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Algérie / Dossier: Encore une fois, l’Agence de Presse Algérienne (APS) est dans de très sales draps

Algérie: Encore une fois, L’Agence de Presse Algérienne (APS) est dans de très sales draps…

Le « casting » du mensonge par les médias algériens!!!

Le mensonge par les médias peut relever de motivations triviales, d’une volonté commerciale de sensationnalisme ou d’autovalorisation.

« Le photographe français Yann Arthus-Bertrand décide de poursuivre l’Agence de Presse Algérienne (APS) pour Plagiat d’image. En effet, sa photo est protégée par les lois internationales sur la propriété intellectuelle, qu’il avait prise dans le Wadi Rum, dans le sud de la Jordanie, et l’agence en question a affirmé qu’elle provenait du sud de l’Algérie. » Publié par Mohamed Ouamoussi, Journaliste reporter Paris chez Dubai TV et l’Agence de presse des Émirats Arabe Uni français sur sa page officielle sur Facebook.

Yann Arthus-Bertrand, né le 13 mars 1946 à Paris, est un photographe, reporter, réalisateur et militant écologiste français. Il préside la fondation GoodPlanet. Yann Arthus-Bertrand est né le 13 mars 1946 dans la famille de médaillistes-joailliers, la maison Arthus-Bertrand, fondée au xixe siècle par Claude Arthus-Bertrand et Michel-Ange Marion. En 1963, âgé de 17 ans, il devient assistant réalisateur puis acteur de cinéma. Il joue entre autres aux côtés de Michèle Morgan dans Dis-moi qui tuer d’Étienne Périer en 1965 et dans OSS 117 prend des vacances de Pierre Kalfon en 1970. En 1967, il abandonne le cinéma et travaille au parc animalier du château de Saint-Augustin, à Château-sur-Allier3, dans l’Allier. En 1976, âgé de 30 ans, il part avec son épouse Anne vivre au Kenya dans le parc national Massaï Mara pour étudier le comportement d’une famille de lions qu’il photographie chaque jour pendant trois ans. Pierre Pfeffer a été le directeur de thèse de Anne et de Yann Arthus-Bertrand pour son étude des lions du Massaï Mara. Parallèlement, il est pilote de montgolfière. C’est à ce moment qu’il découvre la terre vue du ciel et qu’il s’initie à la photographie aérienne. 

Quelles sont les sanctions en cas de plagiat en  France ?

Le plagiat est un délit exposant le plagiaire à des sanctions pénales et disciplinaires. Le délit de contrefaçon est constitué au regard de l’article L 335-3 du Code de la propriété intellectuelle en cas de « reproduction, représentation ou diffusion, par quelque moyen que ce soit, d’une œuvre de l’esprit en violation des droits de l’auteur. » Le délit de contrefaçon est puni d’une peine maximale de 3 ans d’emprisonnement et de 300 000 € d’amende. Des dommages et intérêts peuvent également être prononcés à l’encontre du plagiaire afin de réparer le préjudice économique et moral de l’auteur.

En France c’est la DGCCRF qui est en charge de la surveillance et du bon fonctionnement du marché.

Outre des sanctions pénales, le plagiaire peut également se voir infliger une sanction disciplinaire. Ces sanctions disciplinaires dépendent de la gravité du plagiat. Concernant les étudiants, elles peuvent aller du simple avertissement à l’exclusion temporaire ou définitive. Pour les chercheurs, cette sanction peut consister en la perte du financement de leur recherche.

Le plagiat a également pour effet de nuire à la réputation de son auteur. Ainsi, l’universitaire qui a plagié aura des difficultés à trouver un poste ou à se faire publier dans des revues spécialisées. Dans le secteur privé, le plagiat peut mener à un licenciement et réduire les perspectives d’emploi du plagiaire.

Rappel: L’agence de presse algérienne prise en flagrant délit de mensonge par l’ONU
L’agence de presse officielle algérienne est dans de très sales draps.

Vendredi 28 août, deux plaintes visant les autorités algériennes pour violation des droits de l’Homme ont été déposées auprès du Haut-Commissariat de l’ONU aux droits de l’Homme à Genève.

Mardi 1er septembre, l’Agence de presse algérienne (APS) a publié un article en français, arabe et anglais affirmant qu’un organisme appelé  » le Bureau des Contentieux de l’ONU à Genève  » a rejeté une plainte d’un groupe de militants politiques algériens  » 24h après son dépôt et examen de son contenu par les délégués juristes du Bureau « .

