Voici le Communiqué:
"Coordination MAK Paris Île-de-France
Appel à la commémoration du 60e anniversaire de la guerre de l'Algérie contre la Kabylie (1963-1965), suivi d'un hommage à nos héros.
Dimanche 1er octobre 2023 à 14h00, à la Place de la Nation à Paris.*
Azul sumata
La coordination Paris-IDF appelle ses militants et militantes ainsi que les sympathisants du mouvement à un rassemblement commémoratif de la guerre de l'Algérie contre la Kabylie de 1963-1965, qui se tiendra :
*Dimanche 1er octobre 2023 à 14h00, à la Place de la Nation à Paris.*
Ce rassemblement sera l'occasion de rendre pour la première fois hommage à nos héros kabyles tombés pour notre liberté sous les balles du colonialisme algérien.
Des acteurs de cette guerre viendront également témoigner.
Soyons nombreux à nous réapproprier notre histoire.
Tanemmirt wen/nkent"
Abaya et robe kabyle
Alors que la France a décidé d’interdire le port de l’abaya dans les écoles publiques, en Algérie, la robe kabyle a déclenché une polémique. Des débats stériles dénoncés par l’ONU.
Le cadre de la 78ème Assemblée générale de l’ONU a été mis à profit pour dénoncer certaines pratiques discriminatoires. Notamment à l’égard des femmes. Prenant la parole, le Secrétaire général de l’Organisation des Nations Unies, Antonio Guterres, a mis le doigt dans la plaie. Evoquant l’égalité entre les femmes et les hommes à travers le monde, le patron de l’ONU en a profité pour critiquer la France. Le ministre de l’Éducation nationale française, Gabriel Attal, a décidé d’interdire le port de l’abaya dans les écoles publiques.
Guterres se fait avocat des femmes
Dans ce plaidoyer en faveur de l’égalité, Antonio Guterres a ainsi déclaré : «Nous, les peuples, ne signifie pas nous les hommes», a-t-il d’abord campé. «Les femmes attendent toujours l’égalité des chances et des salaires, l’égalité devant la loi, la pleine valorisation de leur travail et la prise en compte de leurs opinions», a poursuivi le SG de l’ONU. «À travers le monde, les droits des femmes, y compris les droits sexuels et reproductifs, sont réduits, voire supprimés, et leurs libertés restreintes ».
Et de faire allusion à la rentrée scolaire en France, sur fond de polémique. «Dans certains pays, les femmes et les filles sont punies parce qu’elles portent trop de vêtements. Dans d’autres, parce qu’elles n’en portent pas assez», relève-t-il pour le déplorer. Au moment où le patron de l’Organisation des Nations Unies prononçait ces mots, en Algérie, une polémique similaire voyait le jour. Un lycée de Béjaïa a empêché une élève d’entrer en classe, parce qu’elle est vêtue d’une robe traditionnelle kabyle.
L’interdiction d’accès à son établissement d’une lycéenne en robe traditionnelle kabyle.
Tout comme en France, l’incident a eu lieu lors de la de rentrée scolaire 2023-2024. La fille s’est présentée devant le portail du lycée Berchiche d’El Kseur, mercredi 20 septembre. Il lui a été signifié qu’elle ne pouvait pas y accéder à cause de l’habit, une robe kabyle, qu’elle portait.
La junte militaire algérienne invente des vacances par peur de la forte mobilisation
La junte militaire vient d'inventer pour la première fois, des vacances, juste après la rentrée scolaire...
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