COMMEMORATIONS OBLIGE! DEPORTÉS MAROCAINS AUX FRONTIÈRES ! SEQUESTRÉS DE TINDOUF ! By Karima Kaddouri ©
« Le silence a-t-il un sens » c’était mon sujet du bac, en philosophie.
Ce silence assourdissant prend tout son sens en cette période où nous sommes tous spectateurs des agressions et du « génocide » envers nos marocains sinistrés et déportés.
Le sens des mots est aussi important que leurs histoires de vies individuelles, vies volées, violées par les opportunistes sanguinaires des militaro et représentants des gens voisins de l’Est.
Le sens de la mémoire collective prend un véritable sens en cette période où nous commémorons les atrocités émises à l’encontre de population sous prétexte qu’ils sont marocains.
Dernièrement, Samir Addahre ambassadeur permanent du Maroc, à l’UNESCO a bien précisé les mots, car nous devons réagir urgemment face aux nombreuses agressions des militarisés de l’Est et face à cette tragédie humaine qui se répète !
Les refugies ne sont pas des réfugiés mais bien, des séquestrés à Tindouf lesquels ont vu leur vie castrée par les décisions bipolaires-caduques de organisations internationales.
L’humain est une priorité !
L’ONU, l’union européenne semblent privilégier les intérêts économiques qu’ils placent au-dessus de l’humain et de nombreux enfants sont aussi touchés par ces agressions multiples, au cours du temps, et pour tous ces crimes infâmes.
Nous prônent-ils pas le Droit de l’humain et nous imposent ils pas leur référentiel des droits humains pour priorité !
L’humain, les enfants sont particulièrement touchés par ce faux statut de refugies, car ils sont bien « séquestrés » et ces derniers supportent cela depuis des décennies et le subissent comme un abandon, une humiliation .
Les déportations de 1975 de 350000 personnes d’origine marocaine, vivant dans le pays voisin de l’Est ont été lourdes de conséquences pour ces familles, pour lesquelles nous tenons à ne pas trahir le « génocide culturel et identitaire » qu’ils ont subi.
Les séquelles s’accentuent encore aujourd’hui pour les rescapés de cette déportation et par leur enfants héritiers de cette histoire malheureuse et dégradée, qu’ils expriment comme une tragédie douloureuse et comme une blessure qui ne peut se refermer.
Les généraux ou autre gens de l’Est ont une absence de culture.
Hisser les étendards de l’islam ne fait pas d’eux des croyants si on juge fermement la déportation de toutes ces familles dont la seule faute est d’être d’origine marocaine.
Ils subissent une déportation le jour de «l’Aïd» en 1975, fête si importante, si symbolique et si lourde de sens !
L’ONU, L’Europe n’a pas insisté pour juger ces criminels devant les tribunaux d’instance internationale, pourquoi ?!
Il y a eu viols, vols, spoliations, déshumanisation, familles abandonnées sans même prendre leurs effets personnels, familles désolidarisées volontairement, jetées aux frontières du Maroc …
Nous commémorons malheureusement cette tragédie car le devoir de mémoire est aussi un moyen d’alléger la souffrance de nos concitoyens marocains qui n’avaient rien demandé.
Les séquestrés de Tindouf, et d’ailleurs, de la frontière redessinée entre les deux pays, s’alourdit avec les années.
L’Histoire du Maroc est non falsifiable, je rappelle, alors :
Pourquoi les organisations ferment les yeux sur cette tragédie des séquestrés de Tindouf et des particularités de nos provinces du sud dont la configuration est non négociable et non monnayable !
Les organisations internationales ont quelque peu conforté ces situations de précarités, les laissant aux mains des sanguinaires des gens de l’est. Les terroristes militaro-Polisario-algérien sont nés de cette ambiguïté internationale, sciemment ou non volontaire, où le constat est flagrant car femmes, enfants, et hommes sont utilisés comme bouclier pour abreuver une soif d’existence ou que sais-je !
L’ambiguïté du statut des « séquestrés » de Tindouf nous invite à réfléchir sérieusement sur les dérives majeures de cette volonté d’entretenir le faux statut de « réfugiés » :
Si je considère récemment (2021) les moyens financiers alloués dans la zone Tindouf (…) 1,7 millions d’euros pour le HCR et 2 fois + 640000€ pour des associations œuvrant dans un flou total dans toutes les régions du Sud du Maroc.
Pour rappel, Tindouf, et tout au long de la franche frontalière sont une entité marocaine historique aux mains du terrorisme polisario-algérien.
Je suis et nous sommes, en droit de se poser une question majeure qui est celle:
« Pourquoi entretenir une ambiguïté juridique » dont les objectifs sont bien évidemment financiers et géostratégiques !
Il faudrait faire un calcul de toutes ces dernières années des flux d’argent concédés pour le HCR ou autre organisations pseudo-humanitaires pour les séquestrés de Tindouf (ou d’ailleurs) dont le quotidien, la vie ne s’est pas améliorée au fil du temps, bien au contraire.
Elle s’est dégradée par le jeu des résolutions onusiennes ou les paraphrasés des traités européens «entretenant les ambiguïtés insoutenables».
Ces flux financiers, calculés sur toutes ces années servent bien plus à financer ces terroristes polisario algériens, et les flux financiers accordés sont bizarrement justifiés par un transit via de multiple entités humanitaires !?
Il faudrait ainsi croire qu’elles ne sont pas à vocation humanitaires si on se penche sur la situation des séquestrés se dégradant au jour le jour et de l’affront grandissant du polisario algérien.
Notre devoir de mémoire est de rendre justice pour cette déportation dont le seul chef est d’être des hommes, des femmes, des enfants d’origine du Maroc.
Notre devoir de mémoire est de rendre justice à la population séquestrée !
Les séquestrés de Tindouf sont l’expression d’une goutte d’eau dans la tragédie que nous entretenons, que les institutions internationales entretiennent malheureusement entrainant une escalade de violence où le polisario-algérien notamment s’enrichit au travers du temps mais où la situation devient encore plus tragique pour les populations déportées et séquestrées !
Alors je terminerai comme le début :
Le silence a un sens et nous nous rendons responsables des tragédies humaines, où femmes enfants, hommes ne comprennent plus le sens des Droits de l’Homme si savamment institutionnalisés.
By Karima Kaddouri ©
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