Pour rappel, et en vue de faire passer leur mensonge, les autorités algériennes auraient apparemment traficoté les propos d’un fonctionnaire égyptien, Issam Al Muhammadi, secrétaire au Bureau des contentieux de l’ONU à Genève. Ce dernier, selon l’APS, aurait affirmé sur les ondes de Radio Monte-Carlo (RMC) que la plainte «à l’encontre des autorités algériennes avait été rejetée 24h après son dépôt».

L’article en question, qui a été supprimé par l’agence officielle algérienne.

Nous avons pu réaliser une capture d’écran de cet article sur le site officiel du ministère de la communication algérienne.

Vendredi 4 septembre, Marta Hurtado, porte-parole du Haut-Commissariat de l’ONU aux droits de l’Homme, a réagi via un communiqué.

Le Communiqué du Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme

Le Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme met en lumière des informations fallacieuses concernant l’Algérie

Après la publication d’un certain nombre d’articles déformant le fonctionnement du système des Nations Unies relatif aux droits de l’homme en ce qui concerne l’Algérie, le Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme publie la clarification suivante :

GENÈVE (4 septembre 2020) — Un article publié en français, arabe et anglais par l’Algérie Presse Service (APS), mardi 1er septembre, affirme qu’un organisme appelé  » le Bureau des Contentieux de l’ONU à Genève  » a rejeté une plainte d’un groupe de militants politiques algériens  » 24h après son dépôt et examen de son contenu par les délégués juristes du Bureau « .

L’article énumère les raisons pour lesquelles la plainte a été sommairement rejetée, et cite un entretien qui aurait été diffusé deux jours plus tôt sur Radio Monte Carlo par un individu désigné sous le nom de Issam Al Muhammadi que l’APS décrit comme le secrétaire du tribunal. L’article de l’agence de presse algérienne contenait une grande photo d’une salle de réunion des Nations Unies à Genève, avec le logo de l’ONU, afin, semble-t-il, de donner de la crédibilité à l’histoire.

Le porte-parole du Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme, Rupert Colville, a clairement indiqué vendredi que l’article était inexact.

 » Les informations contenues dans l’article – largement reprises par d’autres médias en Algérie et ailleurs – ont été complètement fabriquées du début à la fin « , a-t-il déclaré.  » Il n’existe aucun organe des Nations Unies relatif aux droits de l’homme portant ce nom * et nous n’avons pu identifier aucun membre du personnel ou expert indépendant de l’ONU sous le nom de Issam Al Muhammadi « .

Bien qu’il existe un certain nombre d’organes des droits de l’homme qui reçoivent et examinent des plaintes de ce type, aucun d’entre eux ne mène une procédure accélérée en 24 heures.

 » Nous demandons que l’Algérie Presse Service et Radio Monte Carlo – s’il s’agit bien de la source originale de l’histoire – retirent cette fausse information et lèvent toute ambiguïté auprès de leurs lecteurs et auditeurs en expliquant que l’histoire est une pure invention « , a déclaré M. Colville.

Ce jeudi, une deuxième histoire problématique – adoptant un point de vue opposé – a été publiée par un site de média en ligne appelé Algérie Part. Cet article a correctement identifié le communiqué de l’APS comme étant faux, mais il incluait des citations longues et détaillées d’un entretien qu’il prétendait avoir réalisé avec un autre porte-parole du Haut-Commissariat. Si la porte-parole s’était effectivement brièvement entretenue avec plusieurs journalistes, les citations qui lui sont attribuées par Algérie Part ont néanmoins été en grande partie inventées.

Le Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme a confirmé que des citoyens et des militants algériens ont déposé des plaintes ces dernières semaines, et que les organes compétents en matière de droits de l’homme les examineraient en temps voulu.

FIN

* Il existe un Tribunal du Contentieux Administratif des Nations Unies à Genève. Cependant, c’est à ce tribunal que les membres du personnel de certaines parties du système des Nations Unies s’adressent lorsqu’ils décident de contester une décision administrative interne. Il ne traite pas les plaintes relatives à des situations de droits de l’homme dans les pays et ne ressemble en rien à l’organe décrit dans l’article de l’APS.

