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Au Maroc: «Le ciel n'est pas la limite»... «The sky is not the limit»...

"Le ciel n'est pas la limite. Votre esprit l'est." Marilyn Monroe

Cette citation, attribuée à l'actrice et icône américaine Marilyn Monroe, suggère que notre potentiel n'est pas limité par des barrières externes telles que le ciel, mais par notre propre pensée et notre perception du monde. Elle souligne ainsi l'importance de l'esprit et de la détermination dans la réalisation de nos rêves et objectifs.

Quand un régime en faillite sacrifie ses ressources sur l’autel d’une cause perdue

«The sky is the limit», c’est avec cette formule ronflante que Sabri Boukadoum, ex-ministre algérien des Affaires étrangères et actuel ambassadeur de l’Algérie à Washington, envisageait à la mi-mars 2025 l’avenir des relations algéro-américaines, au détour d’une interview quémandée au média américain «Defense Scoop». Une interview aux éléments de langage aussi charmeurs que racoleurs, dictés par les communicants de BGR Group, ce cabinet de lobbying américain avec lequel le même Boukadoum avait conclu, au nom de l’Algérie, un juteux contrat de lobbying en septembre 2024.

Dans cette sortie médiatique calculée au centuple près, Boukadoum promettait monts et merveilles à l’Administration nouvellement élue et tant redoutée du Président Trump, pourvu que celle-ci daigne accorder son pardon et sa bénédiction à ses employeurs du régime des généraux coupables de graves égarements et écarts pendant l’intermède du mandat Biden.

En contrepartie du solde de tout compte escompté, le régime algérien s’engageait à ouvrir grandement les portes de son économie rentière aux entreprises américaines, mettre à disposition l’ensemble de ses inestimables ressources minières, dont les très convoitées terres rares, et surtout revoir toute sa doctrine diplomatique et géopolitique ancrée historiquement sur l’idéologie politique de l’ancien bloc de l’Est et le rejet prétendument épidermique de tout rapprochement avec Israël. En filigrane de toutes ces belles promesses formulées à un moment où le régime algérien était empêtré dans une bataille à couteaux tirés avec le gouvernement français, qui aggravait son isolement international, et en plus de l’espoir de lisser les futures positions de l’Administration américaine qui s’annonçaient orageuses envers son pays, l’ancien Premier-ministre par intérim de l’Algérie et ex-chef de sa diplomatie souhaitait ardemment une improbable inflexion de l’Administration Trump sur le dossier fondamental du Sahara.

«The sky is the limit», c’est avec cette formule ronflante que Sabri Boukadoum, ex-ministre algérien des Affaires étrangères et actuel ambassadeur de l’Algérie à Washington, envisageait à la mi-mars 2025 l’avenir des relations algéro-américaines, au détour d’une interview quémandée au média américain «Defense Scoop». Une interview aux éléments de langage aussi charmeurs que racoleurs, dictés par les communicants de BGR Group, ce cabinet de lobbying américain avec lequel le même Boukadoum avait conclu, au nom de l’Algérie, un juteux contrat de lobbying en septembre 2024. Dans cette sortie médiatique calculée au centuple près, Boukadoum promettait monts et merveilles à l’Administration nouvellement élue et tant redoutée du Président Trump, pourvu que celle-ci daigne accorder son pardon et sa bénédiction à ses employeurs du régime des généraux coupables de graves égarements et écarts pendant l’intermède du mandat Biden.

Si vous dites que «The sky is the limit», vous voulez dire qu’il n’y a rien qui empêche quelqu’un ou quelque chose de réussir.

Le président américain a décidé mercredi d’imposer de nouvelles taxes douanières à 180 pays, dont l’algérie 🇩🇿 «The sky is the limit» (30 %).

Cette décision peut avoir un double impact sur l’Algérie. D’abord sur ses exportations vers les États-Unis qui étaient de 2,5 milliards de dollars en 2023. Ensuite, sur les prix du pétrole.

Un droit de douane de 30 % entraînerait une hausse du coût d’importation des produits hors hydrocarbures, ce qui pourrait se traduire par des prix plus élevés pour les consommateurs américains, entraînant une diminution de la demande pour certains produits algériens.

