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algérie: une touriste Tunisienne écope d'un an de prison ferme pour avoir dénoncé le mutisme des autorités algériennes par rapport au phénomène du harcèlement sexuel. Des femmes🙋 brisent le silence📣

Dounia El Guenni, une touriste tunisienne en algérie qui finit en prison après avoir porté plainte pour harcèlement.
  • La Convention d’Istanbul du Conseil de l’Europe définit le harcèlement sexuel comme suit :

"toute forme de comportement non désiré, verbal, non verbal ou physique, à caractère sexuel, ayant pour objet ou pour effet de violer la dignité d’une personne, en particulier lorsque ce comportement crée un environnement intimidant, hostile, dégradant, humiliant ou offensant."

  • La Directive 2002/73/CE de l’Union européenne définit aussi le harcèlement et le harcèlement sexuel.

Le harcèlement, c’est «la situation dans laquelle un comportement non désiré lié au sexe d’une personne survient avec pour objet ou pour effet de porter atteinte à la dignité d’une personne et de créer un environnement intimidant, hostile, dégradant, humiliant ou offensant».

Quant au harcèlement sexuel, il s’agit de «la situation dans laquelle un comportement non désiré à connotation sexuelle, s’exprimant physiquement, verbalement ou non verbalement, survient avec pour objet ou pour effet de porter atteinte à la dignité d’une personne et, en particulier, de créer un environnement intimidant, hostile, dégradant, humiliant ou offensant ».

Cette directive stipule que le harcèlement est une forme de discrimination et qu’il est illégal.

Le harcèlement sexuel à l’égard des femmes de l’ampleur en algérie. Il continue de causer beaucoup de problèmes, notamment d’ordre mental et psychique. Autrefois tabou et écrasé par les interdits, le phénomène est aujourd’hui dénoncé par les victimes même si, dans la majorité des cas, la loi n’a pas pu les protéger puisque les prédateurs ne répondent pas de leurs actes. Chez certaines femmes, parfois, c’est leur destin professionnel qui est brisé et toute une carrière qui est mise entre parenthèses. Témoignages…

Le problème c'est qu'elle dit s'être fait harceler par la police quand elle est partie porter plainte contre harcèlement ! l'autre problème: procès expéditif en une journée, avec 1500 € d'amende et un an de prison...

Donia Gueni, une jeune tunisienne qui est allée visiter l'algérie et s'est retrouvée en prison à cause d'une vidéo postée sur Tiktok. Elle a pris un an de prison ferme et une amende de 300 000 dinars.

"L'algérie est très dangereuse, je ne conseille à personne d'y aller, le risque d'agression est très élevé. Même la police m'a harcelée quand j'ai voulu porter plainte, j'ai été victime d'attouchements." Dounia El Guenni

Wait and see... ça va chauffer, les tunisiens sont furax....

Ce régime va pourrir la seule destination touristique ouverte aux algériens et détruire les relations avec le peuple tunisien aussi.

Claire, une Youtubeuse Française se fait agresser dès son premier jour en algérie
En voyage en algérie, l’influenceuse FitClaire se fait harceler par un passant (VIDÉO)

FitClaire, une influenceuse française connue pour ses vidéos de voyage, a récemment fait face à une expérience déconcertante lors de son séjour en algérie. Alors qu’elle était en plein tournage d’une vidéo, un incident perturbant est venu bouleverser son voyage.

L’influenceuse FitClaire en pleine confrontation avec un passant indésirable à Tlemcen

Alors qu’elle se trouvait dans les rues de Tlemcen, FitClaire a remarqué la présence d’un homme inconnu près d’elle. La jeune femme explique ensuite que l’inconnu lui aurait proposé son aide pour trouver son chemin.

La situation a rapidement pris une tournure inquiétante lorsque l’homme en question a osé poser une main sur l’épaule de la jeune femme. Déconcertée et se sentant menacée, FitClaire a réagi avec prudence en cherchant à échapper à la situation.

Harcèlement de rue: un calvaire que subissent les jeunes femmes les (voilées comme les non-voilées) en algérie... [Vidéo]

L'expression «harcèlement de rue», en anglais "street harassment", est utilisée en Europe et en Amérique du Nord pour désigner des pratiques de harcèlement sexuel, subies principalement par des femmes dans l'espace public (lieux publics - rues, places - ou transports publics) de la part d'inconnus de genre masculin.

L'expression est utilisée de façon extensive pour englober tous types d'acte d'objectivation sexuelle (sifflement, tentative de séduction, remarque déplacée, etc..). Bien que certains propos prennent la forme de compliments, ces comportements sont le plus souvent mal vécus par leurs cibles.

Un fléau constant

Des mots salaces lancés à la volée, des regards obscènes, voire des attouchements, ne sont pas près de disparaître des rues des principales villes algériennes. Ici et là, on entend encore les "Mon amour", "beau corps", "charmante", "j’ai envie de te manger", "jolies fesses", "que Dieu te garde", "c’est combien ?"....

Dolsiana, une touriste française harcelée à alger

Ces comportements et pratiques n’épargnent pas les touristes étrangers. C’est le cas d’une influenceuse française qui a subi un harcèlement de rue à alger.

Pour dénoncer ce phénomène, la touriste a filmé le comportement de ce citoyen. La vidéo a provoqué un tollé et la frustration des internautes algériens.

Dolsiana visite pour la première fois l’Algérie, elle se fait harceler

Connue sous le pseudonyme de Dolsiana et suivie par plus de 560 000 abonnés sur TikTok, la touriste profite de son séjour en algérie, pour se promener le soir dans les rues d’Alger. Alors qu’elle filme une Story pour la partager sur ses réseaux sociaux, pour montrer la beauté de l’architecture de la ville.

Sa promenade nocturne a été vite interrompue par un jeune homme qui lui demande son numéro de téléphone. Dolsiana l’ignore, dans un premier temps, mais son harceleur continue de lui parler, puis se met à l’insulter, à lui tenir le bras pour la forcer à lui parler.

«Ne me touche pas» lui lance-t-elle, mais l’homme en question continue de la suivre comme son ombre. «Je ne sais pas comment me débarrasser de lui» , a déclaré Dolsiana désespérée.

Amira Bouraoui

Icône du mouvement d’opposition Barakat, Amira Bouraoui, médecin, partage le même avis. Elle souligne la difficulté de faire valoir les droits des femmes dans une société conservatrice, où la rue est perçue comme un espace masculin.

"Pendant la garde [à l’hôpital], nous avons reçu en consultation une jeune fille de 20 ans qui s’est fait violer par quatre voyous, racontait-elle sur Facebook. Mais quand on a dit qu’il fallait déposer plainte, elle s’est sauvée. Je suis triste de vivre dans le pays où c’est à la victime d’avoir honte et non pas au bourreau."

Le voile apparaissait parfois comme un rempart.

Il y a bien longtemps que le voile a cessé d’être un symbole de vertu. Les femmes voilées de plus en plus ciblées verbalement ou physiquement.

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