Depuis son accession au pouvoir, en 2019, Tebboune a multiplié les déplacements et les initiatives diplomatiques. Mais pour la presse algérienne, ces derniers temps, la diplomatie du pays a surtout brillé par ses échecs.
“L’algérie nouvelle” accumule les échecs diplomatiques et économiques...
En dépit des efforts enthousiastes du président Abdelmadjid Tebboune, l’algérie a connu un échec, en août, dans sa tentative de rejoindre les Brics (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud).
L’adhésion à ce groupe devait pourtant être une consécration de la diplomatie algérienne. Mais le pays nord-africain n’aurait même pas figuré sur la liste des candidatures à soutenir établie par la Russie et la Chine. Deux pays sur lesquels Abdelmadjid Tebboune comptait beaucoup.
“L’algérie nouvelle”, a du mal à tenir ses promesses. Tebboune, des échecs en rafales!
L’ère Tebboune incarne non seulement des échecs diplomatiques à répétion, mais aussi des crises et des tensions avec de nombreux pays. En plus de la Aujourd’hui l’ère Tebboune incarne non seulement des échecs diplomatiques à répétion, mais aussi des crises et des tensions avec de nombreux pays. En plus de la re hermétique avec le Maroc, le régime algérien entretient une crise nourrie avec l’Espagne, une tension avec la France, et sans aucun doute travaillé par un tropisme iranien, le régime algérien est au bord de la rupture avec d’importants pays du golfe comme l’Arabie Saoudite ou les Émirats arabes unis.
Le projet de ligne ferroviaire Alger-Tamanrasset, inscrit dans la promesse électorale de 2019
Le train entre Tamanrasset en passant par Djanet jusqu’à Alger sera inauguré durant mon 2ème mandat, si vous m’accordez votre confiance
Les projets de dessalement, délai fixé décembre 2024
Dans son discours, mardi 19 septembre, devant la 78ème Assemblée générale de l’ONU, le président algérien Abdelmajid Tebboune, a donné des chiffres pour le moins insensés sur le dessalement de l’eau de mer en Algérie.
Un peu plus d’un mois après sa première déclaration aux médias algériens où il avait prononcé que l’Algérie s’apprêtait à produire l’invraisemblable chiffre de 1,4 milliard de m3 d’eau potable par jour grâce au dessalement de l’eau de mer, Tebboune en a cette fois remis une couche, à la tribune de l’ONU, en évoquant l’équivalent d’une production journalière de 1,7 milliard de m3. Comptez 620,5 milliards m3 en un an.
«D’ici la fin de l’année 2024 l’algérie produira 1,7 milliard de m3 d’eau potable par jour grâce au dessalement de l’eau de mer». a-t-il insisté.
Mise en service des stations de dessalement à compter de février 2025
Abdelmadjid Tebboune, a évoqué, à alger, la date de mise en service des projets des cinq stations de dessalement de l’ eau de mer en cours de réalisation à Tipasa, El Tarf, Béjaïa, Boumerdes et Oran, d’une capacité globale de 1,5 million M3.
Lors de l’inauguration de la 32e Foire de la production algérienne (FPA) au Palais des expositions des Pins maritimes (alger), le président Tebboune a fait savoir que la mise en service de ces projets interviendra à partir de février 2025. Initialement, la fin de l’année 2024 avait été fixée comme date de réception de ces usines de dessalement d’eau de mer.
Le "chef" de l’Etat a donné des instructions pour « le lancement progressif de la distribution d’eau à partir de ces stations à compter de fin février 2025 »,
Sachant que l’Arabie saoudite, l’un des pays de la région MENA qui investit le plus dans le dessalement de l’eau, ne produit que 4,6 millions/jour grâce à ses 28 usines de dessalement.
Son usine d’Al-Jubail, considérée comme la plus grande au monde, produirait quant à elle seulement un million de mètres cubes par jour.
Selon une récente étude établie par BNC Intelligence, le Maroc arrive en première position au Maghreb dans le classement des projets de dessalement de l’eau de mer, avec un investissement de 2,37 milliards de dollars.
Un total de sept stations sont donc aujourd’hui en cours de réalisation, notamment à Laâyoune, Dakhla, la région d’Agadir et l’Oriental.
Le royaume compte rendre la station de Casablanca la plus grande en Afrique, avec une capacité de 200 millions de mètres cubes par an extensible à 300 millions de mètres cubes.
Un total de sept stations sont donc aujourd’hui en cours de réalisation, notamment à Laâyoune, Dakhla, la région d’Agadir et l’Oriental.
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