Les importateurs américains pourraient choisir de se tourner vers d’autres pays offrant des produits similaires sans les coûts supplémentaires associés aux droits de douane élevés.

La politique tarifaire mondiale de Trump crée un paysage divisé à travers l’Afrique 🌍

Le Maroc 🇲🇦 maintient des droits de douane bas de 10 % grâce à un partenariat stratégique avec les États-Unis 🇺🇸.

Pendant ce temps, le Lesotho 🇱🇸 (50 %), Madagascar 🇲🇬 (47 %) et Maurice 🇲🇺 (40 %) sont confrontés à des taux d’écrasement.

L’Afrique du Sud 🇿🇦 (30 %), l’Algérie 🇩🇿 «The sky is the limit» (30 %) et l’Angola 🇦🇴 (32 %) sont aux prises avec de lourdes barrières commerciales.

Le Nigeria 🇳🇬 (14 %) cherche des solutions diplomatiques pour protéger les exportations de brut.

Cette approche inégale révèle comment les relations géopolitiques façonnent les résultats économiques.

Les pays africains ayant des liens établis avec les États-Unis, résistent à la tempête, tandis que d’autres sont confrontés à de sévères restrictions d’accès au marché.

Le marché mondial continue de réagir de manière volatile alors que les pays africains s’efforcent d’ajuster leurs stratégies commerciales.

Le ciel n'est pas une limite, la limite c'est la grandeur de l'ambition

Une résolution au Congrès américain en hommage à l’alliance entre le Maroc et les États-Unis...Le Traité d’amitié maroco-américain, le plus ancien jamais signé par les États-Unis avec un pays tiers

Les États-Unis réaffirment une fois de plus leurs excellentes relations avec le Maroc en adoptant une résolution, approuvée par des membres du Parti républicain et du Parti démocrate, pour commémorer près de 250 ans d'amitié avec le Royaume du Maroc, qui remonte à la signature des traités de paix et d'amitié le 18 juillet 1787.

Une résolution vient d’être introduite au Congrès américain en hommage à l’amitié historique et au partenariat stratégique liant le Maroc et les Etats-Unis, à l’approche de l’anniversaire de la commémoration de 250 ans du traité de paix et d'amitié en vertu duquel le Royaume a été le premier pays au monde à reconnaître les États-Unis d’Amérique.

Résolution 251 du Congrès américain

L'acte aura lieu le 1er décembre 2027, jour où les relations entre les deux pays fêteront leurs 250 ans. La résolution ne se contente pas de passer en revue l'histoire des deux pays, mais projette également une avenir prometteur pour le Maroc et les États-Unis grâce à « une collaboration stratégique ».

Voici le texte intégral de la Résolution 251 du Congrès américain, introduite à la Chambre des représentants pour commémorer les 250 ans de relations entre le Maroc et les États-Unis:👇

Intitulée: "Reconnaissant l'amitié de longue date entre le Royaume du Maroc et les États-Unis d'Amérique", la résolution a été introduite à la Commission des Affaires étrangères de la Chambre des représentants, par les Congressman républicain, Joe Wilson et démocrate, Bradley Schneider.

Le Président des États-Unis d’Amérique, Donald Trump a annoncé, vendredi soir, la nomination de Duke Buchan III au poste d’ambassadeur dans le Royaume du Maroc, en soulignant qu’il «jouera un rôle clé alors que nous renforçons la paix, la liberté et la prospérité pour nos deux pays».

Le texte consacre l’engagement bipartisan à Washington en faveur du renforcement de l'alliance "historique et stratégique" entre les deux pays, de même qu’il reconnaît le rôle du Maroc, sous le leadership de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, en faveur de la paix et la stabilité régionale.

"Considérant que le 1er décembre 2027 marquera le 250e anniversaire de la reconnaissance des États-Unis d'Amérique par le Royaume du Maroc, premier pays à l'avoir fait, marquant ainsi une étape importante dans l'une des relations diplomatiques les plus anciennes de l'histoire des États-Unis", lit-on dans le préambule de la résolution, qui rappelle que le 18 juillet 1787, les États-Unis ont ratifié le Traité de paix et d'amitié établissant des relations diplomatiques et commerciales officielles entre les États-Unis et le Maroc.