Rappel: La Russie épingle le journal algérien Echourouk pour ses Fake-news sur ses relations avec le Maroc

La Russie épingle le journal algérien Echourouk pour ses Fake-news sur ses relations avec le Maroc…

La persistante campagne médiatique mensongère, massive et malveillante,…

Le site du ministère russe des Affaires étrangères a publié, hier, jeudi 28 octobre, un article-communiqué qui tourne totalement en dérision le traitement médiatique mensonger que les journaux de la mafia militaro-politico-financière algérienne adoptent quand ils abordent tout sujet relatif au Maroc.

La Russie a publié un communiqué officiel où elle dément « un différend diplomatique » avec le Maroc proclamé par des journaux algériens.

Le ministère des Affaires étrangères russe a démenti un “article fiction” publié par le média algérien officiel “Echourouk” puis par d’autres médias proche du régime des généraux mentionnant une « crise diplomatique » à cause des relations entre Moscou et Alger. Le ministère russe a annoncé que « l’existence de relation tumultueuses entre Rabat et Moscou n’est pas conforme à la réalité et n’existe que dans l’imaginaire de ce journal ».

Selon « La Russie aujourd’hui », le ministère a ajouté que «le rapprochement stratégique entre les deux pays perturbe plusieurs parties qui utilisent tous les moyens possibles, y compris la désinformation, afin de perturber et nuire notre relation bilatérale». Un article intitulé «L’Algérie est à l’origine du déclenchement de la crise entre la Russie et le Maroc», diffusé par ledit support «peut revendiquer sans aucun doute deux tristes mérites : exemple classique de désinformation et analyse fallacieuse» écrit le ministère russe des affaires étrangères (MID) sur son site .

L’auteur de l’article a énuméré certains faits isolés pour déduire que «les relations russo-marocaines ont atteint leurs limites» et «traversent une crise, bien que diligemment dissimulée par les deux parties.»

«En lisant de telles choses, on se rend compte que certains vivent dans un univers parallèle et ignorent totalement que la pandémie de Covid-19 sévit dans le monde depuis 2020. Depuis l’automne de cette année, de nombreux pays, y compris la Russie, sont confrontés à une nouvelle vague. Ainsi, les autorités marocaines ont pris la décision de suspendre les vols en raison de la détérioration de la situation sanitaire et épidémiologique en Russie. Il n’y a ici aucune raison politique» détaille le site russe.

Les informations sur un refroidissement des relations avec le Maroc à la suite d’un soi-disant rapprochement avec l’Algérie «ne correspondent pas à la réalité et n’existent que dans l’imaginaire du journaliste d’Echourouk (…) Le vice-ministre des Affaires étrangères et l’ambassadeur russe au Maroc ont exprimé leur perplexité face aux falsifications propagées par un certain nombre de médias sur un prétendu refroidissement entre Moscou et Rabat, et il a été déclaré que la coopération multiforme russo-marocaine, mutuellement bénéfique, se développe dynamiquement» a-t-on affirmé.

«Il est dommage que le journaliste d’Echourouk ait simplement publié un faux papier pseudo-analytique, apparemment dans l’espoir de gagner les faveurs de ceux qui s’opposent à la Russie» conclut la diplomatie russe.

Rappel: L’Italie dévoile le mensonge de l’Algérie

L’Italie dévoile le mensonge de l’Algérie…

L’Italie, dont le président Sergio Mattarella a effectué ce week-end une visite en Algérie, a salué « les efforts sérieux et crédibles menés par le Maroc dans le cadre des Nations unies », selon un communiqué conjoint publié à l’issue d’un entretien téléphonique entre Nasser Bourita et son homologue italien, Luigi Di Maio….

Décidément, les fiascos diplomatiques du régime algérien se suivent et se ressemblent rivalisant en absurdité et en stupidité. La dernière bourde diplomatique du ministère algérien des Affaires étrangères remonte au 6 novembre courant.

Une délégation gouvernementale italienne avaient entamé une visite en Algérie afin de «renforcer le dialogue sur les questions bilatérales ainsi que régionales et internationales d’intérêt commun». Toutefois, le chef de la diplomatie algérienne, Ramtane Lamamra, préfère écorner la réalité.

Alors que ce dernier prétend que «le Sahara» était un des sujets abordés, la diplomatie italienne n’en fait aucune évocation. Si l’instabilité en Libye et au Sahel est un sujet de préoccupation mutuelle pour Alger et Rome, la reconnaissance par les États-Unis de la souveraineté du Maroc sur le Sahara a mis le régime algérien dans tous ses états, quitte à instrumentaliser le dossier du Sahara dans de fausses annonces.

