Alerte précoce... Un génocide se prépare en algérie: Allô SOS Racisme -Allô LICRA, "Négrophobie, Antisémitisme, discriminations ethniques et raciales"...[Vidéos]
- gherrrabi
- 4 mars
- 6 min de lecture

"Si tu as semé la haine et la destruction, ne sois pas surpris qu'elles aient produit les fruits qui t'empoisonnent aujourd'hui." Alain Leblay
Alertes précoce... Prévenir un génocide
Pour prévenir les génocides, il faut d’abord comprendre leur déroulement. Intervenir dès l’apparition de signes avant-coureurs sauve des vies.
On se rend toujours compte après-coup d’un génocide et on ne tire pas assez de leçon de l’histoire. Bien sûr, le génocide arménien, la Shoah et le génocide au Rwanda n’ont pas eu les mêmes signes précurseurs, mais il y a des constantes. Si on fait attention, la seule différence entre l'algérie et le Rwanda est que la propagande de haine n’est pas faite ouvertement aujourd’hui. Mais les violences sont motivées par la même volonté de de garder le pouvoir à tout prix.
On a essayé d’alerter pour dire que c’est aujourd’hui et maintenant qu’il faut agir. Au Rwanda, on n’a pas agi à temps. On a vu venir les choses, mais on n’a pas voulu voir l’apocalypse. Trente deux ans après, ne refaisons pas la même erreur. Il y a des leviers pour agir, donc nous tirons la sonnette d’alarme et nous faisons comprendre que le monde a changé.
Le pouvoir est porteur d’un discours dangereux: «Président de la haine»
Avec l'émergence et le développement des réseaux sociaux, le problème du discours de haine est devenu une préoccupation mondiale, d'où le recours de nombreux pays comme l'Angleterre, l'Irlande, le Canada et l'Inde à la mise en place de lois criminalisant des discours de la haine...
Le « Cri de Douleur » d’un régime en déclin
Racisme, négrophobie et haine décomplexée d'une franco-algérienne au stand du Maroc, au salon de l'agriculture de Paris

algérie: la fabrique de la haine contre tout ce qui est Marocain
L’algérie via ses sbires déverse sa haine contre la France, Israël, l'Afrique
«Ils ont des têtes de négroïdes horribles [..] les marocaines s'ennuient elles n'ont pas clients [..] pays allié de la France et de l'entité sioniste»


« Un génocide se prépare »... Qui sème la haine récolte la violence, la vengeance, la mort...

