Vous êtes fan d’une célèbre marque d’ameublement suédoise ?
L’Ampool est faite pour vous! Le cluster aquitain en technologies libres Aquitenic, qui regroupe une vingtaine de sociétés, a décidé de commercialiser en 2017 la première voiture électrique en kit.
Ce véhicule personnalisable, hyper-connecté et conçu en mode « open-source » devrait être commercialisé dès 2017.
Nommée Ampool, cette voiture est dotée d’un châssis et d’une carrosserie fabriqués à base de fibre de verre et de résine bio-sourcée : son poids est donc très léger, ce qui permettra au véhicule de consommer peu d’énergie. Capable de rouler en autonomie sur 120 km pour une vitesse maximale de 80km/h, elle n’est pas destinée aux trajets longs, tandis que son temps de rechargement est évalué à 6 heures. Conçue pour deux personnes, cette voiture est un projet open source, dont les plans et programmes seront accessibles gratuitement pour tous.
Le véhicule sera proposé en 14 morceaux distincts qui pourront assemblés en 4 heures. On vous rassure, l’assemblage ne sera tout de même pas confié aux utilisateurs finaux mais à certains garages partenaires qui recevront les kits et les monteront dans leurs ateliers.
Son prix de lancement devrait être inférieur à 20 000 euros et devrait diminuer progressivement.
Dévoilée officiellement l’automne dernier à l’occasion du 22ème Congrès mondial sur le transport intelligent qui se tenait à Bordeaux, cette première voiture électrique open-source d’Europe devrait être commercialisée au début de 2017. Son prix de lancement devrait être inférieur à 20 000 euros et devrait diminuer progressivement.
Le premier prototype prend la forme d’une citadine deux places et a déjà pu être testé sur le circuit de Pau Arnos. Si on ne connait pas encore les détails techniques du véhicule, on sait qu’Aquinetic vise une autonomie d’environ 120 kilomètres.
L'incroyable mensonge de la première voiture électrique 100% algérienne
Le "sinistre" de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique Kamel Baddari a donné lundi 17 avril le coup d’envoi d’un projet de fabrication de la première voiture électrique algérienne.
Sur les réseaux sociaux, l’annonce du projet de la première voiture électrique 100% algérienne a reçu un accueil mitigé. Il est vrai que le véhicule présenté ne ressemble pas vraiment à une voiture électrique, c’est ce que pointent les internautes ayant réagi.
Une page Facebook a mis la photo du véhicule présenté comme la voiture électrique algérienne en 2023 avec une autre photo de la première voiture fabriquée en Allemagne il y a une centaine d’années.
« Ceci n’est ni une voiture ni un chariot. On ne sait même pas comment le nommer, mais pour dire que c’est une voiture électrique 100% algérienne…. », écrit une autre page sur Facebook également.
Comparativement avec d’autres pays comme la Turquie qui ont présenté de vrais modèles de voitures électriques, le ministre de l’Enseignement aurait dû patienter avant de monter dans ce prototype de véhicule électrique algérien, estiment certains.
Le modèle sur lequel travaillent plusieurs équipes du CRTI est un véhicule de quatre places, selon les précisions de Mokhtar Hocine, un des ingénieurs du CTRI dans des déclarations à la presse.
« Nous avons achevé la partie structure tandis qu’une autre équipe a achevé la batterie. Il nous reste les commandes », a expliqué l’ingénieur.
Le véhicule est doté d’un moteur de 6 kilowatts, alimenté par une batterie de 220 volts, selon Mokhtar Hocine qui a ajouté que cette voiture électrique algérienne peut être chargée à domicile, pendant six heures.
Pour ce qui est de l’autonomie de la batterie, elle est de 150 km pour le moment. « Nous travaillons pour une plus grande autonomie de la batterie », a-t-il indiqué.
L’ingénieur présenté comme l’inventeur du concept a évoqué la possibilité de travailler avec des startup pour les composants de la voiture électrique algérienne.
« Notre objectif est de créer des postes d’emploi pour les diplômés des universités et d’intégrer les startup afin de réduire la dépendance à l’étranger », a ajouté Mokhtar Hocine.
Plusieurs intervenants dans le projet
La conception de la structure a été faite en collaboration avec BMS Motos, société spécialisée dans la fabrication de motos, a révélé Abdeslam Benamar, directeur adjoint du CTRI.
« On peut dire que la partie mécanique est complétée à 100 %. Tout ce qui est freins, direction, suspension, on a déjà une base avec laquelle on peut tester le moteur électrique », a-t-il poursuivi en révélant que la batterie a été conçue par les ingénieurs du département d’études du CTRI à Sétif.
Le directeur adjoint n’a pas caché ses ambitions pour la fabrication des voitures électriques ou bien des parties de ce genre de voitures qui devraient remplacer à terme les automobiles à moteur thermique dans de nombreux pays, notamment en Europe.
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