La résolution rappelle en outre que ce Traité "demeure la plus longue relation diplomatique ininterrompue de l'histoire des États-Unis", que le Maroc a "historiquement favorisé la coexistence religieuse, notamment en protégeant les communautés juives, et s'est engagé dans le dialogue interreligieux", et que les communautés maroco-américaines contribuent à la diversité culturelle des États-Unis.

Tout en soulignant que les deux alliés ont bâti un partenariat "multiforme fondé sur des intérêts stratégiques, économiques et culturels communs", la résolution soumise au Congrès relève que le Maroc "demeure le seul pays africain à avoir conclu un accord de libre-échange (ALE) avec les États-Unis et que, depuis la promulgation de cet accord en 2006, les échanges agricoles bilatéraux se sont développés".

Les auteurs de la résolution mettent aussi en avant la coopération bilatérale "étroite" en matière de sécurité régionale, de lutte contre le terrorisme et de coordination militaire, ainsi que dans les domaines de la non-prolifération nucléaire, de la lutte contre le trafic d'armes illicites et du renforcement des initiatives de sécurité régionale.

Mettant en exergue le rôle du Maroc en faveur de la stabilité régionale, dans le cadre notamment des accords d’Abraham, ainsi que la densité des relations maroco-américaines dans les domaines culturel, éducatif et humanitaire, la résolution affirme l'importance de ces relations pour la promotion des intérêts économiques et sécuritaires mutuels et "salue l'engagement du Maroc dans la diplomatie régionale, notamment sa participation aux accords d'Abraham".

La résolution soumise au Congrès encourage la poursuite de la coopération entre les États-Unis et le Maroc dans les domaines du commerce, de la sécurité, de la transformation numérique et de l'action humanitaire, reconnaissant les opportunités et les défis communs au sein du partenariat de même qu’ils soutiennent les efforts visant à commémorer cette étape importante à l'horizon 2027, à la hauteur de l'importance historique et stratégique de l'alliance entre les deux pays.

Un Rappel que l'histoire du Royaume du Maroc est non falsifiable!
Le premier pays à reconnaître officiellement l’indépendance des États-Unis était le Maroc, en 1777.

C’était un an avant que le deuxième pays, la Hollande, ne reconnaisse l’indépendance des États-Unis et six ans avant la Grande-Bretagne et la plupart du reste de l’Europe. Cette reconnaissance précoce a conduit de nombreux pères fondateurs des États-Unis à avoir une vision extrêmement positive de l’islam et du monde arabe en général. Par exemple, Thomas Jefferson a organisé un Iftar pendant le Ramadan pendant sa présidence, et George Washington a accueilli plusieurs musulmans pour travailler à Mount Vernon.

Plus de faits sur les relations diplomatiques américaines :
La plus ancienne propriété diplomatique américaine se trouve à Tanger, au Maroc. Bien qu’il ne soit plus utilisé pour des affaires diplomatiques, le bâtiment d’origine est toujours un monument national.

Près du Grand Socco de Tanger, un monument discret est l'un des plus importants de la ville. Il s'agit de la légation des États-Unis, qui n'est autre que le premier bâtiment diplomatique américain basé à l'étranger. En effet, après avoir été le premier pays à reconnaître l'indépendance des États-Unis, le Maroc offrit cette maison à la république américaine en 1821. Symbole du traité d'Amitié Maroc-Américain de 1786, ce bâtiment accueillit d'abord des diplomates et représentants américains, avant d'être transformé en musée en 1956.

Désormais, on peut donc visiter gratuitement ce bâtiment historique composé de pas moins de quarante pièces. On y va pour admirer l'architecture, les meubles du XIXème siècle et les objets anciens mais aussi des expositions retraçant les relations qu'entretiennent les États-Unis et le Maroc depuis 1777. La légation des États-Unis héberge également la seule bibliothèque de langue anglaise du pays.

Le traité d’amitié maroco-américain est la plus longue relation de traité ininterrompue de l’histoire des États-Unis, en vigueur depuis 1787.

