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Algérie: deux détenus sahraouis témoignent de l’horreur au bagne de « Dhaibia », dans les camps de T

Algérie : deux détenus sahraouis témoignent de l’horreur au bagne de « Dhaibia », dans les camps de Tindouf.

Une vidéo qui a fuité du sinistre bagne «Dhaibia» [Alcatraz] à Tindouf sur le sol algérien vient à nouveau révéler au grand jour les exactions des droits de l’homme commises par le Polisario sur le sol algérien.

Des témoignages explosifs, poignants et hérissent les poils… Une vidéo qui a fuité du sinistre bagne «Dhaibia» à Tindouf vient à nouveau révéler au grand jour les exactions des droits de l’homme commises par le Polisario sur le sol algérien.

Témoignages de l’enfer carcéral dans la prison Dhaibia

Des témoignages explosifs, poignants et hérissent les poils… Une vidéo qui a fuité du sinistre bagne «Dhaibia» à Tindouf vient à nouveau révéler au grand jour les exactions flagrantes et atrocités perpétrées par les tortionnaires du Polisario sur le sol algérien, qui portent gravement atteinte aux droits de l’homme, ainsi que les disparitions forcées, les détentions arbitraires et les abus exercés par les séparatistes, qui requièrent une intervention urgente de la communauté internationale.


Mme Aicha Douihi, présidente de l’Observatoire de’Observatoire du Sahara pour la Paix et la Démocratie à Laâyoune, présente une lecture des déclarations des prisonniers….




Rappel: Dans la nuit du 19 au 20 octobre 2020, l’armée algérienne brûle vifs deux jeunes Sahraouis

Algérie: L’armée algérienne brûle vifs deux jeunes Sahraouis…L’Observatoire des Droits de l’Homme de Catalogne condamne.

L’armée algérienne brûle vifs des orpailleurs sahraouis, près de Tindouf

Qualifié de «crime horrible et impardonnable»

Brûlés vifs par l’armée algérienne, le président de l’Observatoire des Droits de l’Homme de Catalogne M. Ricard Checa dénonce un “acte criminel” …

« Deux jeunes Sahraouis ont été brûlés vifs à Tindouf par des soldats algériens est un crime impardonnable. » a martelé M. Ricard Checa, président de l’Observatoire des Droits de l’Homme de Catalogne.

Vidéo:


Les habitants des camps de Lahmada près de Tindouf viennent d’être horrifiés par la barbarie de l’armée algérienne. Lundi soir, deux jeunes Sahraouis ont été brûlés vifs par des soldats algériens alors qu’ils se trouvaient au fond d’une tranchée d’orpaillage non loin des camps.

De telles méthodes sont utilisées pendant la Seconde Guerre mondiale, où le feu était souvent utilisé par les troupes nazifascistes contre les populations civiles en Italie, et en 2015, un ressortissant jordanien a été brûlé par le groupe terroriste ISIS Daesh.

Exécution sommaire et de la façon la plus barbare! Dans la nuit du 19 au 20 octobre 2020, les camps de Lahmada près de Tindouf ont été secoués par une horrible tragédie, suite à l’assassinat atroce de deux jeunes Sahraouis, brûlés vifs par l’armée algérienne. A la vue des images diffusées par certains sites d’opposants au Polisario, les deux victimes se trouvaient sur un grand chantier d’orpaillage à ciel ouvert, où l’on voit quantité de matériel, dont un groupe électrogène. Ce qui prouve que l’activité n’a rien de clandestine et que les soldats algériens ne pouvaient ignorer une présence humaine dans la tranchée qu’ils ont volontairement incendiée.

C’est la commission des droits de l’homme relevant de «Sahraouis pour la paix», un mouvement dissident du Polisario, qui a été la première à annoncer ce crime commis par l’armée algérienne, après avoir été alertée par ses nombreux relais au sein du camp dit de «Dakhla», d’où sont originaires les deux victimes. Or ce camp, totalement encerclé par les milices du Polisario et l’armée algérienne, est connu pour être celui des opposants purs et durs au Polisario, et dont les habitants sont majoritairement favorables à un retour au Maroc. Les deux victimes tuées par l’armée algérienne ont été nommément et tribalement identifiées. Il s’agit de Mha ould Hamdi ould Soueilem (Reguibat) et Alioune Al Idrissi (Brabiche).

Le Feu, une pratique utilisée en Afrique du Sud

« Afrophobie ? » « Xénophobie ? » « Racisme entre Noirs ? » Un « Noir » déjà bien « noir » qui massacre un « étranger » sous prétexte qu’il aurait la peau trop sombre : la haine de soi par excellence ? Mais bien sûr, c’est tout cela en même temps ! » s’exclame l’historien et enseignant à l’université du Witwatersrand à Johannesburg Achille Mbembe, dans un long texte repris par Courrier international. Ce dernier décrit une situation devenue explosive alors qu’en 2015 et 2017 déjà ces mêmes violences avaient défrayé les chroniques. Interrogeant un chauffeur de taxi sur la manière dont les agresseurs s’y prennent, Achille Mbembe nous apprend que le feu utilisé est un héritage de l’apartheid. «Parce que du temps de l’apartheid, le feu, c’était la seule arme que nous avions, nous, les Noirs. Nous n’avions pas de munitions, d’armes et tout ça. Avec le feu, on pouvait fabriquer des cocktails Molotov et les jeter sur l’ennemi à bonne distance », explique le chauffeur.

L’armée algérienne à la gâchette facile et rapide… Elle pris l’habitude de tirer sur les sahraouis séquestrés dans les camps de Tindouf au sud de l’Algérie

Cet incident grave n’est pas le premier. Le mois de mai dernier, un groupe de six jeunes orpailleurs sahraouis ont été pris pour cible par une unité de l’armée algérienne alors qu’ils prospectaient une zone des environs du camp dit d’Eddakhla situé à 150 kilomètres au Nord-Est de Rabouni. Hostilités, attaques et assassinats … perpétrés contre les sahraouis séquestrés dans les camps de Tindouf au sud de l’Algérie par l’armée algérienne sont en recrudescence sont devenus un phénomène quotidien.

Cet acte inhumain survient dans un contexte de vives tensions, marqué par la multiplication des voix de défenseurs des droits humains qui dénoncent de plus en plus les cas de violences, de disparitions et de morts suspectes.

Le Polisario a tenté de couvrir ce crime et de faire diversion en tentant de provoquer des soldats marocains dans la région de Mheriz, non loin du passage de voitures de la mission de maintien de la paix des Nations Unies au Sahara (Minurso).

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