Algérie: Interdiction de la vente de l’huile de table aux moins de 18 ans! Nouveau Record InterContinental «Guinness book of world records»…
Un nouveau record du monde vient d’être enregistré dans le fameux «Guinness book of world records»
Pour entrer dans l’histoire, l’Algérie, vient d’interdire la vente de l’huile de table aux moins de 18 ans! par cet exploit l’Algérie vient donc de battre un nouveau record.
La Nouvelle Algérie est entrée dans l’histoire des Guinness des records,(The Guinness World Records). En effet, l’Algérie est le premier pays au monde à avoir interdit la vente de l’huile de table aux moins de 18 ans. C’est ce qu’a confirmé le ministre du Commerce et de la Promotion des exportations, Kamel Rezig.
Heureusement que le ridicule ne tue pas, comme on dit.
Le ministre du Commerce, Kamel Rezig, avait indiqué, ce samedi 8 janvier 2022, dans une déclaration à la presse, en marge du Salon d’échanges commerciaux et d’investissements algéro-turc, au centre des conventions Mohamed Benahmed, que l’année 2022 sera une année industrielle et économique.
En 2022, l’Algérie deviendra le premier pays d’Afrique à exporter la matière première de l’huile de table a ajouté le ministre.
Dans une déclaration à la presse, en marge de sa visite dans la wilaya d’Oran, le ministre du Commerce a expliqué que l’Algérie a besoin de 1.600 tonnes de l’huile par jour, ajoutant qu’une usine Safia dans la wilaya couvre 50%.
Interdiction de la vente de l’huile de table aux moins de 18 ans… Nouveau Record InterContinental
Le Venezuela et l’Algérie… les pays producteurs de pétrole foncent vers une grave crise
Venezuela, Algérie… les pays producteurs de pétrole foncent vers une grave crise, les deux pays font l’objet de sévères critiques en matière des droits humains, des pays où les représentants des tyrans les plus sanguinaires de la planète.
La chute des prix du pétrole, fait grincer des dents, chez les pays émergents producteurs de pétrole, à l’instar des plus fragiles (Algérie, Venezuela…). Les responsables de l’Opep et de l’Agence internationale de l’énergie (AIE) ont exprimé leur craintes d’impacts économiques et sociaux « majeurs » pour les pays producteurs de pétrole, en particulier les plus vulnérables, dans le contexte de la crise actuelle.
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