Des agents secrets de la république Islamique de l’Iran auraient infiltré le Hirak à la demande du régime algérien.
L’Iran, pays célèbre dans le domaine de la répression et la dissuasion des manifestations
Des agents secrets de la république Islamique de l’Iran auraient infiltré le Hirak à la demande du régime algérien. Le but est d’aider à étouffer les manifestations. Des rapports évoquent une implication des services secrets iraniens. Rien n’est surprenant venant de deux systèmes politiques hybrides !
ماذا يفعل عناصر من فيلق عسكري و مخابراتي إيراني 🇮🇷 داخل الجزائر 🇩🇿.. هناك تقارير عدة تشير إلى السعي إلى خنق الحراك باستقدام فرق عسكرية من إيران. pic.twitter.com/Yt2pZgpoHD — عبدالرزاق محمد (@AAlbanine) March 13, 2021
Pour rappel, Alger avait été très embarrassée par la décision du Maroc de rompre ses relations diplomatiques avec l’Iran. Cette décision a renforcé l’isolement d’Alger, vivement pointée pour son basculement dans «l’axe iranien ».
Suite à la réaction de l’Algérie après la décision du Maroc de rompre ses relations diplomatiques avec l’Iran, le porte-parole du ministère marocain des Affaires étrangères et de la coopération internationale a indiqué, le mercredi 2 mai 2018, que le Royaume comprend l’embarras de l’Algérie, son besoin d’exprimer sa solidarité avec ses alliés du Hezbollah, de l’Iran et du Polisario, et sa tentative de nier son rôle occulte dans cette action contre la sécurité nationale du Maroc. Le responsable marocain a repris les explications déjà données par le ministre des Affaires étrangères: «Le Maroc dispose de données précises, de preuves tangibles, concernant le soutien politique, médiatique et militaire du Hezbollah au polisario, en connivence avec l’Iran. Les autorités marocaines ont pris le temps nécessaire pour étudier minutieusement l’ensemble de ces éléments avant de prendre, en toute responsabilité, leur décision.» A l’évidence, la réaction algérienne est loin d’être une surprise. Le porte-parole du ministère marocain des Affaires étrangères et de la coopération internationale le dit clairement: «Quand il s’agit du rôle de l’Algérie dans l’affaire du Sahara et de son soutien flagrant au polisario, le Maroc n’a pas besoin d’insinuer l’implication de ce pays, ni de le « mettre en cause indirectement. Il est de notoriété publique que l’Algérie, depuis 1975, abrite, arme, finance, entraîne et se mobilise diplomatiquement pour les séparatistes du polisario».
Amir Mousawi, agent secret iranien dans la peau d’un diplomate
Le départ d’un diplomate en fin de mission pourrait-il, à chaque fois, provoquer des polémiques ? Absolument pas, dirait l’autre. Pourquoi donc le départ d’Amir Moussawi, attaché culturel de l’ambassade d’Iran en Algérie, a-t-il été médiatisé aussi bien en Algérie qu’au Maroc et dans plusieurs autres pays ? Les observateurs savent pertinemment la réponse, le peu diplomate Amir Mousawi était peut-être tout, sauf un diplomate ! Lundi, l’agent iranien avait annoncé lui-même, photo à l’appui, son départ de l’Algérie, comme cela a été longtemps réclamé par beaucoup de parties, dont le Maroc qui l’accusait d’être le médiateur principal dans les opérations d’armement du Polisario. Et pourtant, son départ était pressenti déjà au mois de mai dernier, mais l’Iran avait exercé davantage de pressions sur l’Algérie, où Mousawi jouait le rôle, parmi tant d’autres, d’intermédiaire entre le Polisario et le Hezbollah, pour s’assurer le soutien du mouvement chiite pro-iranien. Cette fois-ci, c’est pour de bon, la présence de Mousawi sur le territoire algérien tournait plutôt en mascarade. Et ce sont les acteurs et cadres algériens de tous bords qui appelaient à ce que l’agent iranien soit chassé du pays ! Amir Mousawi qui n’avait rien d’un diplomate ni d’un conseiller culturel, devenait, au fil du temps, un fardeau ingérable pour les autorités algériennes qui ont, selon des sources médiatiques algériennes, appelé l’Iran à mettre fin à la mission de leur agent, dont les manigances et manœuvres étaient devenues assez flagrantes, mais aussi embarrassantes. Alger n’avait pas pu certes imposer son départ, et voulait que ce soit de la propre initiative des Iraniens ! D’ailleurs, il était difficile de comprendre le mutisme des décideurs algériens qui ont, en revanche, poussé des responsables de second rang à réclamer son départ. En effet, Adda Fellahi, ancien chargé de communication du ministère des Affaires religieuses, avait appelé, en mai dernier, sur sa page Facebook le «chargé des affaires culturelles «au sein de l’ambassade iranien à quitter Alger pour les «intérêts suprêmes «de l’Algérie, avait-il écrit à l’époque. Et d’arguer, en guise d’explication, que les mouvements et les actions de Mousawi qui contactait des acteurs de la société civile étaient devenus bien compromettants et donc n’étaient pas appréciés du tout. Enfin, Alger est parvenu à se défaire d’un agent devenu trop encombrant.
موعدنا الساعة الثالثة بتوقيت الجزائر على #تلفزيون_التركية_الناطقة_بالعربية ،،، لمناقشة أخر التطورات السياسية في الجزائر رفقة ضيوف في البرنامج #أخوكم_سعدان_محفوظ_شعيب القيادي والإطار بحزب جبهة التحرير الوطني 🇩🇿🌺🇩🇿🌺 تردد القناة على النايلسات // 11390 – عمودي – 27500 مشاهدة طيبة pic.twitter.com/Tiz61holNK — سعدان محفوظ شعيب (@MYFPs8iTpGu4Wic) July 5, 2019
تعازينا القلبية لعائلة الأخ الغالي والمقاوم الشهم #مصطفى_ربحي ،،، أحد الداعمين والمساندين لسورية العروبة ومحور المقاومة بالجزائر رفيقكم الأخ // سعدان محفوظ شعيب الأمين العام لمجلس الشباب القومي العربي لدعم صمود سورية ومحور المقاومة قيد التأسيس ،،، 🇸🇾🇮🇶🇵🇸✌️🇩🇿🇮🇷🇱🇧 pic.twitter.com/WEeVcQpTTp — سعدان محفوظ شعيب (@MYFPs8iTpGu4Wic) June 2, 2019
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