On the occasion of the state visit by the President of Italy to Algeria,I held consultations with my colleague Luigi Di Maio. We discussed prospects for strengthening the strategic partnership between 🇩🇿&🇮🇹 and the developments in the Sahelo-Saharan region,Libya & Western Sahara. pic.twitter.com/kFXVLq6ZuV — Ramtane Lamamra | رمطان لعمامرة (@Lamamra_dz) November 6, 2021

«Lors de la visite d’État du premier ministre Sergio Mattarella, le ministre Luigi Di Maio a rencontré son homologue Ramtane Lamamra. Focus sur la relance des relations bilatérales et échanges commerciaux. Tour d’horizon des principaux dossiers régionaux, dont la Libye et le Sahel» lit-on dans un tweet du ministère la diplomatie italienne sur son compte Twitter.

Durante la visita di Stato in Algeria del PdR 🇮🇹 Sergio #Mattarella, il Min @luigidimaio ha incontrato il suo omologo @Lamamra_dz. Focus su rilancio relazioni bilaterali 🇮🇹🇩🇿 e interscambio commerciale. Giro d’orizzonte sui principali dossier regionali, inclusi #Libia e #Sahel pic.twitter.com/5z8u1EEhGA — Farnesina 🇮🇹 (@ItalyMFA) November 6, 2021

À titre d’information: Le président de la République est irresponsable politiquement

Le président de la République italienne, Sergio Mattarella , a passé deux jours en Algérie, se rendant à Alger puis à Annaba, pour sa dernière mission en dehors de l’Union européenne avant la fin de son mandat, en février.

Comme dans tout régime parlementaire, le président de la République, chef de l’État, assume un rôle essentiellement honorifique. Élu pour un mandat de sept ans, il ne conduit pas les affaires de la Nation, celles-ci étant à la charge du gouvernement. L’article 87 de la Constitution de la République italienne présente et définit les prérogatives et compétences du président de la République.

L’Italie est dans le viseur de l’Algérie depuis la Déclaration de novembre 2019 entre Rome et Rabat

L’Italie est dans le viseur de l’Algérie depuis la Déclaration de novembre 2019 entre Rome et Rabat. Un instrument de coopération qui vise à «entretenir un dialogue permanent et approfondi sur tous les secteurs d’intérêt commun, assurer la coordination sur les questions internationales et régionales liées à l’Afrique et à la Méditerranée élargie et renforcer la relation privilégiée entre le Maroc et l’UE et lui donner un contenu de plus en plus ambitieux».

En effet, lors de sa participation, en octobre dernier à Rome, à la 3e réunion ministérielle Italie-Afrique, le chef de la diplomatie algérienne a tenu à aborder avec son homologue italien le dossier du Sahara occidental. D’ailleurs, le département de Ramtane Lamamra avait fièrement affirmé, dans un communiqué, que «les entretiens entre les deux parties ont porté sur la situation sécuritaire actuelle dans la région Sahélo-saharienne et le dossier du Sahara occidental à la lumière de la reprise du conflit armé et l’absence du lancement d’un processus politique sérieux en vue d’un règlement juste et permanent de la décolonisation dans le Sahara occidental».

En décembre dernier, Sabri Boukadoum, alors chef de la diplomatie algérienne, s’était également rendu à Rome pour «aborder avec son homologue (italien) le dossier du Sahara et la crise libyenne».

Entretien téléphonique entre les Ministres des Affaires Etrangères du Maroc et de l’Italie le 09 novembre 2021 
Communiqué conjoint:

Le Ministre des Affaires Etrangères du Royaume du Maroc, M. Nasser Bourita et le Ministre des Affaires Etrangères de la République d’Italie, M. Luigi Di Maio ont eu un entretien téléphonique, le 9 novembre 2021.

Traduction:

Lors de cet entretien, les deux Ministres, qui ont loué l’excellence des relations qui lient le Maroc et l’Italie, ont convenu d’accélérer la mise en œuvre du partenariat stratégique multidimensionnel entre les deux pays.

Ils ont réaffirmé leur grand intérêt au maintien et au renforcement du cadre juridique qui lie le Maroc à l’Union Européenne, qui est essentiel pour garantir la poursuite et la stabilité de leur partenariat stratégique, et ont marqué l’importance des initiatives du Conseil de l’UE relatif aux accords de pêche et agricole entre le Maroc et l’Union Européenne.

