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Algérie: TSA: « Et pour quelques dinars de plus », Khawa khawa » (Marocains et Algériens, frères).

Crise du coronavirus, crise financière, crise économique, crise politique, et crise climatique: Quatre crises frappent simultanément l’Algérie

TSA: « Et pour quelques dinars de plus »

Avant:


TSA, a prêté allégeance aux généraux algériens

Après:

Les annonces légales, un bon moyen de pression.

La manne des annonces, dépendant des pouvoirs publics, représenterait environ dix milliards de dinars par an. Cette somme est répartie entre deux cents titres au bon gré des autorités.

Les mauvais élèves punis, les bons élèves (les lèche-bottes ont baissé leur pantalon…) récompensés. exemple le TSA – Tout sur l’Algérie.

Il y a une vraie culture du délire algérien sur le Maroc. Avec ses codes, ses postures et ses réflexes. Un délire médiatique qui reflète une pathologie politique presque atavique. Dans l’architecture des médias algériens, on peut trouver les rubriques ordinaires comme « Politique internationale « , « Horoscope » ou « Faits divers » . Mais on peut trouver aussi une rubrique qu’on peut intituler « Haine du Maroc « . Elle est si florissante et si porteuse pour ses promoteurs qu’elle dispose déjà de ses plumes stars et de ses éditorialistes vedettes. Et ils se livrent depuis des années un concours invisible à celui qui versera le fiel le plus venimeux sur le pays voisin, à celui qui dégoupillera à son encontre la plus empoisonnée des charges. Pour ses plumes et ses faiseurs d’opinion en mission de déconstruction, il s’agit d’un concours qui mène vers les cimes et garantie les carrières les plus juteuses. L’institution militaire algérienne, véritable détentrice des clefs de l’ascenseur social algérien, sait récompenser ces nervis de la propagande anti-Maroc dont la presse algérienne est devenue l’unique réceptacle.

« Haine du Maroc « 

La propagande anti-Maroc  « Haine du Maroc  » dont la presse algérienne est devenue l’unique réceptacle« Cette haine du Maroc est ancrée dans le psychisme de l’armée algérienne ».

Crise du coronavirus, crise financière, crise économique, crise politique, et crise climatique: Quatre crises frappent simultanément l’Algérie.

TSA, vous avez beaucoup de pain sur la planche, « To have a lot on one’s plate ».

Ces quatre crises cumulées sont d’une extrême gravité dans la mesure où elles mettent en péril la cohésion sociale, les ressources financières, la santé publique et une partie de l’alimentation du pays.

La crise politique s’est installée depuis un peu plus d’une année et persiste du fait de l’absence de volonté de la résoudre de la part de ceux qui ont le pouvoir d’agir dans le sens d’un apaisement et d’une solution politique viable.

Dans le contexte de la crise financière provoquée en Algérie par la chute des prix du pétrole, quasiment seule ressource en devises du pays, le Premier ministre Abdelaziz Djerad a qualifié de «catastrophique» la situation du pays héritée de l’ancien pouvoir du Président déchu Abdelaziz Bouteflika. En décidant d’augmenter sa production de pétrole faute d’avoir trouver un accord avec l’inflexible Russie, la monarchie pétrolière a semé la panique : le prix du baril a chuté de plus de 30% et plongé les Bourses dans la tempête. Deux pays sont en outre asphyxiés : l’Iran et l’Algérie.

L’enjeu des années à venir, se décidera après la chute très probable du régime autoritaire actuel finissant.

Les décisions annoncées par le Président algérien; Abdelmajid Tebboune, sont-elles en mesure de juguler la crise? Sputnik a posé la question à l’ancien ministre algérien du Trésor Ali Benouari (1991-1992), expert international en finances et président du parti non agréé Nida El Watan (l’Appel de la Patrie).

ALI BENOUARI AFFIRME QUE L’ÉCONOMIE ALGÉRIENNE «EST GÉRÉE AVEC DES RÉFLEXES NORD-CORÉENS ALORS QU’ELLE EST LARGEMENT LIBÉRALISÉE ET IMBRIQUÉE DANS LE SYSTÈME MONDIAL D’ÉCHANGES». «L’URGENCE DU MOMENT EST D’ÉVITER DE BASCULER DANS L’HORREUR VÉNÉZUÉLIENNE».

Crise du coronavirus, crise financière, crise économique, crise politique, et crise climatique: Quatre crises frappent simultanément l’Algérie

La crise politique s’est installée depuis un peu plus d’une année et persiste du fait de l’absence de volonté de la résoudre de la part de ceux qui ont le pouvoir d’agir dans le sens d’un apaisement et d’une solution politique viable.

La crise économique qu’on voyait poindre à l’horizon s’est quant à elle brutalement installée depuis l’annonce d’un subit effondrement des cours du pétrole.

La crise sanitaire qui n’en est qu’à son début tend à prendre l’allure d’un scénario dramatique avec la pandémie de Coronavirus qui contraint à prendre des mesures de protection draconiennes qui pourraient à terme paralyser toute l’économie nationale.


La crise climatique qui se caractérise par un gros déficit pluviométrique ne manquera pas d’affecter gravement la production agricole et notamment, la récolte de céréales qui promet déjà d’être médiocre.

Algérie : la « décennie noire » est de retour,  


TSA, « Et pour quelques dinars de plus » Khawa khawa » (Marocains et Algériens, frères).

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