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CDH: Des défenseurs des droits humains sahraouis dévoilent les exactions du Polisario à Tindouf sur

CDH: Des défenseurs des droits humains sahraouis dévoilent les exactions du Polisario à Tindouf sur le territoire algérien.

La 46e session du Conseil des droits de l’homme à Genève, est l’occasion pour les ONG et défenseurs des droits humains, de dévoiler les abus pratiqués par le Polisario contre la population sahraouie dans les camps de Tindouf, des campements que le front séparatiste contrôle d’une main de fer à l’instigation du régime en Algérie.

Intervention de M. Zine El abidine El ouali, Président AFORES (african forum for research and studies in human rights).

M. Zine El abidine El ouali, Président AFORES (african forum for research and studies in human rights), vient une nouvelle fois de dénoncer les exactions commises par les dirigeants du Polisario dans les camps de Tindouf où sont séquestrés des sahraouis, sans défense et sans ressources, sur le territoire algérien signifie aussi que l’Algérie est moralement et légalement responsable de cette tragédie qui se déroule sur son sol.

« Mon intervention, qui a été programmée dans le cadre du dialogue interactif avec le Rapporteur spécial sur la situation des défenseurs des droits de l’homme. La 46e session du Conseil des droits de l’homme à Genève. » M. Zine El abidine El ouali, Président AFORES (african forum for research and studies in human rights)


Tindouf: nouveau cas de violation des droits de l´homme.

Témoignage posthume d’une sahraouie, 26 décembre 2019, racontant comment elle a été violée dans les prisons de Tindouf.

Sur cette vidéo, c’est un Sahraoui qui prend la parole pour livrer son témoignage à propos de Rabab Bent Mohamed Ould Ahmed, de son vrai nom Baba Mint Mbarek Ould Ezzoubir.

Juste avant son décès, cette femme s’était confiée à son proche; dévoilant une partie des pratiques inhumaines qui ont lieu dans les prisons du Polisario.

Emprisonnée entre 2002 et 2013, cette femme , qui a changé de nom pour essayer de se faire oublier, raconte son rapt par la «gendarmerie» du Polisario, la série de viols qu’elle a subi et l’enfant qu’elle a eu en prison. La femme nomme son violeur et demande à la communauté internationale de faire la lumière sur les graves violations du Polisario dans ses prisons et, notamment, dans la prison Dhibiya, appelé communément «El ghar» (la grotte).



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