant une diatribe empreinte d’évidents relents racistes, antisémites voire même intégristes, contre le Maroc.
L’énergumène qui sévit régulièrement dans l’émission les Grandes Gueules, a ainsi commencé son prêche en excommuniant le Maroc et son peuple qu’il juge non-musulman. Dans sa bouche, le Royaume est taxé de tous les vices du monde : sionisme, pédophilie, drogue… “C’est tout, sauf un pays musulman”, a-t-il proféré, en comparant le Maroc à la “Thaïlande” de l’Afrique avec toutes les arrière-pensées sous-jacentes.
“La grande gueule” de RMC a poursuivi son torrent d’insultes en accusant le Royaume d’Etat sioniste pour ne citer que cela et épargner au lecteur ses propos infâmes. Bref! C’est un mélange de complotisme mêlé de haine anti-marocaine et d’antisémitisme primaire comme la pseudo-élite politico-médiatique algérienne nous en a habitué ces dernières années.
Ghezzar s’exprimait dans une émission consacrée pour autant à la conférence de la TICAD à Tokyo où l’Algérie a fait entrer le polisario par un faux badge. Un tel langage ordurier donne une idée assez claire sur le niveau du débat politique en Algérie, un pays dont le président se targue publiquement d’être à la tête de la troisième puissance économique du monde sous les applaudissements de la foule.
Ghezzar ne s’est pas contenté de ces insultes en allant ponctuer son réquisitoire de fake-news au sujet de la Palestine. Il a prétendu que le Maroc interdit les manifestations pro-palestiniennes par décret royal. Un mensonge flagrant destiné à inverser la réalité du régime algérien qui n’a pas manqué de prohiber les manifs pro-Gaza par crainte de ressusciter le Hirak au moment où les rassemblements sont organisés régulièrement dans les grandes villes du Maroc sous la protection des forces de l’ordre.
Aux premières loges
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