L'algérie est dans une situation extrêmement grave qui peut dégénérer en grand massacre. Nous sommes dans la même situation qu’au Rwanda en 1993 avec un clan au pouvoir qui est dans une logique de préservation du pouvoir à tout prix, y compris en semant le désarroi total et en utilisant la violence et la manipulation les plus extrêmes.
Les autorités pratiquent la torture et il y a déjà eu beaucoup de morts. La terreur est un moyen de masquer la revendication citoyenne.
Les dix étapes d’un génocide
Le génocide est un phénomène humain dont le processus peut être analysé et compris. Il peut par conséquent être prévenu. Selon l’expert universitaire et activiste Gregory H. Stanton, le processus du génocide se développe en dix étapes, ici résumées. Ces étapes ne suivent pas toujours une progression linéaire, elles peuvent coexister. À chaque étape, des mesures de prévention peuvent être mises en action.
1. Classification
Division des personnes entre « nous » et « eux » par des groupes en position d’autorité, selon l’origine ethnique, la race, la religion ou la nationalité.
2. Symbolisation
Identification des gens en tant que Juifs, Roms, Tutsis, etc. Les distinguer par des couleurs ou des vêtements symboliques.
3. Discrimination
Un groupe dominant utilise la loi, les coutumes et le pouvoir politique afin de nier les droits d’autres groupes.
4. Déshumanisation
Affirmation par propagande de la valeur moindre du groupe victime par rapport au groupe majoritaire. Les assimiler à des animaux, des insectes ou des maladies.
5. Organisation
Conception de plans de meurtres génocidaires, en général par l’État, son armée ou des milices.
6. Polarisation
Amplification des différences entre les groupes par la propagande. Interdiction d’interactions entre les groupes. Meurtre des membres modérés du groupe oppresseur.
7. Préparation
Identification et séparation des groupes victimes. Obligation de porter des symboles. Déportation, isolement et famine planifiée. Préparation de listes de mise à mort.
8. Persécution
Les victimes sont identifiées et isolées en raison de leur ethnicité ou de leur identité religieuse. Au sein de l’État génocidaire, les membres des groupes discriminés vont parfois être obligés de porter des symboles les identifiant et biens et propriétés sont souvent expropriées.
9. Extermination
Début des massacres, perçus par les tueurs comme des actes « d’extermination » car ils croient que leurs victimes ne sont pas pleinement humaines.
10. Déni
Négation par les auteurs d’un génocide d’avoir commis des crimes. Blâme souvent rejeté sur les victimes. Dissimulation de preuves et intimidation de témoins.
Recrudescence des propos racistes et haineux ... Classification
Mais au-delà du cas spécifique, ce fonctionnaire de la culture, des médias soulignent les trop nombreuses dérives en matière de discours de haine et de racisme, rappelant les sorties violentes de la députée et présidente d'un parti Naïma Salhi qui, en février 2008, avait déclaré : «Si ma fille parle en kabyle, je la tuerais», «au moment où Tamazight était consacrée langue officielle et enseignée dans les écoles à travers tout le pays», rappelle le site TSA. «En mai puis en novembre 2019, elle s'en prend aux habitants du Sud, qu'elle qualifie de "vendeurs de thé". Ses attaques racistes et régionalistes n'ont jamais cessé et au fil des mois, elle a fait des émules », précise la même source.
«À elle seule, elle a impunément diffamé, injurié, insulté et stigmatisé la moitié des Algériens», a commenté le journaliste Farid Alilat qui se demande pourquoi, à l'époque, les autorités n'ont pas activé l'article 298 bis du Code pénal qui punit jusqu'à six mois de prison tout auteur d'«injure commise envers une ou plusieurs personnes appartenant aussi l'article 295 bis de la même loi qui punit de prison « quiconque, publiquement, incite à la haine ou à la discrimination envers une personne ou un groupe de personnes en raison de leur appartenance raciale ou ethnique ou organise, propage, encourage ou mène des actions de propagande aux mêmes fins».
Des menaces de mort sur internet contre les populations du sud algérien... La minorité ethnique
Les Algériens, originaires du sud de l'algérie, pourraient représenter environ 10% de la population totale du pays, mais il n'existe pas de statistiques officielles. Ils souffrent d'une discrimination raciale largement considérée comme imputable à l'institutionnalisation par l'État.
Continuellement marginalisés, les algériens du sud souffrent au quotidien d’un racisme endémique, qui se manifeste notamment par des interrogatoires lors de la présentation de leurs documents d’identité aux barrages de police ou dans les aéroports, ou par des insultes raciales telles que « Kahwi » littéralement marron; kahlouche (« Noireaud»); et abd («esclave»).
La wilaya de Ouargla est le cœur économique et poumon de l'Algérie grâce au pétrole de Hassi Messaoud. Sa superficie est de 211 980 km2, et sa population est estimée à 633 967 habitants.
Les discriminations liées à l’origine ethnique et la couleur de peau
La discrimination correspond au fait de traiter, de manière moins favorable, des personnes, dans la même situation (une situation identique ou comparable), en raison de leur l’appartenance (réelle ou supposée) à un groupe particulier ou de caractéristiques personnelles (réelle ou supposée). En d’autres termes, c’est le traitement injuste ou inégal de personnes en raison de ce qu’elles sont ou de leurs convictions. La discrimination peut toucher tout le monde, mais les femmes, les minorités ethnique... en sont les principales victimes. Elle peut prendre des formes variées: il peut s’agir de la privation de droits fondamentaux (droit de circuler librement, liberté d’expression, liberté de religion, etc), de traitements inégaux (dans le domaine de l’emploi, de l’accès au logement ou à l’éducation, etc) ou encore servir de socle à la violation d’autres droits humains (privation de liberté, traitements cruels et dégradants, crime contre l’humanité, etc).
La violence dans les stades algériens atteint un seuil critique, et cet épisode dramatique relance le débat sur la sécurité lors des matchs à enjeu.
Le match le MB Rouissat et l’USM El Harrach.
Le match Riadhi Baladiat Aflou et Ittihad Riadhi Baladiat Laghouat
Deux types de discrimination sont à distinguer : la discrimination directe et la discrimination indirecte.
La discrimination directe est le fait de traiter une personne de manière moins favorable qu’une autre ne l’est, ne l’a été ou ne le serait dans une situation comparable, en raison d’une caractéristique qui est protégée par la loi. C’est par exemple le cas si la candidature d’une personne à un emploi est refusée en raison de sa couleur de peau.
La discrimination indirecte est une pratique, un critère, une mesure ou encore une politique qui en apparence est neutre, mais qui, en réalité, désavantage les membres d’un groupe protégé. Par exemple, si les animaux sont interdits dans un café, cela signifie qu’une personne malvoyante accompagnée d’un chien d’assistance ne peut pas y avoir accès non plus.
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