«Quand le Margouillat se coud un caleçon il n’oublie pas qu’il a une queue»
Le proverbe ne va donc pas chercher une figure animale inhabituelle, inquiétante ou mystérieuse, mais il la prend d’un domaine familier, concret, sympathique ; son enseignement pointe ainsi une nécessité basale de la vie quotidienne.
Il pourrait se transcrire: «Tous les jours, adapte-toi par toutes les transformations nécessaires, mais ne te risque pas à oublier ce que tu traînes derrière toi: tes origines!» Cyrille Bonamy
Ali Lmrabet en Israël
Ali Lmrabet s’est rendu en Israël, en 1998, dans un contexte où les relations entre le Maroc et Israël étaient sensibles. Son voyage et sa rencontre avec Benjamin Netanyahou, alors Premier ministre israélien, ont provoqué une vive polémique. Son déplacement a été perçu par l’opinion publique comme une tentative de lancer une réflexion sur l’approfondissement des relations entre Rabat et Tel-Aviv.
Sauf que le contraire s’est opéré
Ali Lmrabet a souvent suscité des critiques en raison de ses sorties jugées antisémites. En 2002, un de ses articles a particulièrement attiré l’attention, dans lequel il affirmait que «certains juifs» étaient complices des violences en Palestine. Ses déclarations publiques lors de divers événements n’étaient pas anodines, où il a réitéré ses réprobations à l’encontre de la politique israélienne dans un langage perçu comme chargé de ressentiment anti-juif. Elles ont engendré une vague de condamnations de la part de groupes de défense des droits de l’homme et de représentants de la communauté juive.
Comme toujours. Les échotiers, pour ne pas dire les ragotiers délateurs, cireurs de pompes, étaient au rendez-vous pour surfer sur la vague.
Dis-moi qui tu fréquentes, je te dirais qui tu es.
L’homme s’identifie tout le temps aux membres du groupe auquel il appartient. Donc, le groupe a un impact, non négligeable, sur le caractère d’un individu.
La possession d’une propriété commune à l’individu et au groupe social entraîne une intégration sociale du premier au second, définit la base d’un rapport d’allégeance de l’individu au groupe social et facilite les processus d’intercompréhension et de contagion émotionnelle des membres du groupe.
Le ragotier et le terroriste
Qui se ressemble s'assemble!!!
L’extrémiste et terroriste marocain Mohamed Hajib, Natif de Tétouan, le 23 mai 1981, Hajib est titulaire de la nationalité allemande et réside actuellement en Allemagne, âgé de 40 ans, fait l’apologie du terrorisme islamiste sur les réseaux sociaux, contre les institutions et les autorités officielles du Royaume du Maroc ainsi que contre les intérêts de l’Occident, tant dans ce pays d’Afrique du Nord, que dans le Monde Arabe.
Arrêté en 2009 lors d’un voyage au Pakistan, Mohamed Hajib, d’abord détenu sur place puis arrêté en Allemagne avant d’être relâché à la condition qu’il retourne au Maroc, avait été condamné à dix ans de prison pour des infractions liées à du «terrorisme». Installé aujourd’hui en Allemagne, il fait l’objet d’un mandat d’arrêt international lancé par le Maroc.
En 2009, il s’est rendu au Pakistan avec l’association « Jamaat Tabligh » et après son retour, il a été interpellé en Allemagne, et lorsqu’il est rentré au Maroc, il fut écroué pendant sept ans pour des crimes liés à des activités terroristes en rapport avec « Al-Qaïda », notamment avec ses réseaux opérant en Afghanistan et au Pakistan.
Apologie du terrorisme et incitation aux actes de terrorisme, sur le sol allemand, en toute impunité de l’extrémiste et terroriste Mohamed Hajib
Hajib est largement connu sur les réseaux sociaux pour être très actif dans la promotion et l’incitation au terrorisme, exhortant les jeunes à perpétrer des attaques visant les institutions marocaines, les dirigeants et les symboles de l’État, ainsi que contre les intérêts de l’Occident tant au Maroc que dans le Monde Arabe. «Tout comme Satan est notre ennemi, l’oligarchie doit aussi être appréhendée de la même manière, car, tout simplement, elle sert les intérêts de l’Occident. Sans usage de la force, il n’y a rien», assure le terroriste dans la vidéo ci-dessus, incitant ses partisans à la rébellion et au chaos. «Avez-vous peur de mourir ou quoi ? Piétinez la nuque des traîtres et des chefs d’Etat. Vous les entendrez crier et aboyer» , a-t-il lancé à ses partisans.