Les relations des Etats-Unis avec le Maroc ont leur origine dans la guerre d'indépendance américaine, et dans le besoin alors ressenti de protéger le commerce. Dès avant cette guerre, les bateaux des colonies américaines naviguaient en Méditerranée, sous pavillon - et sous protection - britannique. Durant la guerre, un si grand nombre de navires américains relâchaient à Tanger que le Congrès continental jugea prudent de chercher à être reconnu par le sultan Mohammed Ill, l'« Empereur» du Maroc. Cette reconnaissance lui fut, en effet, accordée en 1777 ; le Maroc se trouve ainsi être le premier pays à avoir reconnu la jeune république américaine.

Leur indépendance acquise, les États-Unis prirent rapidement des mesures pour assurer la protection de leur commerce maritime et la sécurité de leurs citoyens. Les côtes d'Afrique du Nord étaient rendues particulièrement dangereuses pour les navires de commerce par la pratique courante de la piraterie, ou plutôt de la course, autrement dit par l'existence des fameux «pirates barbaresques». Pour parer aux dangers qui en découlaient, les États-Unis entamèrent des négociations avec les différentes autorités dont relevaient les régions côtières de l'Afrique du Nord. La négociation pour un traité en bonne et due forme avec le Maroc commença en 1783 et s'acheva en 1786 avec la signature, par John Adams et Thomas Jefferson, du Traité d'amitié maroco-américain.

Toujours en vigueur aujourd'hui, plus de 200 ans après, le Traité d'amitié maroco-américain est Le traité de l'histoire américaine doté de la plus grande longévité.
Les États-Unis réaffirment leur reconnaissance de la souveraineté du Maroc sur le Sahara
En confirmation de la position communiquée par le Président Donald Trump à Sa Majesté le Roi Mohammed VI, les États-Unis ont réaffirmé leur reconnaissance de la souveraineté du Maroc sur le Sahara.

À l’occasion d’un entretien, ce mardi, entre le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, Nasser Bourita, et le Secrétaire d’État Marco Rubio à Washington, ce dernier «a réitéré que les États-Unis reconnaissent la souveraineté du Maroc sur le Sahara».

Lors de l’entretien téléphonique entre S.M. le Roi Mohammed VI et le Président des États-Unis d’Amérique, en décembre 2020, le Président Donald Trump avait informé le Souverain de la promulgation d’un décret présidentiel, avec ce que cet acte comporte comme force juridique et politique indéniable et à effet immédiat, portant sur la décision des États-Unis d’Amérique de reconnaître la pleine souveraineté du Royaume du Maroc sur l’ensemble de la région du Sahara Marocain.

En outre, le chef de la diplomatie américaine a réaffirmé que le États Unis «soutiennent la proposition d’autonomie sérieuse, crédible et réaliste en tant que seule base pour une solution juste et durable à ce différend», a indiqué la porte-parole du Département d’État, Tammy Bruce.

Marco Rubio a réaffirmé que les États Unis «continuent de croire qu’une autonomie authentique sous souveraineté marocaine est la seule solution faisable».

Dans ce cadre, il a affirmé que «le président américain exhorte les parties à s’engager dans des discussions sans délai sur la base de la proposition marocaine d’autonomie comme seul cadre en vue de négocier une solution mutuellement acceptable».

Le Secrétaire d’État «a noté que les États-Unis faciliteraient le progrès vers cet objectif», a conclu la porte-parole.

Rencontre du le Secrétaire d’État Marco Rubio à Washington avec le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, Nasser Bourita

‼️➕️■ Le Secrétaire a réitéré que les États-Unis reconnaissent la souveraineté marocaine sur le Sahara occidental et soutiennent la proposition d'autonomie sérieuse, crédible et réaliste du Maroc comme seule base pour une solution juste et durable au différend.

‼️➕️■ Les États-Unis continuent de croire qu'une autonomie sous souveraineté marocaine est la seule solution envisageable.

‼️➕️ ■ Le Secrétaire a réaffirmé l'appel du Président Trump aux parties à engager des discussions sans délai, en utilisant la proposition d'autonomie du Maroc comme seul cadre, afin de négocier une solution mutuellement acceptable.

‼️➕️ ■ Le Secrétaire a noté que les États-Unis faciliteraient les progrès vers cet objectif.



 
 
 

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