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Désarçonnés par leurs échecs diplomatiques, les coups bas de l’Algérie et son appendice polisa

Désarçonnés par leurs échecs diplomatiques, les coups bas de l’Algérie et son appendice polisarien. Le Burundi ouvre à son tour un consulat général à Laâyoune.

Inauguration du Consulat Général de la République du #Burundi 🇧🇮 à Laâyoune, vendredi 28 Février 2020, par le Ministre des Affaires Étrangères, M. Nasser Bourita et le Ministre des Affaires Etrangères de la République du Burundi, M.Ezechiel Nibigira. pic.twitter.com/yrwQ3JlMOZ — Maroc Diplomatie 🇲🇦 (@MarocDiplomatie) February 28, 2020

Vidéo: Les milices du Front armé jusqu’aux dents, encerclent des manifestants contre la corruption de la direction du Front à l’occasion de  l’anniversaire de la création de l’entité fantoche.

La contestation à l’intérieur des camps n’a pas baissé d’un iota, notamment dans les tribus de Tidararines qui dénoncent la libération de l’assassin de l’un de leurs enfants. Ces tribus continuent à mettre en cause l’implication de la direction du Polisario dans la fuite de ce prisonnier, même si les séparatistes ont limogé le directeur de la terrible prison de «Dhaibia».




L’Algérie et son appendice polisarien continuent d’accumuler les déboires en Espagne Les médias du front avaient essayé de pousser l’Espagne à se soulever contre le Maroc, en exploitant les communiqués de certains partis espagnols favorables à sa thèse. Par cette campagne tous azimuts, les polisariens, qui jouaient notamment sur le débat provoqué par la délimitation des frontières maritimes du royaume, espéraient voir la visite de la ministre espagnole reportée. Peine perdue, car l’ironie des internautes a redoublé d’intensité quand la ministre, Arancha González, est arrivée au Maroc pour sa première visite à l’étranger en dehors de l’UE. La cheffe de la diplomatie espagnole a mis fin à toute la propagande polisarienne quand elle a déclaré que «les relations bilatérales entre Madrid et Rabat sont profondes et stratégiques». Décontenancé, le Polisario a essayé de s’attaquer à l’Espagne par la voix de son coordinateur, Mohamed Haddad, qui a déclaré que c’est l’inaction de ce pays qui pousse le Maroc à poursuivre sa politique d’«usurpation».

Arancha González Laya, a désavoué son collègue de Podemos Nacho Alvarez

Après la rencontre polémique entre le secrétaire d’Etat aux Droits sociaux du gouvernement de Pedro Sanchez, Nacho Alvarez, et la présumée « ministre sahraouie des questions sociales », Suilma Hay Enhamed, la ministre espagnole des AE s’est entretenue avec son homologue marocain Nasser Bourita.

Réagissant à une rencontre tenue, vendredi 21 février 2020, entre le secrétaire d’Etat espagnol aux Droits sociaux, Nacho Alvarez, et une délégation de la soi-disant « rasd », conduite par la prétendue « ministre sahraoui des affaires sociales et de la promotion de la femme », la dénommée Souilma Birouk, la ministre espagnole des Affaires étrangères, Arancha González Laya a indiqué avoir expliqué à son homologue marocain, Nasser Bourita, lors d’un entretien téléphonique, que les informations rapportées par les médias « ne reflètent pas la position de l’Espagne » sur la question du Sahara.

Elle précise également qu’il s’agit de «politique d’Etat», rappelant dans ce sens «l’Espagne ne reconnaît pas la RASD et que (l’Espagne) soutient les efforts du secrétaire général de l’ONU pour parvenir à une solution pacifique dans le cadre des résolutions du Conseil de sécurité de l’ONU», a-t-elle martelé. Le dernier geste de González Laya a été la publication, dimanche soir, de deux tweets dans lesquels il a désavoué son collègue Nacho Álvarez, secrétaire d’État aux Droits sociaux et homme de confiance du vice-président, Pablo Iglesias , au sein du gouvernement de coalition . González Laya a aussi réaffirmé que son pays « ne reconnaît pas » la pseudo « rasd ». La cheffe de la diplomatie espagnole a ajouté que son pays défend la centralité des Nations unies dans la recherche d’une solution à ce différend régional dans le cadre des résolutions pertinentes du Conseil de sécurité de l’ONU.




Algérie: Véritable fief des séparatistes

Concernant l’Algérie, sa réputation de grande supportrice du séparatisme où qu’il soit, a encouragé les catalans à vouloir d’Alger, le même soutien que les séparatistes du Polisario. Les catalans se souviennent que dans les années 70, le pouvoir algérien avait soutenu les séparatistes dans les Iles Canaries et avait donné refuge en Algérie à l’organisation ‘terroriste’ basque ETA.

En 1964, le Mouvement pour l’autodétermination et l’indépendance de l’archipel des Canaries (Movimiento Por la Autodeterminación e Independencia del Archipiélago Canario – MPAIAC) est fondé en Algérie et qui avait son siège à Alger.

« Le cas d’Euskadi est similaire à celui de l’Algérie ou de l’Angola. Dominés par l’Espagne, nous ne pouvons espérer que ni Franco, [196] ni la monarchie ni la république espagnole nous octroient l’indépendance que nous exigeons. L’Espagne a trop d’avantages économiques pour qu’elle se résigne à perdre sa colonie. À moins que nous l’y contraignions par la force. Partant de cette prémisse, il est évident que le chemin que nous devons suivre est identique à celui des Algériens ou des Angolais. Nous devons nous organiser pour pouvoir lutter 2, 3, 5, le nombre d’années qui sera nécessaire. Nous devons arriver à rendre Euskadi, colonie espagnole depuis 1839, ingouvernable par les Espagnols. » Guernika y el futuro », in Zutik s/n, avril 1962.

Si l’Algérie décide, le polisario s’exécute quitte à signer son suicide, et aucune initiative à moins que l’Algérie n’en donne l’ordre au polisario, il consulte systématiquement « les décideurs algériens » avant d’agir.

Les séparatistes de la Catalogne et du Polisario se donnent la main.

Montcada i Reixac est une commune espagnole de Catalogne, située dans la province de Barcelone et la comarque du Vallès Occidental.



Si l’Algérie décide, le polisario s’exécute quitte à signer son suicide.
Catalogne… les 3 bons arguments qui battent en brèche l’option du «référendum d’autodétermination»

Passons d’abord en revue les trois points saillants du jugement rendu par la Cour suprême espagnole contre «l’option du référendum d’autodétermination» prêchée par les indépendantistes catalans.

  1.  «tout mouvement de sécession unilatérale est antidémocratique, dans la mesure où il vise à anéantir les bases du modèle constitutionnel, dans l’objectif de créer une république identitaire au sein de laquelle le pluralisme idéologique et politique ne sont pas garantis».

  2.  «le droit à l’autodétermination ne peut être envisageable hors des limites juridiques établies par la société… sinon, il serait l’apanage seulement d’une partie de la société, celle en faveur du référendum indépendantiste».

  3.  «le référendum d’autodétermination marginaliserait une partie énorme de la population qui refuse d’y participer car le considérant fantaisiste, illégal et illégitime».

Vous avez bien lu: «fantaisiste», «illégal» et «illégitime». Dit autrement, il est antidémocratique puisqu’il serait «l’apanage seulement d’une partie de la population, celle en faveur du référendum indépendantiste»…

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