Cette vidéo est soumise à une limite d’âge👇
Le pseudo journaliste:
Le journaliste espagnol, ancien correspondant d’«El País» à Rabat pendant des années, Ignacio Cembrero, est un cas à enseigner aux étudiants en journalisme, comme exemple de mauvaise presse. Sa carrière dans ce journal a été interrompue, après avoir exploité des photos d’enfants de Gaza, contre l’éthique du journalisme, pour nuire à l’image du Maroc dans le monde, en violation absolue des principes professionnels de la presse.
Si vous avez besoin de quelqu’un pour écrire une histoire montée de toutes pièces, pour défendre une fausse cause ou une cause qui n’est pas la sienne, il faut penser à un journaliste freelance, à une plume à louer, un nègre comme Ignacio Cembrero, le journaliste espagnol qui pleure ses années de gloire quand il couvrait, à partir du Maroc, le Maghreb pour le journal El País, puis pour le quotidien concurrent El Mundo.
Aujourd’hui simple collaborateur dans un petit journal en ligne, en l’occurrence El Confidencial, M. Cembrero tente vainement et désespérément de renouer avec les articles tendancieux contre le Maroc qui faisaient sa fausse renommée. Il est certes un confrère, bon gré mal gré, mais un confrère d’un autre genre. Il est vrai aussi qu’il est en fin d’une carrière aux débuts pompeux. C’est ce qui explique qu’il est aigri et qu’il n’hésite pas à se faire une nouvelle virginité en négociant fort le prix de ce qui reste de sa crédibilité déjà usée.
Mais qui peut payer par les temps qui courent en dehors des services algériens, qui n’ont pas sué pour s’emparer des pétrodollars? Celui qu’on présente comme «spécialiste du Maghreb» a accordé une interview au média algérien TSA, qui vit des offrandes des généraux séniles de la junte militaire, durant la même semaine où il a donné un entretien à Maroc Hebdo (numéro du 18 juin 2021). Les propos ont été contradictoires pour parler du même sujet: la crise maroco-espagnole.
Chez TSA (média francophone algérien sur Internet), il tient un discours fallacieux et incendiaire à l’encontre du Royaume en adoptant la consigne d’épargner le peuple marocain tout en s’attaquant à la monarchie et au système, au «Makhzen»… Bref, en usant de tous ces mots désuets qui n’impressionnent que ceux qui paient pour qu’ils soient utilisés.
Le double discours reflète le double visage. Changer son fusil d’épaule n’est pas un exercice de dur labeur pour M. Cembrero. C’est plutôt une gymnastique intellectuelle ou un fonds de commerce qui en constitue un signe distinctif. M. Cembrero est connu pour son animosité, voire sa haine à l’égard du Maroc et des Marocains. Il a l’habitude de mentir sans vergogne. Le journaliste professionnel qu’il est censé être a donné dans son interview à TSA la preuve de son parti-pris (renouvelé) pour l’Algérie et le Polisario et les services espagnols en prophétisant: «Le tribunal (de justice européen de Luxembourg) peut invalider les accords d’association et de pêche entre l’Union européenne et le Maroc à cause, justement, du Sahara occidental, parce que ces accords ont été signés sans consulter la population sahraouie.
C’est en tout cas la thèse que soutiennent les avocats du Polisario et c’est peut-être la thèse que va faire sienne le tribunal. Dans ce cas, il invalidera les accords et le Maroc se fâchera beaucoup avec l’Union européenne parce qu’il se sentira en quelque sorte désavoué». Ces propos trahissent le journaliste et le discréditent. Même aux yeux de ceux qui continuent à prêter l’oreille à ses idioties.
”عندما تتحدث العاهرات عن الشرف, ابتسم فأنت فى حضرة أوكار الدعارة الفكرية حيث يصبح الجسد إلهًا والرغبة قربانًا يُقدم باسم الواجب المقدس” ― عمرو الجندى
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