Le Ministre, Di Maio a évoqué la position de l’Italie sur la question du Sahara occidental, telle qu’exprimée dans la Déclaration sur le Partenariat Stratégique Multidimensionnel, signée le 1er novembre 2019 à Rabat, en réaffirmant le plein soutien italien aux efforts du Secrétaire Général de l’ONU pour poursuivre le processus politique, en conformité avec les résolutions du Conseil de Sécurité des Nations Unies, notamment la Résolution 2602 du 29/10/2021.

L’Italie, salue à ce titre les efforts sérieux et crédibles menés par le Maroc dans le cadre des Nations Unies et encourage toutes les parties à poursuivre leur engagement dans un esprit de réalisme et de compromis.

Les deux Ministres ont aussi eu un échange approfondi sur les questions régionales et internationales d’intérêt commun, notamment les derniers développements en Libye.

Rappel, en février 2020 – L’Italie dévoile le mensonge de l’Algérie sur le coronavirus

Les autorités algériennes et la presse de ce pays ont annoncé officiellement qu’un cas de coronavirus a été détecté en février 2020. Il s’agit d’un ressortissant Italien qui travaille en Algérie. Tout le monde pensait que c’était vrai et a cru à cette information, mais que fut la surprise des Algériens lorsque la presse italienne a catégoriquement démenti cette information.

Même la photo de l’individu montré en photo comme étant le patient atteint du virus mortel, le coronavirus, a des apparences physiques d’Algérien. Pour le moment, et devant la confusion et le mensonge, les Algériens ne savent pas qui est vraiment ce patient… La question qui se pose est de savoir pourquoi l’Algérie avait dissimulé la vérité.

Quand Alger digère mal le documentaire de Yann Arthus-Bertrand «LE MAROC VU DU CIEL»

Cité dans une longue dépêche de l’agence officielle algérienne APS, le président d’une obscure et pompeuse «Coordination européenne des comités de soutien au peuple sahraoui» ne décolère pas contre le documentaire de Yann Arthus-Bertrand. Voici pourquoi.


Il fallait s’y attendre: le véritable moment de télévision qu’a offert France 2 à ses téléspectateurs, jeudi 22 juin 2017 au soir, soit le documentaire « Le Maroc vu du ciel », devait forcément faire grincer les dents, et c’est peu dire, des détracteurs du royaume. Premier à réagir, un certain Pierre Galand, illustre inconnu et président de la longiligne, mais non moins creuse, «Coordination européenne des comités de soutien au peuple sahraoui». Il s’agit plutôt d’une de ces associations qu’Alger active en Europe pour mieux faire entendre ses intérêts et ses positions. Preuve en est la longue dépêche que lui consacre l’APS, l’agence officielle algérienne.

Qu’est-ce qui mérite autant de tapage? La partie que le documentaire, véritable chef-d’œuvre audiovisuel au demeurant et qui a fait une audience de 2.7 millions téléspectateurs, consacre à Laâyoune et Dakhla, et donc au Sahara atlantique. Le documentaire fait de l’une de ces villes un exemple de développement, «là où des tomates naissent du désert» et de l’autre «la baie de tous les possibles». Mais, pour Pierre Galand, c’est une tentative de faire passer «le Sahara occidental pour un territoire marocain». Exprimant sa «totale réprobation», et dans une lettre adressée au médiateur de France Télévision, Gora Patel, Pierre Galand va jusqu’à exiger de la chaîne de télévision française qu’elle diffuse un rectificatif dans le cadre d’une émission d’information ainsi que sur son site web.

Il ne manque pas d’accuser Pascal Plisson, coréalisateur du documentaire, et Ali Baddou, plume et voix de Le Maroc vu du ciel de complicité dans un «film de propagande». Il invoque nombre d’arguments (présence de la Minurso, avis de la Cour internationale de justice en1975, décision de la Cour de justice de l’Union européenne) qu’il plie à sa guise pour affirmer que le Sahara est un territoire «occupé». Il reprend en cela des éléments de langage propres à Alger, communs à tous ses relais. Mais resteront les images captées et elles sont, du propre aveu de M. Galand, «superbes».

A lire aussi:Le recours à la propagande par la mafia militaro-politico-financière algérienne n’est plus à prouver.

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